"Ils ont partagé une chambre au campus de l'UCAD" : Révélations sur la proximité entre Diomaye Faye et un de ses ministres
On connaissait bien la proximité entre Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko, mais un peu moins celle de longue date que le chef de l'Etat entretient avec son ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba.
Les deux hommes se sont connus il y a plus de 20 ans lors de leur formation à l'Ecole nationale d'administration (ENA). Le président de la République et le ministre des Finances et du Budget ont même partagé une chambre à l'époque, au campus, révèle Jeune Afrique.
Au delà-de leur amitié, Bassirou Diomaye Faye et Cheikh Diba partagent également la même idéologie. « Ils ont une vraie proximité idéologique et ont évolué ensemble au sein de l’administration, tout en militant dans le même parti », raconte un ancien membre du gouvernement de Macky Sall, qui a requis l'anonymat. Selon ce dernier, Cheikh Diba, avant la Présidentielle de mars 2024, a endossé le rôle d'intermédiaire avec les proches de Macky Sall et a grandement contribué à la libération de Bassirou Diomaye Faye et d'Ousmane Sonko.
Bien que membre de Pastef, Cheikh Diba fut partie intégrante du ministère des Finances sous Macky Sall, depuis 2015. Avec l'arrivée de Bassirou Diomaye Faye au pouvoir, il a pris du galon pour devenir, dès les premiers jours du nouveau gouvernement, le ministre des Finances et du Budget.
Commentaires (51)
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Quant à jeune Afrique c’est un journal qui se vend dans tous les sens du terme, aucun vérité n’est écrite par ce journal raciste de surcroit.
Lisez mediapart
https://www.enqueteplus.com/content/quand-mediapart-revele-le-vrai-visage-de-jeune-afrique-ja-%C2%AB-%E2%80%A6sac-%C3%A0-merde-et-bras-arm%C3%A9-de-la
Il est bon d'avoir des présences de l'ancienne administration pour une meilleure continuité et information.
Travaillons en bonne intelligence et ouverture
France 24, Rfi, Jeune Afrique dans le même panier.
Les Africains sont à un autre niveau d informations et de comportements.
J'ai remarqué que vous cherchez à créer un malaise entre Sonko et Cheikh Diba.
Vous avez sorti deux articles pour parlant dfe Cheikh Diba . Allez vous reposez . Le sénégal respire SONKO.
Enplus Seneweb je vous comprends pas vous êtes très louches.
Pastef n’est pas ma tasse de thé mais c’est pas difficile de comprendre ce qui est dit dans l’article.
Bcp ici pensent que dès qu’on dit campus c’est l’UCAD ce qui prouve encore une fois votre ignorance. Campus est un mot français qui représente toute université ou école.
Diba et Diomaye ont partagé la même chambre au campus veut dire tout simplement que à l’ENA, les étudiants avaient une chambre la bas et ces deux là ont partagé la même chambre. Cela ne veut pas dire automatiquement que c’est à l’UCAD.
Un autre dit comment si Diba est de 78 et Diomaye 80? Et alors ENA c’est niveau Bac + 5. Il y a des différences d’âge dans la promotion d’étudiants.
Dans tout ça qui y a t il de difficile à comprendre?
Vraiment réfléchir n’est pas cher et apparemment ces lectures n’en n’ont pas les moyens!!!
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Vive SONKO national , notre mandataire et notre service .
Things are getting clearer and clearer by the day but, those who lives by the sword with die by it Insha-Allah.
Fuck'n mother fuck'n Traitors.
Dumb Ass.
C'est mon ancien pseudo ici en passant :)
Les gens de Pastef se sentent visés par cet article qui en clair, remet sous leurs responsabilités, cette supposée dette cachée ! C'est un des leurs qui était aux commandes ! En même, cela montre l'ouverture d'esprit de l'ancien régime en maintenant à un poste sensible un adversaire politique. Je le disais dés les premiers instants suivants les révélations du premier menteur que Cheikh Diba était au premier loge pour renseigner les mécanismes de calcul de la dette. Par ailleurs, je trouvai très bizarre qu'il continue de demeurer au gouvernement après ces révélations de manipulation supposée et les conséquences engendrées.
"Ils ont partagé une chambre au campus" : Révélations sur la proximité entre Diomaye Faye et un de ses ministres"
L'Absence de Sens d'une Proximité Personnelle pour la Gestion de l'État
Il est crucial de prendre le contre-pied et d'affirmer que la proximité personnelle et les anciennes fréquentations entre le Président Bassirou Diomaye Faye et son Ministre des Finances, Cheikh Diba, n'ont, en tant que telles, aucun sens pertinent pour juger de la qualité de la gestion de l'État et du développement socio-économique du Sénégal. Seules la compétence, l'intégrité et la conformité institutionnelle doivent primer.
La Non-Pertinence de la Proximité Personnelle
Le fait qu'ils aient "partagé une chambre au campus" relève de l'anecdote et ne constitue en aucun cas un indicateur fiable de la bonne gouvernance.
Critère de Compétence Technique : La gestion des Finances et du Budget exige une expertise technique pointue, une connaissance approfondie des mécanismes économiques internationaux, et une capacité à élaborer des politiques budgétaires rigoureuses. La compétence technique et l'expérience professionnelle de Cheikh Diba (son parcours à l'ENA et au sein du Ministère) sont les seuls éléments qui devraient être mis en avant, et non la nature de sa relation amicale avec le Président.
Neutralité et Institutionnalité : L'État est une structure institutionnelle qui doit fonctionner selon des règles et des procédures établies, et non sur la base d'affinités personnelles. Confondre les liens personnels avec la légitimité institutionnelle ouvre la porte à l'opacité et au risque de favoritisme.
Le Mythe du "Copinage" : Évoquer un tel passé personnel, même de manière positive, renforce l'idée de "copinage" ou de réseautage privilégié, ce qui est contraire aux principes de méritocratie et de transparence que la nouvelle administration se doit de promouvoir. Le choix d'un ministre doit se faire sur la base d'un appel aux meilleurs talents de la nation, et non des amitiés de jeunesse.
La Rupture avec le Passé et l'Intérêt du Président
Le nouveau régime doit marquer une rupture claire avec les pratiques où les nominations étaient perçues comme basées sur la fidélité personnelle plutôt que sur la capacité à servir l'intérêt général.
Le Président n'a aucun intérêt à se souvenir des fréquentations : L'unique intérêt du Président Bassirou Diomaye Faye doit être la performance et la réussite du Sénégal. Cela exige de nommer des ministres capables d'exécuter la politique socio-économique avec le maximum d'efficacité, qu'ils soient d'anciens amis, des adversaires politiques, ou de parfaits inconnus. Seule la qualité de l'action publique compte.
L'Idéologie n'est pas une Garantie : Bien qu'une proximité idéologique soit souhaitable pour la cohésion gouvernementale, elle ne garantit en rien la bonne exécution des politiques. L'alignement politique doit être le fruit d'un engagement prouvé envers le programme du parti (Pastef), et non une simple extension d'une amitié personnelle. Les compétences en gestion des finances publiques priment sur la simple convergence d'idées.
En somme, l'article commet une erreur d'analyse en valorisant la dimension personnelle (l'amitié du campus) au détriment de la dimension institutionnelle et professionnelle (l'expertise en finances publiques). La gestion de l'État, et en particulier la gestion socio-économique du Sénégal, ne repose que sur la compétence et la transparence.
Chronique de la Diaspora
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
C’est lui qui bloque le processus de la mise en œuvre de la reddition des comptes
Il est immensément riche avec beaucoup de sociétés à son nom et qu’il doit justifier
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