Dans son point de presse, Barthélemy Dias a vivement dénoncé les restrictions croissantes à la liberté d’expression et à l’activité politique au Sénégal. Il a exprimé sa solidarité envers plusieurs militants incarcérés, qu’il considère comme des détenus politiques ou "otages".
« Mes pensées vont vers mon frère Assane Diouf, vers Abdou Nguer, vers Badara Gadiaga, vers Moustapha Diakhaté, vers Abdoulaye Ndiaye, entre autres ».
À ce titre, il a lancé un appel clair à l'organisation Reporters sans frontières (RSF) pour qu’elle s'intéresse à la situation des libertés au Sénégal.« J’invite Reporters sans frontières à prendre ses dispositions et ses responsabilités. Faire son travail, c’est informer juste et vrai, comme tous les journalistes à travers le monde ».
Il avertit que si la répression se poursuit, l’opposition ne restera pas passive.
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