« Le Sénégal a été sauvé d'une situation explosive ». Telle est l'analyse de Serigne Fallou Mbacké Aby, chef religieux qui s'est exprimé au téléphone de Seneweb pour apporter des éclairages sur l'affaire dite de Ndiagne avec l'arrestation du maître coranique Serigne Cheikhouna Guèye dit Khadim ainsi que 5 autres personnes mis en cause dans des maltraitances d'enfants. Le chef religieux de déplorer d’emblée la tournure des évènements avec le saccage du tribunal de Louga par des inconditionnels venus soutenir le maître coranique. « Ils auraient pu blesser le procureur », condamne-t-il. Acteur politique et régulateur social, Serigne Fallou Mbacké Aby offre ses bons offices en cas de crise.
Dans l'affaire de Ndiagne, il joue au médiateur entre l'Etat et les maîtres coraniques. « On était devant une bombe qui pouvait éclater à tout moment. Je condamne les actes de violences perpétrés dans l'enceinte du tribunal de Louga. Ceux qui ont saccagé le tribunal auraient pu blesser le procureur et les juges. Et cela affaiblirait la justice. Si les populations en arrivent à ces réactions violentes, cela nécessite que l’on s’arrête et qu'on analyse la situation. Les magistrats doivent être au service des populations », rappelle le chef religieux. A ces derniers, conseille-t-il : « Il faut qu’ils communiquent davantage avec les populations. L’Etat n’a aucun intérêt à arrêter Khadim Guèye. C’est la justice qui l’a fait arrêter, il est victime de la loi, comme cela peut arriver à tout un chacun. Mais ici, c'est la constitution qui pose problème comme l’a bien dit le khalife général des mourides. Et la stabilité du pays repose en partie sur les épaules du khalife dont les déclarations et recommandations sont appliquées à la lettre par les fidèles. En revanche, il y une autre manière plus discrète de régler ce problème. Aujourd’hui, si les manifestants avaient blessé ou tué un magistrat, cela ne ferait qu’aggraver la situation
. Le ministre de la Justice par contre a commis une erreur. Aujourd'hui des personnes ont défoncé la porte d’un tribunal, du fait d'une loi mal faite. A quoi doit-on s’attendre demain si cette situation se répète ? », s'interroge le chef religieux. « Si on suit la logique de cette affaire, on peut même aller jusqu’à arrêter de hautes autorités religieuses que personne n'ose toucher. Donc il faut savoir raison garder ». Le chef religieux de remettre en cause le texte constitutionnel. « Il y a une incohérence dans la loi et qu'il faut changer. Il est à craindre que demain, un juge rende un verdict et qu'il puisse être attaqué ou tué dans un tribunal. Les magistrats rendent la justice au nom des populations. Il faut donc que la constitution soit en adéquation avec nos réalités socioculturelles. Aujourd'hui si les magistrats ont le sentiment de ne pas être en sécurité, c'est parce qu’ils ne communiquent pas assez avec les populations.
Je connais bien les magistrats, il y a en a qui sont honnêtes et de bonne foi. Ils ont raison de s'inquiéter sur leur sécurité ». Quid des faits reprochés à Serigne Khadim Guèye ? « Le « diengg » qui consiste à enchaîner des garçons fugueurs, est une pratique qui ne date pas d'aujourd'hui. La loi doit être revue. Elle ne pas être du copié collé en déphasage avec nos réalités. Ces problèmes sont des bombes à retardement. C'est la constitution qui pose problème. Le Sénégal a été sauvé d'une situation de crise. Et heureusement », félicite-t-il.
Auteur: Seneweb News
Publié le: Jeudi 28 Novembre 2019
Commentaires (26)
Méfions -nous à une révolte de masse nous sommes stables prions pour qu'il toujours ainsi et préparons nos enfants à pouvoir gérer des connaissances sur le Pétrole car c'est l'avenir pour un Sénégal prospère. Merci.
par l'éditorialiste de seneplus, serigne saliou guèye
ROMPRE LES CHAÎNES DE LA HONTE
EXCLUSIF SENEPLUS - Le Sénégal est devenu une géhenne pour la plupart de ces souffre-douleur appelés talibés. Les marabouts-négriers parlent d’une mortification de l’âme et du pétrissage du corps de l’enfant
Des chérubins enchainés en guenilles, la tête crasseuse, pieds nus, le corps sale et eczémateux qui témoigne de plusieurs semaines sans bain, deux lourdes entraves de fer qui enserrent les chevilles et comparables aux « compes » que l’on mettait aux pieds des prisonniers et des esclaves dans l’Antiquité romaine, soit pour les punir, soit pour les empêcher de s’enfuir, voilà les images odieuses que les Sénégalais ont découvertes, il y a quelques jours, à travers les réseaux sociaux avec stupéfaction. Cette basse œuvre porte l’empreinte d’un certain Khadim Guèye, un vil tortionnaire maquignonné en dispensateur de savoir coranique vivant à Ndiagne, un village proche de Coki dans la région de Louga. Et cela avec la complicité des parents des victimes et du maréchal-ferrant ayant conçu ces objets qui nous plongent dans la rémanence des siècles obscurantistes de la traite des noirs. Nonobstant l’horreur de la scène, certains écervelés, comme des esclavagistes des temps modernes, justifient cet acte inhumain comme un modèle d’éducation dont les Serigne daara ont toujours usé pour assagir les talibés rétifs.
Aujourd’hui que le verdict est tombé et que le procureur requiert deux ans dont deux mois ferme, il est à craindre que la sortie du khalife général des mourides, Serigne Mountakha, qui, me semble-t-il, n’a pas été bien informé de ce qui s’est passé réellement à Ndiagne, influe sur la sentence prochaine du juge. Jamais le guide de Touba n’aurait donné son onction pour la maltraitance infantile. Le défunt khalife Serigne Saliou Mbacké, qui inspire beaucoup l’actuel guide des mourides, a créé des centaines de daara et a toujours considéré les enfants comme des trésors au point qu’il était toujours leur premier défenseur, leur premier protecteur. Il avait strictement interdit dans ses daara tout châtiment corporel.
Khadim Guèye a violé l’intégrité physique des enfants, par conséquent il doit être châtié à la hauteur de la faute commise, même si des énergumènes ont osé caillassé le tribunal de Louga comme pour mettre en garde le juge qui a annoncé que l’affaire est mise en délibérée au 4 décembre prochain. Mais que les sachants, les associations de maitres ou autres organisations religieuses, cessent de crier attaque contre l’islam chaque fois qu’un maitre coranique est arrêté pour des actes délictuels (viol, acte de pédophilie, violence faite aux enfants). S’il y a des ennemis patentés de l’islam, ce sont ces adultes qui se font entretenir honteusement pendant des années par la sébile de jeunes enfants sans en contrepartie leur enseigner le « alif bâ tâ » du coran. On reste sceptique sur l’application stricte de la loi à l’encontre de ce marabout tortionnaire puisque le cas du maitre coranique Oumar Sylla à Diourbel libéré quelques heures après son arrestation risque de servir de jurisprudence. On se rappelle du traitement dégradant et cruel que ce marabout au cœur sec et racorni avait fait subir à une vingtaine de talibés en les enchainant avec des entraves métalliques qui n’ont rien à envier à celles avec lesquelles on neutralisait nos ancêtres pour les transbahuter de force vers le nouveau continent.
Le Sénégal : le Golgotha des enfants talibés
Le Sénégal est devenu une véritable géhenne pour la plupart de tous ces souffre-douleur qu’on appelle talibés. Et pour donner une justification spirituelle à cette exploitation lucrative et à cette souffrance suprême exercée sur des enfants, les marabouts-négriers parlent d’une mortification de l’âme et du pétrissage du corps de l’enfant. Si le coran est le texte de référence des marabouts-négriers, ils doivent savoir qu’aucune sourate, qu’aucun hadith ne recommande ni légitime la maltraitance des enfants. Le prophète Mahomet (alayhi salat wa salam) était doux et clément envers les enfants. Dans un hadith rapporté par Ibn Hibban, le meilleur des hommes dit : « Il suffit pour l’homme comme péché de négliger ceux dont il a la charge ». Dans le même sillage, Al Boukhari aussi rapporte : « Le Messager d’Allah ayant embrassé Al-Hassan ibn Ali au moment où Al-Aqra’ ibn Habiss At-Tamimy se trouvait assis auprès de lui, ce dernier dit : « J’ai dix enfants et jamais je n’ai embrassé un seul d’entre eux ! » Le Prophète le regardant alors, dit : « On ne fera pas miséricorde à celui qui ne fait pas miséricorde » ».
Il faut s’affranchir de ces poncifs misérabilistes qui laissent croire que la réussite d’un enfant passe irrémédiablement par la souffrance, la violence physique et psychique. Ces méthodes d’enseignement inhumaines sont éculées et doivent faire place à une pédagogie nouvelle qui puisse placer l’enfant au cœur du projet éducatif du maitre coranique. Refuser ce progrès pédagogique au nom d’une aversion du modernisme, c’est s’ancrer davantage dans cette mentalité barbare millénaire qui considère l’enfant rétif comme un animal à corriger avec des méthodes qui insultent la dignité humaine.
C’est ce qui explique sans doute cette indignation de l’universitaire géographe Lat Soucabé Mbow piquée dans une discussion de facebook le 27 novembre : « Les chaînes font surgir de notre mémoire des images traumatisantes de la période sans doute la plus sombre de notre passé : la traite négrière. La forme suprême de la négation de la dignité humaine. Ni dans le Coran, ni dans la Bible ou dans aucun autre texte sacré, il n'est dit qu'après sa chute, Adam le premier homme a été envoyé sur terre enchaîné. Malgré sa faute capitale - désobéissance à son Créateur - rien n'a été entrepris pour entraver sa liberté, celle d'aller et de venir. Le premier des droits naturels. Ces taalibés n'ont ni volé, ni commis de meurtre pour être punis de la façon vue sur les images montrées par les internautes. S'en indigner ne veut nullement dire que l'on est instrumentalisé par des lobbies ou des intérêts tapis dans l'ombre et décidés à aligner le Sénégal sur des valeurs qui ne sont pas les siennes. Ce siècle doit sa beauté - en dépit d'indéniables outrages à la morale publique - à la prise de conscience universelle des droits considérés comme irréfragables de l'être humain. D'où qu'il soit et quelles que soient ses origines. »
L’Etat du Sénégal laxiste, au lieu de prendre en charge la sécurité, la santé et l’éducation de cette couche vulnérable tel que le lui enjoint la Constitution, préfère la livrer à des marabouts négriers qui font de la traite des enfants un honteux business florissant. Et cette permissivité ne donne très souvent que des résultats tragiques. En témoignent tous ces enfants morts, traumatisés ou mutilés à cause d’actes de violence exercés abjectement sur eux par leurs maitres qui pensent avoir un droit de vie et de mort sur eux. Dans la nuit du dimanche 3 au lundi 4 mars 2013, vers 23 heures à la Médina, 9 jeunes talibés périssent calcinés dans un incendie. Le samedi 8 aout 2015 à Thiès, le forcené Moustapha Ngom dit «Dubaï», armé d’une machette, s’est introduit aux environs de 23 heures dans l’école coranique de Serigne Bassirou Kane de Thiès pour égorger le jeune mendiant Pape Ndiaye âgé de 7 ans. Le samedi 6 février 2016, dans le quartier Althiéry de la commune de Louga, un maitre coranique a battu à mort un talibé de 9 ans. Le 15 mars 2016 à Koungheul, un talibé a été amputé d’une jambe après avoir été fauché par un camion.
Dans son rapport paru en juin 2019, Human Rights Watch (HRW) a documenté les décès de 16 enfants talibés en 2017 et 2018 du fait d’abus, d’actes de négligence ou de mise en danger de la part de maîtres coraniques ou de leurs assistants. Ces incidents se sont produits dans les régions de Saint-Louis, Diourbel et Thiès. Parmi ces enfants, âgés de 5 à 15 ans, trois sont morts des suites de coups violents, quatre dans deux incendies de daara, cinq dans des accidents de la route alors qu’ils mendiaient ou évitaient de rentrer au daara, et quatre de maladies non traitées. Neuf de ces décès ont eu lieu en 2018, dont deux suite à des passages à tabac, respectivement à Touba en avril 2018, et à Mpal en mai 2018.
HRW a également souligné 61 cas de passages à tabac ou d’abus physiques perpétrés à l’encontre de talibés en 2017 et 2018, 15 cas de viols, tentatives de viols ou abus sexuels, et 14 cas d’enfants emprisonnés, attachés ou enchaînés dans un daara. Ces abus auraient tous été commis par des maîtres coraniques ou leurs assistants.
Quoique le Sénégal soit doté de lois solides réprimant la maltraitance des enfants, la mise en danger d’autrui, la traite des personnes, l’application de ces lois à l’encontre des maîtres coraniques responsables de pratiques inhumaines reste ineffective.
Ainsi l’article 298 du code pénal prévoit : « Quiconque aura volontairement fait des blessures ou porté des coups à un enfant au-dessous de l’âge de quinze ans accomplis, ou qui l’aura volontairement privé d’aliments ou de soins au point de compromettre sa santé ou qui aura commis à son encontre toute autre violence ou voie de fait, à l’exclusion des violences légères, sera puni d’un emprisonnement d’un à cinq ans et d’une amende de 25.000 à 200.000 francs. » Ce qui veut dire que nous disposons de tous les instruments législatifs et juridiques pour lutter contre cette plaie qui gangrène notre société. Mais la volonté politique est inexistante. Aujourd’hui, l’on se rend compte de plus en plus que la mendicité, la première violence exercée sur les enfants talibés, reste très active au sein de l’enfer des daara.
Le programme de « retrait des enfants de la rue » initié en 2018 par le gouvernement sénégalais a fait long feu. Le président sénégalais Macky Sall avait affirmé son souhait de mettre fin à la mendicité des enfants et de retirer les enfants des rues. Mais, tel que l’a souligné HRW, « ce discours n’avait pas donné lieu à la prise de mesures cohérentes, résolues et ambitieuses pour protéger les enfants talibés victimes d’abus et d’une exploitation à travers le pays. La portée, la cohérence et l’impact des initiatives gouvernementales, notamment les projets d’aide sociale à l’attention des talibés et des daara et le programme de retrait des enfants de la rue à Dakar, ont été limités ».
Faillite de l’Etat et désengagement des parents
Mais pour des raisons politico-électoralistes, nos gouvernements laissent cette pratique qui n’a rien à envier à l’esclavagisme perdurer. Et la pression des lobbies maraboutiques qui se nourrissent éhontément de la main tendue de ces morpions sans feu ni lieu fait toujours reculer l’Etat sur ce sujet qu’on juge faussement sensible. Dans un tel environnement, serait-il possible de parler d’émergence et de développement ? Laissons le professeur Penda Mbow répondre : « le phénomène des enfants mendiants est un indicateur au développement, qu’on le veuille ou non. Et tant qu’on n’arrivera pas à l’éradiquer, le Sénégal ne sera pas un pays émergent à plus forte raison un pays développé ».
Sur un autre registre, l’Etat a failli à sa mission de protéger la vie de nos enfants et de leur assurer une réussite dans l’éducation et la formation. Aujourd’hui, nos enfants talibés sont tenaillés fatalement entre le marteau des maitres coranique avec leurs méthodes répressives inhumaines et l’enclume de l’Etat laxiste, voire pusillanime. L’Etat, dont la mission première est d’assurer à sa jeunesse les conditions d’un avenir radieux, est le garant de la sécurité, de la protection et l’éducation de nos enfants. Et il serait bon de l’interpeler toujours sur le sort inquiétant de nos enfants laissés-pour-compte exposés sans défense à l’esclavagisme mendiant, à la maltraitance, au viol et à la violence souvent mortifère.
Il ne faut pas, dans cette chaine de responsabilités, exonérer les parents de talibés démissionnaires qui ne préoccupent plus de l’éducation et de la sécurité de leur progéniture. Les difficultés de la vie, la hantise de la dépense quotidienne, le manque de communication, l’absence de contact social et la fuite de responsabilité des parents déteignent sur l’éducation des enfants. Quand un parent pense que des entraves métalliques peuvent servir de succédané à la place d’un programme éducatif bien pensé, c’est parce qu’il a lamentablement échoué dans le processus formateur de son enfant.
sgueye@seneplus.com
a
quelle bombe
la republique sera forte devant l'obscurantisme
kouffi dofdoflou la genfarmerie vous fera l'affaire
Si le Senegal s'arrete a Touba, il a raison.....
Face a UN chef d etat débile
La mouridocratie s impose
Ce gars est un con
Ce n'est pas vrai, on n'a frôlé aucune bombe.
Il y'a beaucoup de gens qui tirent bien profit de ce système de daaras, qui font tout pour garder ce système.
Si tout le monde est instruit, bien éduqué, conscient des réalités technologiques, objectivement ils vont rejeter l'exploitation de certains guides dont beaucoup d'illettrés sont actuellement victimes.
Beaucoup de jeunes marabouts ne travaillent pas et sont alimentes en millions, voire milliards de francs, avec des véhicules de luxes, 3 a 4 femmes, chambres climatisées.
ce mbacke est un idiot aucune religion na autoriser denchainer un individu a cause de ses ignorant de mbacke que le Senegal est dans la merde
C'est grave de dire que la stabilité du repose sur les épaules du kalife
Un bon musulman ne doit ni étre violent ni etre méchant.
EST-CE QUE EXISTE SENEGAL ::JE CROIS QUE OUI ,mais trrrres peu
Ici aux States les jeunes enfants qui perturbent leurs t prof au collège ou les élèves sont menottés par les policiers .
Un escroc taulard qui cherche vaille que vaille à se faire un nom.
Il retournera en prison bientôt.
FACHISTE la Loi ce n'est pas la FORCE
jai toujours dit que limbécilité des des dirigeants politique en tete le cochon macky va entrainer directement le senegal ds une guerre civile à cause de linsolence de certains mourides surtout avec leur chef actuel et les petits paresseux qui se font nourrir.C est au senegal qu'on voit avec wade et macky un president se soumet à un citoyen alors quil est sensé etre au dessus de tout le monde.C,est ce comportement qui pousse les mourides à faire ce quils veulent car se sentent puissant à cause des connards autorités qui se courbent alors que l'état a tous les moyens de les mater jusqu'aux chiottes y compris le chef de gang mountakha. continuez à se courber devant ses irresponsables egoistes qui ne pensent qua eux alors que les mourides sont minoritaires malgré leur grandes gueules.Mais le jour ou ca va éclater de par votre faute vous le regretterez amérement car le combat se terminera à touba c en ce moment que saurez que personne na le ponopole de violence et linsolence.Pour ne pas arriver à ce stade ou tout le monde va perdre surtout les piromanes mourides si un officier courageux peut mettre aux arrets tous ces féneants dirigeants les envoyer en prison loin de dakar et mettre de lordre dans ce pays qui sombre avec l'abandon ou lincapacité du chef supreme de sa mission
Donc c'est le khalif général des mourides qui est le Président du Sénégal ? C'est lui qui décide et envoie ses chiens semer le bordel dans le pays? C'est juste que Macky n'a pas les couilles. Basta avec ces écervelés
Na Réwmi Takk gneup nopalou...
On est fatigué par le léwatoo.
Tant que vous n’aurez pas goûté à la guerre civile dou ngéne am diam
" Il faut donc que la constitution soit en adéquation avec nos réalités socioculturelles. " C'est qui le nous ? Les wolofs ? Il faut le préciser. Car moi je ne me reconnais pas dans votre "nous".
La loi protège les enfants contre les abus, et sevices, quelque soit leur justification.
Et c'est maintenant la constitution qu'on veut attaquer. Les gens des daaras, les nouveaux Talibans version sénégalaise, ou le parti de Dieu, c selon, vous ne changerez pas notre commun vouloir de vivre ensemble, et la loi ne changera pas selon vos désidératas.
La loi protège les enfants contre les abus, et sevices, quelque soit leur justification.
Et c'est maintenant la constitution qu'on veut attaquer. Les gens des daaras, les nouveaux Talibans version sénégalaise, ou le parti de Dieu, c selon, vous ne changerez pas notre commun vouloir de vivre ensemble, et la loi ne changera pas selon vos désidératas.
ce monsieur, est ce lui qui a été arrêté pour avoir escroqué un magistrat une somme de 15 millions de francs?
Cette violence verbale et physique, ils l'ont apprise ou? Dans les daaras. Vous avez la les futurs terroristes de ce pays. La constitution ne pose pas problème, c'est vous qui posez problème.
Une co épouse peut donc ebouillanter la niarel.....puisque ça se fait et que cest "en adéquation avec nos réalités socioculturelles.".....si je pousse à l'extrême le raisonnement bestiale du "pacificateur".
L'islam n'est pas un savoir. Combien de temps faut-il vous le répéter? Avoir le crâne rempli de coran et de hadith ne rend pas savant.
Decidement, encore un fou dans le forum. Yaw khawma fo reuthiée.
Pourquoi dans les écoles les éleves qui ont fait l'ecole coranique sont toujours les meilleurs.
Si tu ne me croit pas demande au msieurs.
" dans les écoles les élèves qui ont fait l'école coranique sont toujours les meilleurs". Gros mensonge.
en fait les propos de ce marabout (" ils auraient blesser le procureur ou les juges...les magistrats doivent se mettre au service des populations...") sonnent comme une menace et un avertissement: " laissez nous faire ce que nous voulons où, par la violence, nous vous contraindrons à le faire.
l'état, encore une fois, doit se montrer ferme face à ses maîtres chanteurs. Il faut que le maître coranique et tous les autres qui seront tentés de faire comme lui soient sévèrement sanctonnés afin de montrer à ces personnes que leurs menaces ne passera pas.
Il faut mettre les forces de l'ordre sur le qui-vive et ne pas hésiter à mâter vigoureusement tous ces cancrelats qui essaient de menacer la république.
Voilà pourquoi touba qui cautionne ces pratiques est plein de tarés psychopathes qui volent, agressent, tuent et forniquent. Des traumatisés depuis l'enfance. Touba est devenu la ville la plus dangereuse du Sénégal après Dakar.. même Bougazelli le faussaire du jour a dit qu'il sort de ces daara. Éduquer un enfant ne veut pas dire lui remplir sa tête de Coran. La preuve, les plus grand salauds de ce pays peuvent te réciter le Coran de Baqara à Nassi
bande de cancre , va travailler , quelle bombe , ignorant que tu es . vous êtes des abrutis
Soyons clairs et sans équivoque avec ce Monsieur Mbacké Mbacké.
Jusqu’à preuve du contraire, nous sommes en démocratie. Chacun a le droit d’exprimer librement son opinion. Chacu est tenu de respecter les lois tant qu’elles sont en vigueur . Chacun a le droit de les dénoncer et de demander leur abrogation. Le Parlement in fine en decide .
Mais si un citoyen - le Khalife des mourides compris - défie l’autorité suprême de l’Etat et s’oppose à l’ appliquées des lois alors l’Erat va répondre à cette défiance avec force et faire prévaloir sans faiblesse primauté.
L’Etat du Sénégal en a largement les moyens. Il est prudent pour chacun, quel que soit son rang, de ne pas se méprendre sur ce sujet. L’Armee comme la gendarmerie sont réputées loyales et exécutent sans états d’âme les missions qui leur sont confiées par les autorités. Il ne faut pas s’y tromper !.
La volonté de l’Etat Va prévaloir tout le temps et partout sur le territoire. Patience et sagesse ne signifieront jamais faiblesse, sinon il n’y aura plus de Sénégal .
Quand la situation l’impose montre et au besoin utiliser sans restriction sa force. Il a le monopole de la violence; tous ceux qui défient son autorité en feront la douloureuse expérience. Point.
Lou eupe toutou .
Soyons clairs et sans équivoque avec ce Monsieur Mbacké Mbacké.
Jusqu’à preuve du contraire, nous sommes en démocratie. Chacun a le droit d’exprimer librement son opinion. Chacu est tenu de respecter les lois tant qu’elles sont en vigueur . Chacun a le droit de les dénoncer et de demander leur abrogation. Le Parlement in fine en decide .
Mais si un citoyen - le Khalife des mourides compris - défie l’autorité suprême de l’Etat et s’oppose à l’ appliquées des lois alors l’Erat va répondre à cette défiance avec force et faire prévaloir sans faiblesse primauté.
L’Etat du Sénégal en a largement les moyens. Il est prudent pour chacun, quel que soit son rang, de ne pas se méprendre sur ce sujet. L’Armee comme la gendarmerie sont réputées loyales et exécutent sans états d’âme les missions qui leur sont confiées par les autorités. Il ne faut pas s’y tromper !.
La volonté de l’Etat Va prévaloir tout le temps et partout sur le territoire. Patience et sagesse ne signifieront jamais faiblesse, sinon il n’y aura plus de Sénégal .
Quand la situation l’impose montre et au besoin utiliser sans restriction sa force. Il a le monopole de la violence; tous ceux qui défient son autorité en feront la douloureuse expérience. Point.
Lou eupe toutou .
On ne changera aucune constitution pour le plaisir de Serigne Mountakha.
Nous sommes nombreux à n’être en rien engagés par les croyances mourides . Il n’y a aucune raison que les volontés de de Sérigne Mountakha s’imposent à nous en dehors d’un processus démocratique sincère. Nous le respectons comme nous respectons tout autre citoyen respectable mais il n’a aucune autorité sur nous. Nous n’attendons et n’espérons rien de particulier de lui. Il ne pourvoit exactement à aucun de nos besoins.
Les mourides ne peuvent nous réduire ni au silence ni à l’inaction. Nous nous défendrons corps et âme. La colère monte . Si rien n’est fait, ces conneries vont très mal se terminer. Il y a trop de mépris, d’abus, d’excès, d’incivisme et d’insolence subis au quotidien de la par des membres de cette communauté. Il ne suffit plus que d’une étincelle. Nombreux sont deux qui sont prêts à tous les scénarios si ces provocations insupportables continuent.
Dada doye ! Tout cela est allé trop loin .
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