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Violences faites aux femmes : L’État doit agir maintenant (Thierno Alassane Sall)

Auteur: Par Cheikh CAMARA (Correspondant à Thiès)

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Violences faites aux femmes : L’État doit agir maintenant (Thierno Alassane Sall)

« Dans notre pays, les violences faites aux femmes ont atteint un niveau alarmant. Assassinats, viols, agressions physiques ou psychologiques… ». Ce cri du cœur est de l'honorable député Thierno Alassane Sall.

Pour le président du parti la République des valeurs/Réewum Ngor (RDV), « ces actes barbares se multiplient et s’installent peu à peu dans le quotidien comme une sinistre banalité. Chaque drame est une vie brisée et une blessure infligée à l’ensemble de la société ».

Pour le parlementaire, il est temps que « les autorités prennent la pleine mesure de cette situation et agissent avec la fermeté et la rapidité qu’impose l’urgence », car « l’inaction et le silence ne sont plus des options ».

L'ancien ministre de l'Énergie rappelle que « l’État a la responsabilité de protéger les femmes en mettant en place, sans délai, un véritable plan national de lutte contre ces violences. Ce plan doit inclure l’accélération des procédures judiciaires et l’application de sanctions exemplaires contre les auteurs. Il doit offrir une protection réelle aux survivantes, à travers la mise en place d’un numéro vert dédié et la création de centres d’accueil sécurisés, dotés de moyens humains, financiers et logistiques suffisants ».

Aux yeux de TAS, « la prévention est tout aussi essentielle. Un programme national de formation et de sensibilisation doit être mis en œuvre dans les écoles, relayé par les médias et porté par les communautés (à travers les Bàjjenu Gox, les leaders religieux et communautaires, les ASC) afin de déconstruire les comportements violents et de promouvoir une culture du respect ».

Thierno Alassane Sall est aussi d'avis que « les forces de sécurité doivent être pleinement mobilisées, avec des unités spécialisées capables d’écouter, d’accompagner et de protéger efficacement les victimes ». Et qu'« un suivi régulier, assorti de la publication de données fiables sur l’ampleur des violences et sur les réponses apportées, est indispensable pour garantir la responsabilité de l’action publique ».

Le député souligne qu'« aucun pays ne peut prétendre se développer lorsque la moitié de sa population vit dans la peur et l’insécurité permanentes ».

Auteur: Par Cheikh CAMARA (Correspondant à Thiès)
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Commentaires (5)

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    NDIAYE il y a 18 heures

    Bravo 👏🏾👏🏾👏🏾

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    Amaye il y a 18 heures

    Pourquoi vous n'aviez pas agi hier quand vous étiez au pouvoir. Le gouvernement n'a pas besoin de tes conseils. Garde-les pour toi.

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    Lynx il y a 17 heures

    Merci President TAS !
    Vous êtes humain!
    Qu'Allah vous bénisse Amine ya Rabbi

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    Panaf il y a 16 heures

    Il est devenu un comédien

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    Il faut nuancer il y a 14 heures

    Il y a femme et femme. Il ya des femmes sont insolentes, irrespectueuses et traitres qui poussent les hommes au bout et certains perdent controle et fappent. Par contre il y a de vraies femmes, huamines, respectueuses, avec un savoir vivre incroyable, douces, gentisl et disciplinées. Ce gene de femmes mérite tous les respects et aucun homme n'ose lever la main sur elle. Le problème est que les femmes pourries et provocatrices largement minoritaires font leurs bêtises et veulent qu'on les soutiennent comme si elles étaient de la bonne catégories. Ne faisons pas du sensationnel sur la question de certaines femmes qui subissent la violence, il ne faut éduquer les femmes, éduquer les hommes, éduquer notre société afin que les femmes toxiques et les hommes toxiques puissent emportés par la masses respectueuse, humaine et gentille.

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