La CEDEAO : La commission accélère la mise en place de sa force d’intervention rapide contre le terrorisme
Le président de la Commission de la CEDEAO, Dr Omar Alieu Touray, a tiré la sonnette d’alarme devant le Conseil de sécurité de l’ONU, le 18 novembre 2025, à New York.
Selon lui, le terrorisme ne se limite plus au Sahel ni au bassin du lac Tchad. Il touche désormais l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest. Les mécanismes d’alerte précoce de la région ont déjà recensé près de 450 attaques, signe d’une intensification inquiétante de la violence.
Dr Touray a également pointé une « guerre économique » menée par les groupes extrémistes, qui bloquent l’accès au carburant et perturbent fortement les échanges commerciaux.
La CEDEAO accélère la mise en place de sa force d’intervention rapide, initialement prévue pour 1 650 membres mais qui devrait être portée à 5 000 grâce au soutien des États de la région et de leurs partenaires.
Le président de la Commission a ainsi appelé le Conseil de sécurité à aider à restaurer la confiance, garantir un financement stable et renforcer l’appui international à la lutte contre le terrorisme en Afrique de l’Ouest.
Commentaires (19)
Y en a marre du Négre que les autres manipulent et exploitent.
Surtout pas des Toubabs et des Arabes,ces éternels prédateurs économiques et spirituels.
aucun pays de l'Afrique de l ouest seul ne peut lui faire face , faut absolument se coaliser pour en venir a bout . l'exemple du Mali est la sous vos yeux .
arrêtons notre chauvinisme et regardons les choses avec humilité . les pays occidentaux sont aussi vises , une fois l'Afrique sanctuarise , ce sera une base pour former des éléments a envoyer dans le monde entier . le monde entier est concerné .
- 1 - Lorsque la France a transféré ses djihadistes de la Libye au Mali, et qu'ils perpétré un massacre sur un camp militaire, l'armée malienne s'était révolté contre Toumani Touré, et un coup d'état s'en était suivi. Sanogo arrivé au pouvoir avait commandé des armes de la Chine pour exterminer les djihadistes de la France. La CEDEAO avait fait bloquer ces armes par Macky Sall et Alpha Condé. La raison de la CEDEAO a été, officiellement, qu'une victoire de ce pouvoir malien sur les djihadistes les légitimerait. A la place, la CEDEAO se proposa de mobilisée une force africaine pour intervenir au Mali contre les djihadistes. Elle déposa pour une demande de résolution de l'ONU. La France, qui ne voulait pas de CEDEAO au Mali utilisa son lobby pour un refus de l'ONU. L'ONU envoya à la CEDEAO une demande de preuve de sa capacité à intervenir au Mali. En attendant la réponse de la CEDEAO et la mobilisation de sa force, la France lui coupa l'herbe sous les pieds, en intervenant au Mali sans résolution de l'ONU sur simple demande de son pion Diocounda Traoré qui assurait la transition.
- 2 - La diplomatie de la CEDEAO avait réussi à rallier le Nigéria et le Ghana, dans un projet de monnaie unique qui remplacerait le CFA et les monnaies du Nigéria et Ghana. Le projet avança jusqu'à la fixation des dates de réalisation. La France de Macron utilisa son pion Alassane Ouattara pour une rencontre à Abidjan pour la création d'une monnaie unique de la CEDEAO qui s'appellerait ECU. Ils annonçaient même la date de début, publieront des échantillons de leur ECU dans les médias. Le Ghana et le Nigéria, dégoûtés par cette instrum3nt1losation insultante des dirigeants francophones par la France, quittirent la projet de monnaie unique. La France ayant obtenu ce qu'elle voulait, la mort du projet de monnaie unique, ne parla plus jamais de l'autre projet bidon ECU.
Voilà la CEDEAO. Mais aussi, vous avez compris le travail des médias qui ne vous rappellent jamais de pareils faits réels, permettant de comprendre la vraie nature de nos présidents.
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