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Recettes pétrolières et gazières : Le montant «surprenant» que le Gouvernement attend sur 3 ans

Auteur: Youssouf SANE

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Recettes pétrolières et gazières : Le montant «surprenant» que le Gouvernement attend sur 3 ans

L’Etat du Sénégal a dévoilé ses projections de recettes sur l’exploitation et la commercialisation du pétrole et du gaz. Et le montant global est loin d’être exceptionnel.

On est bien loin des 700 milliards de francs Cfa de recettes pétrolières et gazières par an. Ces projections réalisées en 2021 par le régime de Macky Sall, ne semblent plus d’actualité. En effet, dans son Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpbep) 2026-2028, le ministère des Finances table sur des chiffres loin d’être mirobolants.

Pas même 15% du service de la dette

Globalement, les nouveaux gouvernants n’attendent que 227.2 milliards de francs Cfa des ressources pétrolières et gazières sur la période triennale. Une somme qui ne couvre même pas 15% du service de la dette extérieure du pays qui est aujourd’hui à 1538 milliards de francs Cfa en 2025.

Le gouvernement espère 61.5 milliards pour l’année 2026, 91.9 milliards pour 2027 et 73.7 milliards de francs Cfa pour 2028. «Ces chiffres proviennent de la mise à jour des projections de recettes effectuées par le Comité d’évaluation et de prévisions des recettes d’hydrocarbures», renseigne le document.

Très loin des 700 milliards miroités sous Macky

Et pourtant, 2021, Mamadou Faye, alors Directeur général de Petrosen, était dithyrambique sur les recettes attendues des hydrocarbures. Il déclarait, lors d’un conseil présidentiel sur la répartition des revenus issus du Pétrole et du Gaz, que le pays attendait 700 milliards de francs Cfa de recettes par année.

Au total, ils tablaient sur 20 790 milliards de francs Cfa pour les 30 prochaines années. Il s’agit de 9350 milliards de francs Cfa pour le projet gazier Grand Tortue Ahmeyim, 8195 milliards pour le projet pétrolier Sangomar et 3245 milliards pour Yaakar Téranga. Aujourd'hui, la réalité semble toute autre.

Auteur: Youssouf SANE

Commentaires (17)

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    Nit il y a 5 heures

    On va de désillusion à désillusion...Je les entends déjà dire que les chiffres étaient maquillés.

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    Vérité il y a 5 heures

    Produire 100 mil baril par jour ce n'est pas grand chose. En fait les recettes pétrolières ne sont pas aussi conséquentes pour transformer le Sénégal en Dubaï. Il faut arrête r cette illusion et dire aux jeunes d'aller travailler. C'est l'investissement qui fait booster un pays qu'il soit national ou étranger.

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    je ne crois pas il y a 3 heures

    On attends les 700 milliards de francs Cfa. Daye yombe troppe. La quantité de pétrole exploité est au dessus de ce qu'on attendez ; On doit surveiller ses gougnafieers

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    mitho il y a 3 heures

    Vérité le gourou sonko et ses sbires disaient le contraire. Ils disaient qu'avec nos ressources tous les jeunes auront du travail

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    GNL il y a 2 heures

    c'est normal MFB parle d'impots et TVA. Et la part de Petrosen ?

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    yaram il y a 4 heures

    la baisse du cout de l energie pour les consommateurs senegalais est un minimum

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    Ndandane. il y a 4 heures

    Sous Macky sale le Senegal était un pays 10% sur tous les contrats.

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    Kheuch il y a 4 heures

    Je ne sais pas d'où viennent les 700 milliards
    La situation est simple : Pendant les 10 premières années, le cost oil (cout des invedriseeements : 6000 milliards cfa) est remboursé par les productions de Gaz et de pétrole (jusqu'à 80 % des montants). Seuls les 20 %restant profit oil sont partagés entre les compagnies et l'état. Plus les années passent plus le ratio se stabilise. Le nouveau code pétrolier permettra de renverser cette tendance. Maintenant le Senegal doit prendre sa part et investir dans Kayar Profond (gaz) au lieu de faire la grande gueule et jouer avec des chiffres. A part les recette fiscales sur les exportations et le chiffre d'affaire, nous avons 18% du profit oil qui vont monter chaque année

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    DOFF REEK il y a 4 heures

    Sur une année seulement pour le pétrole et imaginons qu'on gagne que 3 USD par baril ( prix NET très fantaisiste et minimaliste à mort, juste un prix si on se faisait enc.... sans vaseline et avec du sable)! Voyons voir :
    100000 Barils x 3 USD x 365 = 109 000 000 USD Soit 61 898 160 000 FCFA!!!!!!!!!!!!!! Et ca c'est RIEN ????? Et on n'a pas encore les recettes du gaz, du phosphates, du zircon, du fer, de l'OR, et une jeunesse ( pour le secteur primaire)etc...................
    Il faut arrêter de nous divertir et nous faire croire que l'or n'est pas l'or , le Sénégal reste un pays très très riche mais très très appauvri et cela reste la faute de nos élites politiques, intellectuelles , religieuses, économiques, etc....
    Oui le Sénégal peut être transformé en DUBAI très vite et même est plus riche que DUBAI !!Le problème est ailleurs , nos richesses tuent nos enfants et engraissent ceux de la planète et nous en sommes les premiers responsables surtout DIOMAYE. Prenez votre courage à deux mains et portez vos c..........lles!!!!

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    Reply il y a 4 heures

    Cette analyse oublie un élément majeur, à savoir la dette contractée par le Sénégal dans le cadre des investissements réalisés et qui s'amortit pendant ces premières années d'exploitation. Il en resulte outre les revenus directs, d'une diminution de la dette du Sénégal.

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    Julio il y a 4 heures

    Le regime de Macky Sall faisaient dormir les Senegalais c'est tout. Ils savaient tres bien que les MIETTES qui revenaient au Senegal sur la base des contrats n'atteindraient pas 700 milliards de francs Cfa de recettes pétrolières et gazières par an. En plus l'ancien regime a des dettes envers Woddside.
    Tout ce qu'on peut esperer pour le moment est de recevoir assez de notre petrole et gas pour la consommation locale. On pourra raffiner notre propre petrole et utiliser notre gas au lieu d'importer ces resources.
    Pour le long terme, on peut aussi esperer une renegociation de ces contrats qui amenera plus de revenues pour les Senegalais... Mais ca va prendre du temps dans les tribunaux internationales amoins que les pressure fiscales contre Woodside marchent. Pour le gas, heureusement on a un autre gisement pas encore exploite ou on aura un partage plus avantageux pour le Senegal.

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    Kheuch il y a 3 heures

    Au lieu d'une analyse technique tu nous parles de régime On s'en fout des régimes Rien a faire de la politique Ciao

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    dmeo il y a 3 heures

    Vous avez intérêt à baisser l'électricité le plus vite possible parce que c'est obligation. On a le pétrole et le gaz

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    Deug il y a 3 heures

    Il faut accélérer la pression fiscale sur ces compagnies pétrolières et gazières c est le seul moyen souverain de tirer profit de nos ressources fiscalité tout azimut,sur leur partenaires et sous traitants étrangers dans le nouveau code Le trésor peut aller chercher des milliards et le contenu local va largement en profiter.

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    x il y a 3 heures

    un pays producteur de gaz et de petrole qui importe du gaz et du petrole😡😡😡Maky et sa bande de voleurs ne sont plus donc il faut que ca cesse

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    Illusionniste il y a 3 heures

    Je ne crois en aucun chiffre avancé par le gouvernement actuel, avec les magiciens statisticiens et analystes financiers spécialistes du bizutage des chiffres. La marge d’erreur en projection financière ne peut dépasser 10%, soit 640 milliards attendus. Maintenant la moins value déclaré supérieur à cette marge d’erreur, elle va où ? dans le budget souple de la présidence, de la primature, de l’assemblée nationale ? J’attends une communication du gouvernement sur cela , ok !!!

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    Talibe il y a 3 heures

    Le Sénégal n a pas la technologie pour exploiter son pétrole ou gaz donc ont ce que l on nous done. Si on veut être indépendant il faut envoyer tout le monde à l école et ne pas laisser les enfants traîner dans la rue

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    x il y a 1 heure

    arabie saoudite, koweit etaient a presque 100% de nommades brdouins dans le desert et pourtant leur richesses les ont bien servi😂

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    Xnox il y a 3 heures

    Tu n'as pas l’expertise ni les moyens et tu veux avoir toutes les retombées dès les premières années du production. Dites-moi dans quel pays ça existe ?
    Sincèrement le niveau de réflexion de certaines personnes m'inquiètes.

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    Ah les casamançais il y a 2 heures

    Youssouf Sané de Casamance , n'est ce pas ? Youssouf , fais un effort et cherche à te documenter et à t'instruire si tu veux écrire sur un sujet aussi sérieux que le pétrole et le gaz ; un journaliste doit s'éloigner de la politique politicienne pour etre crédible

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    Mbay il y a 2 heures

    Chers journalistes,
    Bonjour
    Depuis deux mois, l'OAPI empêche les inventeurs de consulter sur son site les mémoires descriptifs de leurs inventions.
    Or si l'on ne consulte pas les mémoires descriptifs, on ne peut pas connaître la portée des revendications des inventions, par conséquent on ne pas faire opposition aux autres brevets et on ne pas apporter des innovations aux inventions existantes.
    Autrefois, il y a juste trois mois si l' on tape le nom d'un inventeur sur Google, on a accès aux informations sur ses inventions.
    Aujourd'hui si vous faites la même recherche, Google vous donne le numéro de brevet d'invention de l'inventeur et son nom , son adresse.. et il vous renvoie sur le site de l'OAPI qui vous dit que ce brevet n'existe pas. Hélas ! Ça dure depuis deux mois.
    Le conseil d'administration de l'OAPI garde le silence, le Directeur Denis B. garde lui aussi le silence etc.
    Pendant ce temps, les investisseurs qui recherchent des informations sur les inventions en Afrique n'y trouvent pas sur le site de l'OAPI, les inventeurs ne peuvent pas rédiger leur demande de brevet faute d'accès aux mémoires descriptifs etc...
    A qui profite cela ?
    Le DG de l'OAPI peut- elle délibérément empêcher les inventeurs de sa juridiction de déposer leur demande dans le délai de priorité pour favoriser les inventeurs des autres juridictions ? Ou bien voudrait-il permettre aux inventeurs des autres juridictions de déposer dans sa juridiction. des demandes sur des inventions existantes , lui qui est à la fin de son mandat ?
    Les ministres de l'industrie des pays membres de l'OAPI ne sont-ils pas informé de la situation ? Sinon , pourquoi gardent- ils eux-aussi le silence ?
    Voilà autant de questions auxquelles les inventeurs africains de la zone OAPI attendent des réponses.

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    Daouda il y a 1 heure

    Ceux qui disent qu'on reçoit des miettes pourquoi ils n'ont pas fait des études pour être des ingénieurs capables dexploités notre pétrole et gaz.Vous ne pouvez même pas fabriquer un vélo et vous êtes surpris que nos pays n'ont que 10% des recettes pétrolière et gazière.Démlén diagui mo gueune.Bandes de feneants.😂

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    Mbé Mbé il y a 38 minutes

    @Mbay----- oh ohh c'est trop puissant, ici on parle graisse de boa....OU koulouna/kuluna/culuna/....OU le niger va t il chicoter Lille ou Strasbourg ?....OU 2050 c'est demain

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