Calendar icon
Monday 01 September, 2025
Weather icon
á Dakar
Close icon
Se connecter

Ce que Macky reproche aux multinationales

Auteur: SenewebNews

image

Macky Sall aux Multinationales

Le président Macky Sall, invité du sommet du G7, s’est exprimé sur la question des inégalités, thème phare de l’édition de cette année. Lors de sa fameuse interview accordée à nos confrères de la Rfi, il a donné sa solution pour réduire ces inégalités. «Si nous voulons justement une société plus équitable, il faut absolument que les richesses paient des taxes là où elles sont produites.

Or nous savons que c’est un combat de longue haleine de l’Afrique pour amener à changer la donne sur notamment aujourd’hui les facilités fiscales qui sont le fait des grandes multinationales», a déclaré le chef de l’Etat. De quelles entreprises s’agit-il plus précisément ? Le chef de l’Etat répond: «Ce sont toutes les multinationales.

Car selon les domaines, ça peut être celles du pétrole, celles du gaz, des entreprises minières, mais également des télécoms. Donc, ce sont toutes les multinationales qui ont des stratégies en fait de congé fiscal et qui bénéficient très souvent de législations anciennes. Il faut amener les partenaires, si vraiment les gens veulent lutter contre les inégalités, à faire en sorte que les règles changent », indique-t-il.

Auteur: SenewebNews

Commentaires (19)

  • image
    e il y a 5 ans

  • image
    e il y a 5 ans

  • image
    il y a 6 ans

    Il faut aussi que les ressources ou les miettes obtenues reviennent aux pays africains et non à leur dirigeant et leur famille.

  • image
    il y a 6 ans

    Thieye Presi Macky! C est bien, surtaxer les multinationales pour avoir plus d'argent dans ton coffre personnel. Khamna apres ca tu ne voudras plus partir et tu vas courrir pour un troisieme mandat, n'est ce pas presi?
    Presi, tu devrais te mefier de manger ce qui ne t'appartient pas, moytouko dé!

  • image
    il y a 6 ans

    ________________________________________














    Alors que la question de la nationalisation des hydrocarbures en Bolivie a entraîné la démission de l'ancien président Carlos Mesa, en juin 2005, le nouveau dirigeant bolivien, Evo Morales Ayma, en a fait son cheval de bataille (1). En pleine campagne électorale, en 2005, il déclarait déjà que « [...] la Bolivie, malgré le pillage, est encore riche et les ressources appartiennent au peuple qui doit pouvoir exercer son droit de propriété. Nous annulerons les lois qui ont livré les hydrocarbures aux multinationales, car elles sont illégales, n'ayant pas été approuvées par le Parlement [...] et nous devons industrialiser les ressources naturelles pour soutenir le développement (2) ». Cette idée de nationaliser les hydrocarbures n'est donc pas nouvelle et le peuple bolivien a témoigné son appui à cette cause lors de nombreuses manifestations. C'est donc en réponse aux pressions exercées par son peuple que le président bolivien a présenté, le 1er mai dernier, le décret 28701 qui stipule que tous les hydrocarbures du pays seront nationalisés (3).

    À qui profite l'argent généré par les hydrocarbures?

    La Bolivie est le pays le plus pauvre du continent sud-américain. En fait, 70 % de ses 9 millions d'habitants vivent sous le seuil de la pauvreté (4) et le produit intérieur brut (PIB) per capita est de 949 $ (5), et ce, malgré ses richesses naturelles importantes. En effet, la Bolivie possède les deuxièmes réserves de gaz naturel de l'Amérique du Sud après le Venezuela, soit 1550 millions de mètres cubes (6). Selon Morales, la nationalisation aidera à diminuer cet écart tout en rapportant des revenus supplémentaires à l'État de 400 millions de dollars américains (7).

    À la suite de l'annonce de la nationalisation des hydrocarbures, en mai 2006, un délai de 180 jours a été accordé aux vingt-six compagnies étrangères établies en Bolivie afin de négocier de nouvelles ententes avec le gouvernement bolivien de manière « juste et équitable » (8). À la demande d'Evo Morales, les forces armées ont aussitôt occupé les gisements de gaz naturel et de pétrole afin de faire respecter cette nouvelle mesure (9). En outre, cette restructuration majeure s'effectue sous la supervision de la compagnie bolivienne YPFB (Yacimientos Petroliferos Fiscales Bolivianos) qui s'occupe de régulariser les prix et les volumes d'exportation des hydrocarbures des multinationales étrangères.

    Il va sans dire que cette décision ne plaît pas à tout le monde, notamment au Brésil, dont la moitié de la consommation de gaz naturel provient de la Bolivie (10). L'Union européenne et les États-Unis ont aussi émis leur crainte quant à cette décision qui pourrait faire augmenter le prix du baril de pétrole. D'autant plus que l'ambition du président bolivien ne s'arrête pas là; « Nous avons commencé à nationaliser les hydrocarbures, demain ce seront les mines, les forêts et toutes les ressources naturelles (11). »

    Un tournant vers la gauche

    La nationalisation des hydrocarbures n'est pas seulement une décision économique, mais elle s'inscrit aussi dans une stratégie politique plus globale. En fait, lors de son séjour à la Havane, en avril 2006, Morales a signé avec le dirigeant cubain Fidel Castro et le président vénézuelien Hugo Chavez, le Traité de commerce des peuples (TCP). Ce document est en fait une alternative au libre-échange signé par la Colombie et le Pérou avec les États-Unis, en plus d'être une façon de contrer l'impérialisme américain dans la région andine (12). La signature de ce traité multilatéral est considérée par certains comme un rapprochement idéologique avec les « régimes de gauches nationalistes (13)». En fait, cet accord n'a pas seulement des impacts économiques, mais aussi une grande portée politique.

    La pression exercée par le peuple bolivien à l'égard de son gouvernement a permis de nationaliser les hydrocarbures du pays. Cette décision a permis aux Boliviens de s'approprier cette ressource naturelle ainsi que de diminuer l'ingérence étrangère dans l'économie du pays. Finalement, la nationalisation a rapproché le gouvernement bolivien de Cuba et du Venezuela afin de créer une potentielle zone de libre-échange sud-américaine et ainsi contrer la puissance américaine. Il reste maintenant à savoir si cette prise en main de l'économie du pays par Evo Morales et le rapprochement de la Bolivie avec certains régimes de gauche auront les effets escomptés à long terme ou si les impacts seront de courte durée.




  • image
    il y a 6 ans

    Je confirme sa mechanceté.Arretons de jetter des fleurs à sa femme car avec tout le poids qu’elle pese sur macky si elle est à l’aise par rapport aux larmes de la mére de Khalifa sall j’en deduis que Mareme faye est loin de l’image qu’elle montre

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    ________________________________________











    Des dirigeants tels Moralès de la Bolivie, et Al Siisi de l'Egypte ont imposé aux compagnies étrangères exploitant les richesses de leurs pays des conditions favorables à leur peuple.

    Le président Sall est un peureux face aux compagnies étrangères, il pense qu'il pourrait être victime de coup d'état s'il n'allait pas dans le sens des intérêts des étrangers avant ceux des Sénégalais.



    POUR INFO VOICI UN ARTICLE DE 2006.



    ________________________________________














    Alors que la question de la nationalisation des hydrocarbures en Bolivie a entraîné la démission de l'ancien président Carlos Mesa, en juin 2005, le nouveau dirigeant bolivien, Evo Morales Ayma, en a fait son cheval de bataille (1). En pleine campagne électorale, en 2005, il déclarait déjà que « [...] la Bolivie, malgré le pillage, est encore riche et les ressources appartiennent au peuple qui doit pouvoir exercer son droit de propriété. Nous annulerons les lois qui ont livré les hydrocarbures aux multinationales, car elles sont illégales, n'ayant pas été approuvées par le Parlement [...] et nous devons industrialiser les ressources naturelles pour soutenir le développement (2) ». Cette idée de nationaliser les hydrocarbures n'est donc pas nouvelle et le peuple bolivien a témoigné son appui à cette cause lors de nombreuses manifestations. C'est donc en réponse aux pressions exercées par son peuple que le président bolivien a présenté, le 1er mai dernier, le décret 28701 qui stipule que tous les hydrocarbures du pays seront nationalisés (3).

    À qui profite l'argent généré par les hydrocarbures?

    La Bolivie est le pays le plus pauvre du continent sud-américain. En fait, 70 % de ses 9 millions d'habitants vivent sous le seuil de la pauvreté (4) et le produit intérieur brut (PIB) per capita est de 949 $ (5), et ce, malgré ses richesses naturelles importantes. En effet, la Bolivie possède les deuxièmes réserves de gaz naturel de l'Amérique du Sud après le Venezuela, soit 1550 millions de mètres cubes (6). Selon Morales, la nationalisation aidera à diminuer cet écart tout en rapportant des revenus supplémentaires à l'État de 400 millions de dollars américains (7).

    À la suite de l'annonce de la nationalisation des hydrocarbures, en mai 2006, un délai de 180 jours a été accordé aux vingt-six compagnies étrangères établies en Bolivie afin de négocier de nouvelles ententes avec le gouvernement bolivien de manière « juste et équitable » (8). À la demande d'Evo Morales, les forces armées ont aussitôt occupé les gisements de gaz naturel et de pétrole afin de faire respecter cette nouvelle mesure (9). En outre, cette restructuration majeure s'effectue sous la supervision de la compagnie bolivienne YPFB (Yacimientos Petroliferos Fiscales Bolivianos) qui s'occupe de régulariser les prix et les volumes d'exportation des hydrocarbures des multinationales étrangères.

    Il va sans dire que cette décision ne plaît pas à tout le monde, notamment au Brésil, dont la moitié de la consommation de gaz naturel provient de la Bolivie (10). L'Union européenne et les États-Unis ont aussi émis leur crainte quant à cette décision qui pourrait faire augmenter le prix du baril de pétrole. D'autant plus que l'ambition du président bolivien ne s'arrête pas là; « Nous avons commencé à nationaliser les hydrocarbures, demain ce seront les mines, les forêts et toutes les ressources naturelles (11). »

    Un tournant vers la gauche

    La nationalisation des hydrocarbures n'est pas seulement une décision économique, mais elle s'inscrit aussi dans une stratégie politique plus globale. En fait, lors de son séjour à la Havane, en avril 2006, Morales a signé avec le dirigeant cubain Fidel Castro et le président vénézuelien Hugo Chavez, le Traité de commerce des peuples (TCP). Ce document est en fait une alternative au libre-échange signé par la Colombie et le Pérou avec les États-Unis, en plus d'être une façon de contrer l'impérialisme américain dans la région andine (12). La signature de ce traité multilatéral est considérée par certains comme un rapprochement idéologique avec les « régimes de gauches nationalistes (13)». En fait, cet accord n'a pas seulement des impacts économiques, mais aussi une grande portée politique.

    La pression exercée par le peuple bolivien à l'égard de son gouvernement a permis de nationaliser les hydrocarbures du pays. Cette décision a permis aux Boliviens de s'approprier cette ressource naturelle ainsi que de diminuer l'ingérence étrangère dans l'économie du pays. Finalement, la nationalisation a rapproché le gouvernement bolivien de Cuba et du Venezuela afin de créer une potentielle zone de libre-échange sud-américaine et ainsi contrer la puissance américaine. Il reste maintenant à savoir si cette prise en main de l'économie du pays par Evo Morales et le rapprochement de la Bolivie avec certains régimes de gauche auront les effets escomptés à long terme ou si les impacts seront de courte durée.







    Alors que la question de la nationalisation des hydrocarbures en Bolivie a entraîné la démission de l'ancien président Carlos Mesa, en juin 2005, le nouveau dirigeant bolivien, Evo Morales Ayma, en a fait son cheval de bataille (1). En pleine campagne électorale, en 2005, il déclarait déjà que « [...] la Bolivie, malgré le pillage, est encore riche et les ressources appartiennent au peuple qui doit pouvoir exercer son droit de propriété. Nous annulerons les lois qui ont livré les hydrocarbures aux multinationales, car elles sont illégales, n'ayant pas été approuvées par le Parlement [...] et nous devons industrialiser les ressources naturelles pour soutenir le développement (2) ». Cette idée de nationaliser les hydrocarbures n'est donc pas nouvelle et le peuple bolivien a témoigné son appui à cette cause lors de nombreuses manifestations. C'est donc en réponse aux pressions exercées par son peuple que le président bolivien a présenté, le 1er mai dernier, le décret 28701 qui stipule que tous les hydrocarbures du pays seront nationalisés (3).

    À qui profite l'argent généré par les hydrocarbures?

    La Bolivie est le pays le plus pauvre du continent sud-américain. En fait, 70 % de ses 9 millions d'habitants vivent sous le seuil de la pauvreté (4) et le produit intérieur brut (PIB) per capita est de 949 $ (5), et ce, malgré ses richesses naturelles importantes. En effet, la Bolivie possède les deuxièmes réserves de gaz naturel de l'Amérique du Sud après le Venezuela, soit 1550 millions de mètres cubes (6). Selon Morales, la nationalisation aidera à diminuer cet écart tout en rapportant des revenus supplémentaires à l'État de 400 millions de dollars américains (7).

    À la suite de l'annonce de la nationalisation des hydrocarbures, en mai 2006, un délai de 180 jours a été accordé aux vingt-six compagnies étrangères établies en Bolivie afin de négocier de nouvelles ententes avec le gouvernement bolivien de manière « juste et équitable » (8). À la demande d'Evo Morales, les forces armées ont aussitôt occupé les gisements de gaz naturel et de pétrole afin de faire respecter cette nouvelle mesure (9). En outre, cette restructuration majeure s'effectue sous la supervision de la compagnie bolivienne YPFB (Yacimientos Petroliferos Fiscales Bolivianos) qui s'occupe de régulariser les prix et les volumes d'exportation des hydrocarbures des multinationales étrangères.

    Il va sans dire que cette décision ne plaît pas à tout le monde, notamment au Brésil, dont la moitié de la consommation de gaz naturel provient de la Bolivie (10). L'Union européenne et les États-Unis ont aussi émis leur crainte quant à cette décision qui pourrait faire augmenter le prix du baril de pétrole. D'autant plus que l'ambition du président bolivien ne s'arrête pas là; « Nous avons commencé à nationaliser les hydrocarbures, demain ce seront les mines, les forêts et toutes les ressources naturelles (11). »

    Un tournant vers la gauche

    La nationalisation des hydrocarbures n'est pas seulement une décision économique, mais elle s'inscrit aussi dans une stratégie politique plus globale. En fait, lors de son séjour à la Havane, en avril 2006, Morales a signé avec le dirigeant cubain Fidel Castro et le président vénézuelien Hugo Chavez, le Traité de commerce des peuples (TCP). Ce document est en fait une alternative au libre-échange signé par la Colombie et le Pérou avec les États-Unis, en plus d'être une façon de contrer l'impérialisme américain dans la région andine (12). La signature de ce traité multilatéral est considérée par certains comme un rapprochement idéologique avec les « régimes de gauches nationalistes (13)». En fait, cet accord n'a pas seulement des impacts économiques, mais aussi une grande portée politique.

    La pression exercée par le peuple bolivien à l'égard de son gouvernement a permis de nationaliser les hydrocarbures du pays. Cette décision a permis aux Boliviens de s'approprier cette ressource naturelle ainsi que de diminuer l'ingérence étrangère dans l'économie du pays. Finalement, la nationalisation a rapproché le gouvernement bolivien de Cuba et du Venezuela afin de créer une potentielle zone de libre-échange sud-américaine et ainsi contrer la puissance américaine. Il reste maintenant à savoir si cette prise en main de l'économie du pays par Evo Morales et le rapprochement de la Bolivie avec certains régimes de gauche auront les effets escomptés à long terme ou si les impacts seront de courte durée.




  • image
    il y a 6 ans

    Macky est nul à chier et méchant

  • image
    il y a 6 ans

    Macky sall comme un esclave qui parle à son maître pour lui dire donne moi un peu plus pour calmer un peu la misère de ces misérables sénégalais .la honte d'avoir un président pareil, les occidentaux sont des racistes ils en fou de la souffrance des africains y'a que le rapport de force qui compte contre eux il nous faut un ousmane sonko. Pas avec un Macky sall préfet soumis aux blancs le Sénégal c'est une colonie des occidentaux qui rentrent sans le moindre visa malgré le pétrole et le gaz trouver dans le pays, ils peuvent placer leur terrorisme partout dans le pays mais on a un lion qui dort.

  • image
    il y a 6 ans

    De toute facon il y aura toujours les memes qui critiqueront le president, peu importe ce qu'il fait ou ce qu'il dit... La majorite ont confiance en leur president ! MACKY REK

  • image
    il y a 6 ans

    Il est temps de resoudre le probleme des encarts entre les classes sociales, et ca c'est une des solutions pour y parvenir. Le presi sait tres bien quoi faire

  • image
    il y a 6 ans

    Moi j'ai confiance en Macky, le president du peuple et non pas ceux des riches comme Wade et compagnie...

  • image
    il y a 6 ans

    Il a raison c'est une des bases d'une democratie, les riches ne peuvent pas payer les memes impots que les pauvres. Il faut y avoir une proportionnalite. Ce genre de chose ca creuse encore plus l'ecart entre les classes. Il a completement raison il faut plus taxe les riches force a vous presi !

  • image
    il y a 6 ans

    Le Président Sall est même très gentil, puisqu'il pense à libérer ce voleur de plus de 2 milliards de F, alors qu'il n'a encore rien remboursé.
    Mais à propos, si Macky Sall le libère, qui va nous rembourser nos 2 milliards ? Macky Sall soi-même, ou ça va passer en "Pertes et profits " ? Il faut nous dire. Nous voulons savoir.

  • image
    il y a 6 ans

    Il n'a pas compris, macron a l'Assemblée générale des nations unies avait déclaré que la france a un devoir de gérer l'Afrique et invitera les pays du g7 a entretenir l'inégalité. C'est à dire continuer de dominer ou recoloniser l'Afrique, c'est pourquoi tous les pays du G7 ont leurs armes au Mali, Burkina, Centrafrique, Gabon, et la nouvelle base aérienne à Dakar et a Djibouti.

  • image
    il y a 6 ans

    SENEWEB LES SALES VENDUS,VOUS POUVEZ SU¨PPRIMER AUTANT QUE VOUS VOULEZ MAIS QUE CHACUN DE VOS AGENTS VENDUS SAIT QU'IL Y'A A LEUR DROITE ET GAUCHE DES CREATURES QUI NOTENT MEME LES MOTS SUPPRIMER.VOUS PAIEREZ POUR TOUTTE LA DEPRAVATION QUE VOUS VEHICULEZ DANS CE PAYS.

    LE RV DE LA MORT NE RATERA PAS INCHALLAH

    LES COMPTES SERONT RENDU INCHALLAH ALORS SUPPRIMER AUTANT QUE VOUS VOULEZ BANDE DE SATANISTE

  • image
    il y a 6 ans

    UN VOLEUR N'A RIEN A DIRE.TU PAIERAS MATY ASLE SOIT SURE DE CA SALE APOTRE DE SATAN

  • image
    il y a 6 ans

    Macky c de tres bien de ce kil parle… ce nest pas un problem proper a lafrik….c un debat de ts les jours o usa pourkoi les gdes companies comme amazon ki generent des milliards de dollar ne paient pas des impots

  • image
    il y a 6 ans

    IL EST LA HONTE DE L'AFRIQUE CE PIETRE PRESIDENT MACKY.

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    ET TON PERE EST LA FIERTE DE L'AFRIQUE POUR AVOIR MIS AU MONDE UN INSULTEUR PROFESSIONNEL!!!!!!

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    macky sall est gros fils de pute ,il ne fait que depiter des aneries quil ne comprends meme pas

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    macky sall est gros fils de pute ,il ne fait que depiter des aneries quil ne comprends meme pas

  • image
    elhadji il y a 6 ans

    Et le francs CFA? S'il y'a 1 système qui contribue à appauvrir l'Afrique pour enrichir la France, c'est bien notre monnaie. Et pourtant il le soutient

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    ________________________________________











    Des dirigeants tels Moralès de la Bolivie, et Al Siisi de l'Egypte ont imposé aux compagnies étrangères exploitant les richesses de leurs pays des conditions favorables à leur peuple.

    Le président Sall est un peureux face aux compagnies étrangères, il pense qu'il pourrait être victime de coup d'état s'il n'allait pas dans le sens des intérêts des étrangers avant ceux des Sénégalais.



    POUR INFO VOICI UN ARTICLE DE 2006.



    ________________________________________














    Alors que la question de la nationalisation des hydrocarbures en Bolivie a entraîné la démission de l'ancien président Carlos Mesa, en juin 2005, le nouveau dirigeant bolivien, Evo Morales Ayma, en a fait son cheval de bataille (1). En pleine campagne électorale, en 2005, il déclarait déjà que « [...] la Bolivie, malgré le pillage, est encore riche et les ressources appartiennent au peuple qui doit pouvoir exercer son droit de propriété. Nous annulerons les lois qui ont livré les hydrocarbures aux multinationales, car elles sont illégales, n'ayant pas été approuvées par le Parlement [...] et nous devons industrialiser les ressources naturelles pour soutenir le développement (2) ». Cette idée de nationaliser les hydrocarbures n'est donc pas nouvelle et le peuple bolivien a témoigné son appui à cette cause lors de nombreuses manifestations. C'est donc en réponse aux pressions exercées par son peuple que le président bolivien a présenté, le 1er mai dernier, le décret 28701 qui stipule que tous les hydrocarbures du pays seront nationalisés (3).

    À qui profite l'argent généré par les hydrocarbures?

    La Bolivie est le pays le plus pauvre du continent sud-américain. En fait, 70 % de ses 9 millions d'habitants vivent sous le seuil de la pauvreté (4) et le produit intérieur brut (PIB) per capita est de 949 $ (5), et ce, malgré ses richesses naturelles importantes. En effet, la Bolivie possède les deuxièmes réserves de gaz naturel de l'Amérique du Sud après le Venezuela, soit 1550 millions de mètres cubes (6). Selon Morales, la nationalisation aidera à diminuer cet écart tout en rapportant des revenus supplémentaires à l'État de 400 millions de dollars américains (7).

    À la suite de l'annonce de la nationalisation des hydrocarbures, en mai 2006, un délai de 180 jours a été accordé aux vingt-six compagnies étrangères établies en Bolivie afin de négocier de nouvelles ententes avec le gouvernement bolivien de manière « juste et équitable » (8). À la demande d'Evo Morales, les forces armées ont aussitôt occupé les gisements de gaz naturel et de pétrole afin de faire respecter cette nouvelle mesure (9). En outre, cette restructuration majeure s'effectue sous la supervision de la compagnie bolivienne YPFB (Yacimientos Petroliferos Fiscales Bolivianos) qui s'occupe de régulariser les prix et les volumes d'exportation des hydrocarbures des multinationales étrangères.

    Il va sans dire que cette décision ne plaît pas à tout le monde, notamment au Brésil, dont la moitié de la consommation de gaz naturel provient de la Bolivie (10). L'Union européenne et les États-Unis ont aussi émis leur crainte quant à cette décision qui pourrait faire augmenter le prix du baril de pétrole. D'autant plus que l'ambition du président bolivien ne s'arrête pas là; « Nous avons commencé à nationaliser les hydrocarbures, demain ce seront les mines, les forêts et toutes les ressources naturelles (11). »

    Un tournant vers la gauche

    La nationalisation des hydrocarbures n'est pas seulement une décision économique, mais elle s'inscrit aussi dans une stratégie politique plus globale. En fait, lors de son séjour à la Havane, en avril 2006, Morales a signé avec le dirigeant cubain Fidel Castro et le président vénézuelien Hugo Chavez, le Traité de commerce des peuples (TCP). Ce document est en fait une alternative au libre-échange signé par la Colombie et le Pérou avec les États-Unis, en plus d'être une façon de contrer l'impérialisme américain dans la région andine (12). La signature de ce traité multilatéral est considérée par certains comme un rapprochement idéologique avec les « régimes de gauches nationalistes (13)». En fait, cet accord n'a pas seulement des impacts économiques, mais aussi une grande portée politique.

    La pression exercée par le peuple bolivien à l'égard de son gouvernement a permis de nationaliser les hydrocarbures du pays. Cette décision a permis aux Boliviens de s'approprier cette ressource naturelle ainsi que de diminuer l'ingérence étrangère dans l'économie du pays. Finalement, la nationalisation a rapproché le gouvernement bolivien de Cuba et du Venezuela afin de créer une potentielle zone de libre-échange sud-américaine et ainsi contrer la puissance américaine. Il reste maintenant à savoir si cette prise en main de l'économie du pays par Evo Morales et le rapprochement de la Bolivie avec certains régimes de gauche auront les effets escomptés à long terme ou si les impacts seront de courte durée.







    Alors que la question de la nationalisation des hydrocarbures en Bolivie a entraîné la démission de l'ancien président Carlos Mesa, en juin 2005, le nouveau dirigeant bolivien, Evo Morales Ayma, en a fait son cheval de bataille (1). En pleine campagne électorale, en 2005, il déclarait déjà que « [...] la Bolivie, malgré le pillage, est encore riche et les ressources appartiennent au peuple qui doit pouvoir exercer son droit de propriété. Nous annulerons les lois qui ont livré les hydrocarbures aux multinationales, car elles sont illégales, n'ayant pas été approuvées par le Parlement [...] et nous devons industrialiser les ressources naturelles pour soutenir le développement (2) ». Cette idée de nationaliser les hydrocarbures n'est donc pas nouvelle et le peuple bolivien a témoigné son appui à cette cause lors de nombreuses manifestations. C'est donc en réponse aux pressions exercées par son peuple que le président bolivien a présenté, le 1er mai dernier, le décret 28701 qui stipule que tous les hydrocarbures du pays seront nationalisés (3).

    À qui profite l'argent généré par les hydrocarbures?

    La Bolivie est le pays le plus pauvre du continent sud-américain. En fait, 70 % de ses 9 millions d'habitants vivent sous le seuil de la pauvreté (4) et le produit intérieur brut (PIB) per capita est de 949 $ (5), et ce, malgré ses richesses naturelles importantes. En effet, la Bolivie possède les deuxièmes réserves de gaz naturel de l'Amérique du Sud après le Venezuela, soit 1550 millions de mètres cubes (6). Selon Morales, la nationalisation aidera à diminuer cet écart tout en rapportant des revenus supplémentaires à l'État de 400 millions de dollars américains (7).

    À la suite de l'annonce de la nationalisation des hydrocarbures, en mai 2006, un délai de 180 jours a été accordé aux vingt-six compagnies étrangères établies en Bolivie afin de négocier de nouvelles ententes avec le gouvernement bolivien de manière « juste et équitable » (8). À la demande d'Evo Morales, les forces armées ont aussitôt occupé les gisements de gaz naturel et de pétrole afin de faire respecter cette nouvelle mesure (9). En outre, cette restructuration majeure s'effectue sous la supervision de la compagnie bolivienne YPFB (Yacimientos Petroliferos Fiscales Bolivianos) qui s'occupe de régulariser les prix et les volumes d'exportation des hydrocarbures des multinationales étrangères.

    Il va sans dire que cette décision ne plaît pas à tout le monde, notamment au Brésil, dont la moitié de la consommation de gaz naturel provient de la Bolivie (10). L'Union européenne et les États-Unis ont aussi émis leur crainte quant à cette décision qui pourrait faire augmenter le prix du baril de pétrole. D'autant plus que l'ambition du président bolivien ne s'arrête pas là; « Nous avons commencé à nationaliser les hydrocarbures, demain ce seront les mines, les forêts et toutes les ressources naturelles (11). »

    Un tournant vers la gauche

    La nationalisation des hydrocarbures n'est pas seulement une décision économique, mais elle s'inscrit aussi dans une stratégie politique plus globale. En fait, lors de son séjour à la Havane, en avril 2006, Morales a signé avec le dirigeant cubain Fidel Castro et le président vénézuelien Hugo Chavez, le Traité de commerce des peuples (TCP). Ce document est en fait une alternative au libre-échange signé par la Colombie et le Pérou avec les États-Unis, en plus d'être une façon de contrer l'impérialisme américain dans la région andine (12). La signature de ce traité multilatéral est considérée par certains comme un rapprochement idéologique avec les « régimes de gauches nationalistes (13)». En fait, cet accord n'a pas seulement des impacts économiques, mais aussi une grande portée politique.

    La pression exercée par le peuple bolivien à l'égard de son gouvernement a permis de nationaliser les hydrocarbures du pays. Cette décision a permis aux Boliviens de s'approprier cette ressource naturelle ainsi que de diminuer l'ingérence étrangère dans l'économie du pays. Finalement, la nationalisation a rapproché le gouvernement bolivien de Cuba et du Venezuela afin de créer une potentielle zone de libre-échange sud-américaine et ainsi contrer la puissance américaine. Il reste maintenant à savoir si cette prise en main de l'économie du pays par Evo Morales et le rapprochement de la Bolivie avec certains régimes de gauche auront les effets escomptés à long terme ou si les impacts seront de courte durée.




  • image
    il y a 6 ans

    dénonçons avec la plus grande énergie l'ouvrage "histoire générale du sénégal" qui vient d'être publié et dans lequel les wolofs du sénégal sont écartés de l'histoire de leur propre pays. Non, messieurs les "historiens" prétendus : le cayor n'est pas un pays sérère, le damel n'est pas une institution sérère, les fall ne sont pas des sérères, les damels ne sont pas des sérères, lat dior n'est pas un sérère!

    Non, messieurs les prétendus historiens, le djoloff n'a pas été créé par des étrangers mais par des wolofs! Non messieurs les prétendus historiens, le djoloff n'a jamais été un vassal du fouta!

    Non messieurs les prétendus historiens, les lébous ne sont pas des sérères, mais une communauté composée à plus de 90% de wolofs et qui ont pris l'appelation lébou il y'a pas deux siècles .

    Ne minimisons pas la nocivité de ces ouvrages! évaluons le lavage de cerveau pour nos enfants et les générations futures. C'est la communauté wolof même qui est en danger.

    Dans les ouvrages, ils trouvent "sensible" de parler de quelle ethnie est majoritaire, mais curieusement, ils n'ont pas trouvé sensible de nier aux wolofs leur existence et de les déposséder de leurs empire et royaumes.

    Ils ont trouvé qu'on ne devait pas distinguer toucouleurs, peuls, laobés qui formeraient, selon eux, la même ethnie, mais ils ont curieusement trouvé qu'il fallait distinguer les lébous des wolofs.

    Une grave et dangereuse idéologie se cache derrière cette prétendue "histoire générale du sénégal" et nous devons la dénoncer et exiger la rectification de ces ouvrages malfaisants.

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    il ne faut pas emotif. il faut partir des faits.
    C'est le probleme des africains. L'emotion negre. il fut chercher la raison scientifique.

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    c est vrai ke les Damel ne sont pas sereres. le cayor fut habite par les serereres, wolof et lebou majoritairement!

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    c est vrai ke les Damel ne sont pas sereres. le cayor fut habite par les serereres, wolof et lebou majoritairement!

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    Iba Der Thiam est wolof

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    Les sereres n'habitent que les zones périphériques du cayor ( le saloum le sine le fouta sont aussi composé de wolofs et en grand nombre mais on n'en fait pas de vagues).
    Les lebous sont, eux, des wolofs tout comme on accepte que les niominka sont des sereres et les tioubalos des toucouleurs. Mais dans l'ouvrage on a tenté distinguer wolofs et lebous alors qu'on a refusé la même distinction entre peuls et toucouleur
    Iba der thizm est wolof. Et c'est cela la supercherie. On prend un vieux wolof et ont le met à la tête des travaux( pour faire symbole)@. Mais si vous decortiquez la composition des sous groupes vous rendrez compte que ce sont essentiellement des hal pulars qui ont travaillé sur la genèse des ethnies et des royaumes.
    Et la grosse falsification de trouve à ce niveau.

  • image
    reply_author il y a 6 ans

    Les Wolofs sont niaak fayda quand tu dis je suis Wolof on te dit Wolof amoul c'est une insulte kouma ka wax ma saaga la

Participer à la Discussion