Les enseignants de la section départementale du Cusems/Saems décrètent 2 jours de débrayage, mercredi et jeudi prochain à partir de 9 h. Depuis les.examens du Baccalauréat et du Bfem, ils.courent derrière leurs indemnités et si l'État ne réagit pas.au plus vite, ces enseignants déclarent que la bataille sera enclenchée."On a eu a signé avec le gouvernement du Sénégal un protocole d'accord sur les indemnités liées aux examens du Baccalauréat et du Bfem. Ils avaient pris l'engagement de payer toutes les sommes dues avant la.date du 30.novembre et jusqu'à présent rien n'a été fait pour ce qui concerne les collègues qui ont été au niveau des zones et recoins à Dakar. C'est la raison pour laquelle le Cusems de Pikine, de Dakar, de Rufisque et de Guédiawaye ainsi que le Saems ont décidé d'aller en mouvement le.mercredi et jeudi à partir de 9 h. On ne peut pas comprendre 5 mois après avoir été en mission, on est là à attendre nos sous.Nos bureaux ont eu à de poser un préavis qui expire le 6 décembre et si donc le gouvernement ne respecte pas cela, je crois que le.paiement des indemnités peut être un point de départ pour une longue lutte", précise le.coordonnateur du Cusems, sur Iradio.
Faut faire avec eux comme le Président Mamadou Dia en 1959,jecrois,radiée toute la fonction publique. il disait qu'il n'est pas possible de faire grève à la veille de l'indépendance. Aujourd'hui ils revendiquent l'impossible demain avec le pétrole et le gaz ils exigeront la "centitude "de leurs avantages. Faut savoir commencer une grève mais faut surtout savoir l'arrêter !
Répondre à Bimbo
il y a 5 ans
Ce secteur a besoin de gouvernement courageux et batailleur pour faire face vigoureusement à tous ceux qui ne se battent plus pour l'école, mais pour leur calendrier personnel. A l'éducation nationale en général seul le bras de fer arrêtera les grèves intempestives
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veritéil y a 5 ans
Ces syndicats depuis 30 ans sont en grève. Chaque année, ils nous bombardent de nouvelles réclamations. Le système éducatif se dégrade d'année en d'année. On n'enseigne plus par Passion. Les élèves trichent pour passer. Les professeurs cèdent aux tentations des jeunes filles. L'état, avec toutes ses irrégularités dans la gestion des ressources budgétaires, ne peut plus faire face aux multiples charges et indemnités des fonctionnaires. Donc on va bientôt assister à des déballages par presse interposées entre les deux camps. Pendant ce temps, vu qu'il y'a plus cours, les élèves partent à la plage, louent des appartements, fûment comme ils veulent. Et ceci entraîne une régression sans limite du niveau de nos élèves.
Commentaires (3)
Faut faire avec eux comme le Président Mamadou Dia en 1959,jecrois,radiée toute la fonction publique. il disait qu'il n'est pas possible de faire grève à la veille de l'indépendance. Aujourd'hui ils revendiquent l'impossible demain avec le pétrole et le gaz ils exigeront la "centitude "de leurs avantages. Faut savoir commencer une grève mais faut surtout savoir l'arrêter !
Ce secteur a besoin de gouvernement courageux et batailleur pour faire face vigoureusement à tous ceux qui ne se battent plus pour l'école, mais pour leur calendrier personnel. A l'éducation nationale en général seul le bras de fer arrêtera les grèves intempestives
Ces syndicats depuis 30 ans sont en grève. Chaque année, ils nous bombardent de nouvelles réclamations. Le système éducatif se dégrade d'année en d'année. On n'enseigne plus par Passion. Les élèves trichent pour passer. Les professeurs cèdent aux tentations des jeunes filles. L'état, avec toutes ses irrégularités dans la gestion des ressources budgétaires, ne peut plus faire face aux multiples charges et indemnités des fonctionnaires. Donc on va bientôt assister à des déballages par presse interposées entre les deux camps. Pendant ce temps, vu qu'il y'a plus cours, les élèves partent à la plage, louent des appartements, fûment comme ils veulent. Et ceci entraîne une régression sans limite du niveau de nos élèves.
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