L’ancien ministre et maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé qui est cité parmi les personnes devant répondre à la CREI pour les affaires de « biens mal acquis et d’enrichissement illicite » durant l’exercice de leurs fonctions est devant un dilemne.
N’ayant « pas reçu de notifications » par rapport à l’interdiction de sortie du territoire qu’aurait décidé la justice à leur encontre, Baldé tient beaucoup quand même à cette rumeur. Le président de « l’Association des maires du Sénégal » semble être confronté à choisir entre, « aller à l’aéroport pour tenter de voyager ou bien renoncer pour éviter une éventuelle humiliation ». C’est face à cette situation que l’ancien secrétaire exécutif de l’ANOCI a abordé cette mesure avec nos confrères de la Rfm, pour la qualifier de «violation des droits de l’hommes avec le manque de respect de la présomption d’innocence», si elle s’avère vraie. Abdoulaye Baldé annonce qu’il doit « répondre à une invitation de son homologue, le maire le Paris » qui est aussi le Président des maires des pays francophones. Baldé n’a pas encore raté la cible pour demander aux populations de « bouter ce régime dictatorial en 2017 ».
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