Présidence de la République : Un nouveau limogeage après un post critique
La Présidence de la République du Sénégal s’est de nouveau séparée d’une de ses collaboratrices, à la suite d’un post critique sur la place et la gestion des jeunes dans le gouvernement. Il s’agit de Salimata Dieng, secrétaire générale nationale de la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS). Elle est membre active du parti Pastef et figure bien connue de la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS), a été démise de ses fonctions à la Présidence de la République. La décision fait suite à la publication d’un post jugé critique envers la gestion interne du parti et le rôle réservé à la jeunesse dans le fonctionnement de l’État. Elle figurait également à la 30ᵉ position sur la liste nationale de Pastef lors des dernières élections législatives.
Nommée chargée de mission à la Présidence par decret du chef de l’État au même titre que plusieurs jeunes issus du parti, Salimata Dieng a récemment publié un texte intitulé « Pastef entre négligence de la jeunesse et oubli de certains militants… ». Dans ce post, elle appelait à une implication plus forte des jeunes du parti dans la gestion de l’appareil étatique.
Ce message, au ton critique, a rapidement suscité des remous au sein de la Présidence et au sein du parti. Une convocation générale des chargés de mission avec effet immédiat a même été organisée pour évoquer le sujet. Les échos de cette publication ont fini par atteindre le plus haut sommet de l’État, entraînant, selon nos sources, la signature d’un arrêté présidentiel mettant fin aux fonctions de la jeune militante, Salimata Dieng.
Un limogeage passé jusque-là sous silence, tenu dans le plus grand secret, mais qui risque sans doute de provoquer des remous au sein de la JPS de Pastef.
Commentaires (18)
Un précédent dangereux!
C’est le comble de bêtise politique.
La Jeunesse Patriotique reste et restera déterminée pour la réussite de ce projet. Ce ne sont pas quelques petites personnes à la présidence qui vont nous décourager…Vous n’êtes même prêts. Le combat continue
On m'a limoge pour ça.
Salimata Dieng est une militante. bref, un soldat. Elle va se battre pour faire prevaloir ses idées à l'interieur. Si c'est une erreur elle va en apprendre. C'est peut etre une lecon pour les autres!
Macky Sall limogeait aussi quiconque disait qu’il n’avait pas le droit à un second mandat. Mdr.
Caramba! Il vous est impossible de parler de Macky Sall même dans vos problèmes internes. Qu’est-ce qu’il vient faire dans cette histoire entre pastefiens? Nous avons l’impression qu’il vous hante dans vos sommeils.
Jamais dans l'histoire politique du Sénégal un parti politique n'a fait la promotion des jeunes du parti dans l'appareil d', état que le Pastef. Le parti Pastef en a même trop fait. Des DG de moins de 30 ans c'est le Pastef qui l'a fait. Donc, certaines critiques relèvent d'un manque de discernement ou d'un faux débat
Vous aimez trop refaire l’histoire et la réaménager en votre faveur… juste un exemple, le jeunesse socialiste ça vous dit quelque chose?? C’était pas « une promotion de la jeunesse dans le parti » Vraiment vous devriez faire votre autocritique un peu… marre de vos inepties 🐑🐑🐑
Vous aimez trop refaire l’histoire et la réaménager en votre faveur… juste un exemple, le jeunesse socialiste ça vous dit quelque chose?? C’était pas « une promotion de la jeunesse dans le parti » Vraiment vous devriez faire votre autocritique un peu… marre de vos inepties 🐑🐑🐑
*la jeunesse
La presidence a combien de chargés de mission? Payés combien par mois ? Faisant quel travail ?
C'est du recrutement clienteliste. Des emplois fictifs pour les militants de Pastef ? On appelle ça du togg mouy dokh bien huilé. L’APR reste le champion olympique toutes catégories. Mais c'est Abdoulaye Wade qui a inventé la discipline.
Macky en avait, Wade en avait. Et le tout dépassait la centaine. Avec Diomaye jusqu'à recemment le nombre etait presque 50. Un réel souci d'épargne des sous de l'Etat. Les chargés de missions sont importants pour tout president. Sans eux le president risque un jour de dire qu'il ne savait pas "que le lait en poudre etait vendu dans des sachets de 50fcfa"!
aucun changement avec l'ancien régime que du clientélisme politique
C’est grave ce qui se passe dans une formation qui se voulait tjrs transparente. Si on a plus le droit de réclamer plus d’intégration de la qjeunesse si s’est tant donné pour notre accession au pouvoir, ca devient un grand n’importe quoi.
On nous a vendu un bluff alors, purée !
Force à toi sister...
Le combat continuera d’une façon ou d’une autre , ils le feront force avec nous si non bientôt avec Gen Z cette fois ci....
Notre sueur ne sera pas jeter à la poubelle par des bureaucrates de me...de...
Au charbon les gars, dénonçons tous cette trahison.
Pourquoi la presidence reagi a un poste qui concerne Pastef? Diomaye n'est plus membre de Pastef non?
Qui dirige vraiment ce pays? Ce sont les gens de MAcky Sall qui sont toujours au Palais. Pastef n controlle pas la Presidence.
Les jeunes de Pastef doivent tous se rebeller contre ce limogage. Ousmane Sonko lui meme doit amener cette fille a la premature.
Qu'es ce qui se passe au Palais de la republique?
Ndeysaan.
Le parti Etat en action.
Ce pays risque de sombrer.
Pastef est comme le serpent qui mange sa queue.Prompt à sanctionner leurs propres militants, traitant sa jeunesse de boys,ne pouvant guerre aider leurs chroniqueurs quand ils ont des problèmes.
Vous avez oublié comment vous êtes venus au pouvoir.
J'ai bien lu un arrêté présidentiel? Un president décréte...
L’intervention publique d’Ousmane Sonko, interpellant le président Bassirou Diomaye Faye et le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló, ne peut passer inaperçue. Le Premier ministre y affiche une autorité qui dépasse largement son rôle institutionnel, donnant l’impression d’être le véritable maître du pouvoir, et ce, au détriment de la présidence.
Dans notre système, le président de la République est le chef de l’exécutif. S’adresser publiquement à lui, et à un autre chef d’État, n’est pas un acte de franchise : c’est une démonstration de force. Si certains saluent le courage de Sonko, beaucoup y voient une dérive autoritaire, une tentative de s’imposer au sommet de l’État.
Bassirou Diomaye Faye doit trancher. Ne rien faire serait signer son effacement aux yeux de tous. Agir, c’est assumer ses responsabilités et rappeler que le pouvoir ne peut pas être partagé à deux têtes. L’heure de la clarté est venue : le Sénégal ne peut se permettre l’ambiguïté et la confusion dans ses plus hautes sphères.
L’intervention publique d’Ousmane Sonko, interpellant le président Bassirou Diomaye Faye et le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló, ne peut passer inaperçue. Le Premier ministre y affiche une autorité qui dépasse largement son rôle institutionnel, donnant l’impression d’être le véritable maître du pouvoir, et ce, au détriment de la présidence.
Dans notre système, le président de la République est le chef de l’exécutif. S’adresser publiquement à lui, et à un autre chef d’État, n’est pas un acte de franchise : c’est une démonstration de force. Si certains saluent le courage de Sonko, beaucoup y voient une dérive autoritaire, une tentative de s’imposer au sommet de l’État.
Bassirou Diomaye Faye doit trancher. Ne rien faire serait signer son effacement aux yeux de tous. Agir, c’est assumer ses responsabilités et rappeler que le pouvoir ne peut pas être partagé à deux têtes. L’heure de la clarté est venue : le Sénégal ne peut se permettre l’ambiguïté et la confusion dans ses plus hautes sphères.
Scandale “FORA” à Diamaguène Sicap Mbao (328 millions FCFA)
La Coordination des Patriotes de Sam Sam et alliés Jub Jubal Jubanti accuse le maire Cheikh Aliou Bèye dit "Aliou Fora " de mauvaise gestion et de non-traçabilité des recettes du Foirail de Diamaguène Sicap Mbao, estimées à 328 millions FCFA.
Après que le collectif des acteurs du Foirail a dénoncé publiquement cette situation, la Mairie a publié un communiqué pour nier les faits, affirmant que toutes les recettes étaient inscrites dans les comptes administratifs, notamment sous le compte 7110 “Droits de place”.
La Coordination réfute point par point ces arguments :
Sur les accusations :
Le Maire a toujours reconnu dans ses budgets une rubrique “taxe sur le bétail”, mais sans y inscrire de montants (zéro franc).
Plusieurs conseillers municipaux confirment que le Maire niait toute collecte au Foirail.
Sur le “Droit de place” :
La Mairie aurait tenté de dissimuler les recettes du Foirail en les affectant à un compte inapproprié.
La Coordination rappelle que la taxe sur le bétail et la taxe d’abattage sont distinctes du “droit de place” selon la loi.
Le percepteur n’a pas le pouvoir de modifier l’imputation des recettes : seul le Maire en est responsable.
Sur les chiffres déclarés :
Le Maire évoque 25,6 millions FCFA de recettes pour tous les marchés réunis, ce que la Coordination juge “ridicule” face au potentiel de plus de 100 millions FCFA par an généré par le Foirail seul.
Sur la responsabilité :
La Mairie tente de se défausser sur le ministre de l’Élevage et le comité du Foirail, alors que la gestion et la transparence budgétaire relèvent légalement de la commune.
La Coordination accuse le Maire de collecter les taxes du Foirail sans les inscrire dans les comptes officiels, d’opacité financière et de manipulation comptable.
Elle appelle les populations et les conseillers municipaux à exiger une enquête rigoureuse, dénoncer la mal-gouvernance et mettre fin à l’impunité locale......
Un grand voleur
je croyais que diomaye avait démissionné du parti
Cet incident met en lumière, de manière symbolique, l’ambition de Sonko et sa volonté apparente de se positionner comme successeur ou rival de Diomaye. Le fait qu’il ait été intercepté sur le tapis rouge, alors qu’il avançait à ses côtés, peut être perçu comme un reflet de son attitude confiante, voire présomptueuse, comme s’il se voyait déjà dans le rôle de président de la République. Cela souligne à quel point certaines actions ou gestes, même protocolaires, peuvent prendre une dimension politique et symbolique dans le contexte des ambitions personnelles.
Cet incident met en lumière, de manière symbolique, l’ambition de Sonko et sa volonté apparente de se positionner comme successeur ou rival de Diomaye. Le fait qu’il ait été intercepté sur le tapis rouge, alors qu’il avançait à ses côtés, peut être perçu comme un reflet de son attitude confiante, voire présomptueuse, comme s’il se voyait déjà dans le rôle de président de la République. Cela souligne à quel point certaines actions ou gestes, même protocolaires, peuvent prendre une dimension politique et symbolique dans le contexte des ambitions personnelles.
Quand on limoge ces propres militants, ces derniers finissent par se dresser contre vous. Mais on comprend que ces limosages sont des symptômes manifestes d'un manque de démocratie au sein de la plupart de nos formations politiques
Les gens oublient que leur charge leur enleve leur liberté de ton. On ne peut pas etre parmi les plus proche collaborateur du president et critiquer publiquement son action. Elle aurait du demissionner pour retrouver sa liberté de parole. Les jeunes de Pastef pensent que la liberté de parole peut s'exercer n'importe comment, n'importe quand mais la realite va les rattrapper. Une precision le pays n'appartient pas a Pastef, le president doit nommer les jeunes les plus competents et loyaux au pays a la tete des institutions du pays peu importe leur appartenance. Moi je vois que certains ministres et directeurs de Pastef ne sont pas a leur place, la meilleure chose a faire pour le pays et de les remplacer. Le pays ne peut se priver de compétences.
Et pourtant elle a un travail puis se permet de critiquer son propre parti quelle d'échéance morale sûrement ennemi manipulation derrière et elle va rejoindre l'opposition et bon débarras
À la présidence on se tait ou c’est dehors les critiques publiques sont interdites sinon si elle a des choses à dire elle part à la permanence du parti
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