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“J'ai dépensé plus de 200 000 FCFA” : les parents étouffés par les coûts de la rentrée scolaire

Auteur: Adama Sy

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“J'ai dépensé plus de 200 000 FCFA” : les parents étouffés par les coûts de la rentrée scolaire

À quelques jours de la rentrée scolaire 2025, l’angoisse monte chez de nombreux parents d’élèves sénégalais. Entre la hausse vertigineuse des prix des fournitures, les frais d’inscription jugés excessifs et le coût de l’habillement, la facture atteint des sommets. Dans les familles nombreuses, chacun tente tant bien que mal d’équilibrer un budget déjà étouffé par la crise économique.

« J’ai dépensé plus de 200 000 F CFA rien que pour la rentrée »

Au marché de Ouakam, Madjiguène Dieng, mère de cinq enfants, parcourt les étals de friperie pour limiter les frais. « J’ai deux enfants en primaire, deux au collège et une au lycée. Rien qu’entre les fournitures, les habits et les chaussures, j’en suis déjà à 200 000 F CFA, sans compter les inscriptions qui s’ajouteront », confie-t-elle, visiblement épuisée.Consciente que l’éducation est un devoir parental, elle dénonce une charge devenue insoutenable. Madjiguène plaide pour la généralisation du port de l’uniforme dans les écoles publiques afin d’alléger le coût de la rentrée. « Si au moins on généralisait les uniformes dans les écoles publiques, on économiserait sur l’habillement. Moi, je travaille, je peux gérer même si c’est difficile, mais je pense surtout aux familles nombreuses qui n’ont pas les moyens. C’est compliqué. »

« Choisir entre ma propre vie et l’éducation de mes enfants »

Astou Ndiaye, femme de ménage et mère célibataire de trois filles, vit la rentrée comme une véritable épreuve. « Leur père est parti sans jamais se retourner. Depuis, je me bats seule. J’ai commencé à épargner dès le début des vacances et j’ai réussi à mettre de côté 150 000 F CFA, mais ça reste un combat », explique-t-elle. Pour préserver l’éducation de ses filles, elle sacrifie ses propres besoins. « Je renonce à m’acheter des habits, je limite même mes repas. Avec l’état actuel du marché, les articles sont intouchables et je crains fort que mes économies ne suffisent que pour les fournitures et l’habillement, surtout pour ma fille aînée qui est au lycée. Je devrai encore trouver de l’argent pour les inscriptions. C’est très dur avec la vie chère. »Astou appelle à plus de solidarité et à une meilleure régulation. « L’État devrait distribuer gratuitement des kits scolaires aux familles démunies et surveiller les prix des inscriptions. Dans certaines écoles publiques, les montants dépassent les tarifs officiels. »

Des aides jugées insuffisantes

Certes, quelques mairies, ministères et associations distribuent des kits scolaires durant la rentrée pour soulager les ménages. Mais ces gestes, bien que salués, restent marginaux face aux besoins. « Les bonnes volontés font ce qu’elles peuvent, mais c’est loin de couvrir la demande, surtout pour les familles nombreuses. Il faut redoubler d’efforts pour accompagner les couches défavorisées. Nous sommes très fatiguées », insiste Astou Ndiaye.

La facture salée du privé

Pour Ibrahima Sow, père de deux enfants inscrits dans le privé, la facture grimpe vite. « Aujourd’hui seulement, j’ai dépensé près de 100 000 F CFA pour les sacs, cahiers et habits. Avec les inscriptions et uniformes, la note peut atteindre 250 000 F CFA. C’est très coûteux », témoigne-t-il. Il dénonce également certaines pratiques des établissements privés. « Nous payons tout à l’avance, mais les uniformes arrivent parfois en décembre dans certaines écoles privées. On est obligé d’acheter des habits supplémentaires, ce qui alourdit encore les charges. L’État doit encadrer ces écoles et surtout supprimer le paiement obligatoire du mois de juillet, alors que les cours y sont presque inexistants. »

Les vacanciers, une charge supplémentaire

Comme si la crise économique ne suffisait pas, beaucoup de parents doivent aussi gérer le retour des « vacanciers », ces enfants de la famille venus passer l’été en ville. Leur rentrée représente un coût supplémentaire imprévu. Awa Ba, mère de quatre enfants, en héberge deux vacancières depuis juillet. « Mes nièces sont venues en vacances chez moi. Elles repartent maintenant avec de nouveaux sacs, habits et fournitures scolaires que je suis venue acheter. Rien que pour elles, les dépenses s’élèvent à 100 000 F CFA. Avec mes propres enfants, j’attends encore de me débarrasser des vacancières. Avec eux aussi, c’est sûr que je vais encore dépenser 200 000 F CFA. La rentrée peut me revenir jusqu’à 300 000 F CFA. Je suis complètement dépassée. Les dépenses de la rentrée nous mettent dans le rouge », explique-t-elle.

Commerçants prudents, clients hésitants

Sur le marché, les commerçants constatent eux aussi la morosité. Modou Diouf, vendeur de sacs et de gourdes au marché Ouakam, note une baisse sensible de fréquentation. « Cette année, les parents achètent au compte-gouttes. La conjoncture économique freine tout le monde. Les bénéfices sont bien plus faibles que l’an dernier. Ce pays est à terre économiquement et ce sont les ménages qui en paient le prix fort », lâche-t-il.

Une rentrée sous tension

À quelques jours seulement de l’ouverture des classes, les familles, particulièrement les plus nombreuses et celles qui hébergent des vacanciers, vivent la rentrée comme une course d’endurance, souvent semée de sacrifices. Entre frais d’inscription, vacanciers à équiper et achats multiples, la rentrée 2025 pèse lourd sur les ménages. Les parents appellent l’État à renforcer les subventions, encadrer les prix et généraliser les uniformes afin que l’éducation ne devienne pas un luxe.

Auteur: Adama Sy
Publié le: Mercredi 01 Octobre 2025

Commentaires (24)

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    teuss il y a 19 heures

    Ah, voilà le genre d’articles qui fâche les Pastéfiens. Faut surtout pas leur parler de cherté de la vie, ça les pique direct. "Deuk bi dafa méti, dafa wow, dafa deugueur'' la niouy bagna dégg.

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    Boy Dakar il y a 19 heures

    Les éternels mécontents de l'ancien regime (ndéddoko mbandoum yi) Toujours dans les commentaires de ce genre d'articles

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    Tolou il y a 18 heures

    Vraiment du n'importe quoi ce pays

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    Pas si pauvre que ça il y a 14 heures

    Vous êtes riche Monsieur 200 000 F cfa !

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    EVA il y a 14 heures

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    Chut il y a 7 heures

    C'est des ecoles privées donc Woniu état nekou ci. Tu fais le choix d'aller dans le privé faut assumer. Moi j'ai fait tout mon cursus dans le.privè c'ètait le meme prix voir plus cher à l'époque, mes parents n'en n'ont pas fait une tonne. Donc fajt assumer les coûts et se taire ou sortir les enfants du privé et les mettre dans le public.

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    mdr il y a 6 heures

    ils se font beaucoup de gosses et se plaignent après

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    Bintou il y a 19 heures

    Les enfants de Diomaye et Sonko sont gérés par les fonds politiques de 11 et 9 milliards.
    Continuez à souffrir, c'est le projet.

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    babel il y a 19 heures

    D'autres conduisent des véhicules de 90 millions

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    Jean-le-fou il y a 15 heures

    Encore pire. Cette année ils ont poussé l'ineptie jusqu'à taxer le transport des écoliers. J'ai été ahuri lorsque la caissière du groupe scolaire m'a informé que le nouveau régime à introduit une taxe sur le transport et la cantine scolaire. Quelle hérésie au moment où certains pays rendent gratuits la cantine scolaire et le transport des élèves. I am desappointed.

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    Boy Dakar il y a 19 heures

    Les éternels mécontents de l'ancien regime (ndéddoko mbandoum yi) Toujours dans les commentaires de ce genre d'articles

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    Caisses noires ya bon il y a 19 heures

    vos médiocres ne font rien de concret, bientôt 2 ans...rien, touss, nada...........le porozet : du carton à bouffer pour les moutons !!...deja baisses des droits de douanes et encadrement des prix : un début de solutions............2050 c'est demain: putain 1/4 de siecle !!

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    Hé! il y a 19 heures

    Pour éviter de telles dépenses d'argent 💰, il faut faire des calculs 🧮 financiers avant de concevoir des bébés. Un enfant qui vient au monde engendre des frais.

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    Sii Dii il y a 16 heures

    C'est notre véritable problème. La pauvreté, l'incivisme, le défaut d'éducation, l'insalubrité, la promiscuité, l'occupation anarchique de l'espace public, l'obscurantisme ont pour origine la surpopulation incontrôlée.

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    Jean-le-fou il y a 15 heures

    Si ton père avait fait ce calcul mesquin, tu ne serais pas là à écrire des inepties. Il fallait demander à ton père de serrer son caleçon ou demander à ta mère de porter une ceinture de chasteté en acier inoxydable.

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    @Hé! il y a 15 heures

    Mon ami, quand toto est dans tata, tu peux être agrégé de maths que tu n’arriveras pas à faire une simple opération du primaire! Et hélas ça peut arriver sans que tu le veuilles!

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    Rama il y a 19 heures

    En France l état donne une aide pour la rentrée scolaire pour les familles à faibles revenus

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    la France c'est un paradis il y a 14 heures

    Oui , seuls les pestiférés et les panafricons font semblant de ne pas savoir que la France est un paradis , un beau pays peuplé de gens adorables

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    Nianthio il y a 18 heures

    Sonko moy Diomaye
    Diomaye moy sonko
    Vous allez tous payer

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    Travailleur il y a 18 heures

    “J'ai dépensé plus de 200 000 FCFA”
    Ce montant n est rien comparé aux montants que vous dépsensez pendant des événements inutiles aux enfants, à la société, à la Ré^publique.
    Vous dépensez des millions ou des milliards pour cérémonies inutiles, alors que 200 mille pour éduquer ses enfants c'est utile.

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    Hors sujet il y a 14 heures

    Hors sujet

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    Bizarrement il y a 6 heures

    Ça semble être une enquête fake : ils disent avoir dépensé en Fourniture + Habit + Chaussures en attendant les frais des inscriptions qui viendront s'y ajouter. Mais comment peut-on acheter des fournitures avant l'inscription ? C'est bien après inscription que l'on obtient la liste des fournitures.

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    education il y a 18 heures

    l’État doit mieux gérer les établissements scolaires privés. C'est de l'anarchie totale. Il faut les encadrer pour le bien-être de tout le monde. Une façon de le faire est d'investir massivement dans l’éducation publique. Si l'offre publique est meilleure, les établissements privés vont se ranger! Il faut aussi le nombre de bébés selon notre pronostic de l'avenir que nous souhaitons avoir.

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    extra il y a 17 heures

    franchement ce que j'ai du mal a comprendre c'est la payement du mois de Juillet dans les etablisssements prives alors que des Juin les enfants sont en vacances. meme pour le mois d'Octobre on ne devrait pas payer plein tarif tous les moyens sont bons pour presser les parents comme du citron

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    bouki il y a 16 heures

    Les partisans du took mouy dokh decouvre subitement que la vie est chere !!! les moutons de Macky Sall ne savaient pas combien coutait un cahier ni un stylo . le prix des fournitures n'ont pas changé etre 2020 et aujourdhui .

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    Erratum errata il y a 16 heures

    Le mois de juillet est payé parce que l'année scolaire se termine en fin juillet. Même si l'élève ne fait aucun cours en juillet, il y a le travail administratif qui est fait derrière (correction des copies de la dernière composition, conseil des classes, décisions d'une éventuelle réorientation, remise des bulletins qui mobilise une partie du personnel, pour les candidats au BFEM et au bac suivi, renforcement et conseils surtout pour le second tour du bac, ...

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    khalatt il y a 16 heures

    C'est du n'importe quoi.
    On n'a pas assez et on dit prendre en charge la rentrée des vacancières.
    De plus, li faut arrêter de mettre vos enfants dans le privé si vous n'avez pas les moyens.
    C'est parce qu'on râle et. puis on paye quand même que les écoles privées augmente les frais.

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    nana il y a 15 heures

    qui mange une noix de coco fais confiance à son anus n'est ce pas?

    population senegalaise et surtout les gens des villes continuez à vouloir portez sur vos epaules ce que vous ne pouvez transporter: charge des vacanciers, vouloir mettre ses enfants dans le privés alors qu'on a pas de revenus mensuel stables, vouloir changer la garde robe des enfants à chaque rentrée, vouloir de nouveaux sacs, etc etc.
    ca montre que les parents n'apprennent meme pas aux enfants àse contenter de ce qu'ils ont et d'etre econome.

    Dans pleins de lycées à dakar, on y retrouve des eleves dont les parents ont bcp les moyens, et ce sont des parents intelligents car le mieux c'est de mettre ses enfant dans le public et de leur trouver un répétiteur , ce qui engendre peu de frais.

    Mais bon, komm meunn nguenn rekk, atiha lenn rekk. je ne vais pas vous plaindre

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    jb il y a 12 heures

    Vous avez bien raison sur toute la ligne. Rien à ajouter

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    Lunsonn il y a 14 heures

    Comparaison n'est pas raison.
    Il faut que l'école publique retrouve ses gloires dans le temps l'état à trop regarder les écoles privées gagnaient du terrain Je ne dit pas que c'est pas bien mais ça coûte un bas pour la majeure partie des senegalais débrouillards.
    Les parents ont le devoir de payer les charges mais l'état doit accompagner les plus démunis.
    Dans d'autres pays l'état verse une aide scolaire à chaque enfant à partir du primaire à hauteur de 240000F
    Il faut arrêter de dire aux gens d'arrêter de faire des enfants parceque il faut penser à cette population qui va vieillir donc au renouvellement de la population.

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    Bebert il y a 14 heures

    Dans d'autres pays l'état verse une aide scolaire à chaque enfant à partir du primaire à hauteur de 240000F...cite m"en 2...pas 10 mais 2

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    Momo2 il y a 13 heures

    Ces gens parlent d’habits, de chaussures, quel est le lien avec la rentrée ? Si on n’a pas les moyens, pourquoi acheter des habits neufs ? Surtout qu’il y a les tenues scolaires ? Beaucoup parmi ceux qui sont au sommet aujourd’hui n’avaient même pas 2 culottes pour aller à l’école dans les villages. Les gens veulent vivre au dessus de leurs moyens, mon neveu n’a même pas 300 mille de salaire et il envoie ses 2 enfants dans une école primaire privée très éloignée, il paie une forte scolarité sans compter l’abonnement au bus, les goûters, etc. Alors qu’à deux pas de chez nous, en moins de 5 mn à pied, il y a une école primaire publique. Et le comble, c’est que ses enfants ont des notes très moyennes, alors que l’école publique de notre quartier fait du 100% aux examens. Pourtant dans cette école publique il y a des enfants dont les parents sont beaucoup plus riches que mon neveu (qui lui-même a fait l’école publique). On aime se plaindre que la vie est chère alors qu’on privilégie des futilités. Les prix du riz, de l’huile, du sucre, du pain, bref de l’alimentation, ne sont rien par rapport aux gaspillages d’eau, d’électricité, de téléphone, d’habillements, de fêtes, de magals, gamou, etc. Comparativement aux pays développés, nous avons beau à apprendre.

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    Ami il y a 10 heures

    Ma Sha Allah. Vous avez tout dit.

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    Gg il y a 13 heures

    Surtout les écoles privées ya trop d'arnaque il te font payer le mois de juillet en même temps le mois de Septembre,sans compter les frais d'inscription. Le gouvernement doit voir ce qui se passe dans les écoles privées.

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    Citoyen il y a 12 heures

    C'est le privé celui qui n'est pas content il peut aller dans le public pourquoi faire toujours des histoires..........

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    broto il y a 13 heures

    comment font ils ceux qui ont 2 ou 3 femmes avec au moins 20 enfants

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    Réponse il y a 13 heures

    D'habitude, nous avons relativement les moyens de faire face. Mais, elles, qui ont accepté de partager notre vie, partagent aussi nos joies et nos défis... Certes, c'est de notre devoir de tout gérer, mais elles appuient de bon cœur quand elles le peuvent ou le veulent sans contrainte. Accepter la polygamie c'est quand même être très croyante et aimer son conjoint. Quant à nos enfants, nous les aimons tellement que nous ne les percevons pas comme des lourdes charges. Même le monogame a des difficultés financières des fois dans la vie; elle n'est pas toujours rose pour lui, ni toujours noir ou rouge pour nous... Si on est croyant et lucide, on sait que les jours se suivent mais ne se ressemblent pas, et c'est valable pour tout mortel!

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    @reponse il y a 12 heures

    mdr

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    Privé il y a 10 heures

    Dakar est trop chère et je me demande bien pourquoi. Les fournitures meme pour le parterre ça va te coûter un bras et dans le privé il faut payer 10 mois pour 9mois de cours chacun fait ce qu'il veut . Parler nous de comment vivre mieux comment aller de l'avant mais politique matin midi soir vous nous soûlez à la fin

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    Défenseur il y a 9 heures

    Les frais d'inscription sont excessifs

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    mine de rien il y a 8 heures

    mine de rien, 200 mille, ce n'est même pas le prix d'un bon "cheveux naturels" ! Entre "cheveux naturels" et fournitures scolaires, faut choisir !
    wa salaam !

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    parent islam il y a 8 heures

    moi je dois dépenser presque 2 millions pour mes enfants mais Yalla bakhna

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    Camenni il y a 6 heures

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