Une histoire d’amour entre S. Fall et K. Faye s’est terminée devant le tribunal de grande instance de Mbour. À la question de la présidente sur une éventuelle demande de dommages et intérêts, K. Faye a répondu : « Nama bayi adouna ak alakhira » (Qu'il me laisse tranquille).
S. Fall a été condamné à six mois de prison, dont un mois ferme, pour atteinte à la vie privée et diffusion de données à caractère personnel, après avoir partagé une vidéo intime de son ex-compagne, K. Faye.
S. Fall a expliqué que, après avoir découvert des messages d’autres hommes dans la messagerie de K. Faye, leur relation s’est rompue. Toujours épris, il s’est rendu tardivement chez elle, mais a confondu sa chambre avec celle de sa sœur, provoquant un incident où il a failli être lynché, pris pour un voleur. K. Faye a ensuite rapporté avoir subi des menaces, des injures, et la diffusion d’une vidéo la montrant nue, envoyée par S. Fall à sa sœur et à une amie.
Interrogée, K. Faye a déclaré que la vidéo avait été filmée à son insu par S. Fall pendant qu’elle prenait son bain. Ce dernier a reconnu l’avoir enregistrée et envoyée, sous le coup de la colère après avoir découvert ses échanges avec d’autres hommes, mais a nié toute diffusion publique sur les réseaux sociaux. « Je me sens désolé et je m’en excuse », a-t-il déclaré à l’audience.
Le témoignage de Mariama Dione a renforcé les accusations. Elle a révélé que S. Fall, sous une fausse identité et avec un numéro étranger, avait tenté de la séduire, avant qu’elle ne découvre qu’il était l’ex de K. Faye.
Le tribunal a finalement prononcé une peine de six mois de prison, dont un mois ferme, contre S. Fall.
Commentaires (6)
Entre Fall et Faye qui est homme et femme ? Je comprends rien
Entre Fall et Faye qui est homme et femme ? Je comprends rien
Entre Fall et Faye qui est homme et femme ? Je comprends rien
La bonne traduction, c'est "QU'IL me laisse tranquille" et non "QU'ELLE me laisse tranquille".
Les Fall aussi sont devenus encombrant
La Presse Sénégalaise soyez sérieux, cette salle, c'est le tribunal d'Abidjan lors du procès de Simone Gbagbo
Ce texte n’est clair que dans la tête de celui qui l’a écrit. Pepepepepepep
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