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Sinthiou Malème : Un mort dans la collision de deux motos-Jakarta

Auteur: Ousmane Ndiaye correspondant Tambacounda

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Sinthiou Malème : Un mort dans la collision de deux motos-Jakarta

Un choc frontal entre deux conducteurs de motos-Jakarta, survenu ce jeudi aux environs de 18 h 30 mn au village de Saré Fodé, dans la commune de Sinthiou Malème, département de Tambacounda, a fait un mort. Ce nouvel accident relance le débat sur l'insécurité routière et les risques liés à la conduite imprudente des motos dans la région. 

Aussitôt informés, les gendarmes de la compagnie de Tamba se sont déportés sur les lieux en compagnie des sapeurs-pompiers. Après les constatations d'usage, le corps a été déposé à la morgue du centre hospitalier régional de Tambacounda.

À Tambacounda, les accidents impliquant les motos-Jakarta sont devenus fréquents. Les principales causes identifiées sont la vitesse excessive, le non-respect du Code de la route et l’état dégradé des routes, en plus du non-port du casque de protection, tant chez les motocyclistes que chez les passagers.

Malgré les initiatives des autorités, comme la sensibilisation des conducteurs et les formations pour les jeunes usagers, les accidents restent nombreux et rappellent l’urgence de renforcer les efforts pour améliorer la sécurité routière dans la région orientale.   

Auteur: Ousmane Ndiaye correspondant Tambacounda
Publié le: Jeudi 09 Octobre 2025

Commentaires (1)

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    BVC il y a 1 jour

    ANASER : une agence prise en otage par son DG
    1. Un directeur général en contradiction permanente
    L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
    Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
    2. Agents dispersés, missions inexistantes
    La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
    Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
    3. Illégalité et silence complice
    Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
    Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
    Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
    Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
    4. Népotisme et gestion clanique
    Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
    5. Une agence détournée de sa mission
    Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
    Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
    ↩️ Répondre+10 4

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