Everton : La réaction de Gana Gueye après son carton rouge
Idrissa Gana Gueye a pris un carton rouge ce lundi, lors du match qui opposait son club, Everton, à Manchester United. Le milieu de terrain des lions, qui est entré dans une colère noire contre un de ses coéquipiers, Michael Keane, et aurait giflé ce dernier. Expulsé par l’Arbitre, il s’est excusé au terme de la rencontre.
«Je tiens tout d’abord à présenter mes excuses à mon coéquipier Michael Keane. J’assume l’entière responsabilité de ma réaction. Je présente également mes excuses à mes coéquipiers, au staff, aux supporters et au club», a-t-il réagi sur ses plateformes numériques.
Commentaires (10)
C est à cause de Diomss
Diomokéniéta 😂😂
Diomokéniéta 😂😂
Idi, il faut apprendre à te maîtriser. Un sportif de haut niveau de ta trempe ne doit pas faire ça. Présenter des excuses c’est bien, mais apprendre à se maîtriser c’est mille fois mieux !
il est humain, shit happens
Dafco pouss mou mbeth ko. Je pense ke daniou ame bif
Guissouma loufi diar keg akk khoulo wala talata
Petit essaie de te maîtrisé ton expérience ta trahi aujourd'hui merci de t'avoir excusé et ne le fait jamais
Il s'est excusé par grandeur et par politesse mais on voit bien que le premier coup ou poussé vient pertinemment de son coéquipier Keane. Ce n'est pas vraiment une gifle, dafko ray. Sinon, ça allait être un coup de boule comme Zidane.
Keane ne sait pas qu'Idrissa Gana est un boy Médina- Geule-Tapée, un vrai Waga si on le cherche sur son chemin.
Les cités en Angleterre sont bien pires que celles de la Medina et ce que les gosses de ces cités osent faire, ceux de la Médina n'en oseraient pas le quart. Vous etes plein de prejugés.
@uk a raison les roadmen d'angleterre sont plus fous que le jeune dakaraois
En bon sénégalais, immature
Mane lou dale Sénégalais bamou yakarni dafa wara conseiller tout le monde diakhalnama.
Depuis quand gana joue au foot est-ce que rek meusga guiss une telle réaction de sa part arrête way
ANASER : une agence prise en otage par son DG
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Qui cherche trouve fier de toi un vrai sénégalais lou takh moulaye wakh amo khél
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