Pour quelqu’un qui a tendance à adopter des positions pro-islam radicales...
il y a 1 an
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Pour quelqu’un qui a tendance à adopter des positions pro-islam radicales...
Tiens, tiens, comme on se retrouve !
Les propos du Premier ministre Ousmane Sonko suivis de la lettre de l'Abbé André Latyr Ndiaye ont provoqué une polémique.
Cheikh Oumar Diagne, ministre conseiller, Directeur des moyens généraux de la présidence de la République, apporte un “soutien total à Ousmane Sonko”.
Depuis samedi, le Sénégal vit au rythme de la controverse suscitée par la lettre ouverte de l'Abbé André Latyr Ndiaye.
La pondération des gouvernants est un élément principiel du vivre ensemble.
L'imam Kanté estime que l'abbé André Latyr Ndiaye « n'a pas répondu à la question fondamentale posée par le Premier ministre, notamment sur l'interdiction du voile en milieu scolaire ».
L'Abbé André Latyr Ndiaye, membre du clergé catholique, a exprimé son avis sur les déclarations récentes du premier ministre concernant le port du voile...
Tiens, tiens, comme on se retrouve !
Les propos du Premier ministre Ousmane Sonko suivis de la lettre de l'Abbé André Latyr Ndiaye ont provoqué une polémique.
Depuis samedi, le Sénégal vit au rythme de la controverse suscitée par la lettre ouverte de l'Abbé André Latyr Ndiaye.
L'imam Kanté estime que l'abbé André Latyr Ndiaye « n'a pas répondu à la question fondamentale posée par le Premier ministre, notamment sur l'interdiction du voile en milieu scolaire ».
L'Abbé André Latyr Ndiaye, membre du clergé catholique, a exprimé son avis sur les déclarations récentes du premier ministre concernant le port du voile...
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
La famille diocésaine de l’Archidiocèse de Dakar a célébré par anticipation la fête de l’Immaculée conception de la Vierge Marie, ce vendredi 07 décembre, dans le doyenné de Plateau Médina, en la chapelle Saint Laurent de Gibraltar, à Dakar. Elle célébrait également ce lien fort de la communion avec son Pasteur propre, « principe visible et fondement de l’unité de son diocèse », qui présentait à Dieu, en action de grâces, 38 ans d’épiscopat et 4 ans de cardinalat.
Le premier tour, dimanche, de l’élection présidentielle occupe largement les journaux du week-end après la clôture vendredi d’une campagne électorale qui a duré 21 jours. Pour ce scrutin, 14 candidats dont le chef de l’Etat sortant, Me Abdoulaye Wade sont en lice.‘’L’heure de vérité’’, a sonné, estiment les journaux Enquête et Le Populaire. ‘’A vos armes !’’, titre Le Quotidien là où le journal Le Pays affiche : ‘’5, 3 millions d’électeurs votent demain, citoyens, aux urnes’’.Abordant les aspects organisationnels du scrutin de dimanche, Le Soleil relève : ‘’le matériel électoral en place, la Commission électorale nationale (CENA) prête, 5000 observateurs accrédités’’.
Des acteurs du jeu politique et des religieux se prononcent Après une relative période d'accalmie, la violence politique a fini de refaire surface depuis quelques jours, à quatre mois de la cruciale élection présidentielle. Les affrontements entre jeunes du Mouvement du 23 juin (M23) et ceux du Parti démocratique sénégalais (Pds) à Bambey, durant le week-end, avec à la clé l'agression perpétrée contre Mme Gnagna Ndaw, coordonnatrice départementale du Mouvement politique citoyen «Luy jot jotna» (Mpcl), n'augurent rien de bon, après que les domiciles de Tanor Dieng et de Moustapha Niasse ont été encerclés par des nervis. Et dans cette escalade de la violence, même des chiens dangereux sont mis à contribution. Une situation lourde de dangers pour la stabilité du pays qui préoccupe la classe politique, toutes obédiences confondues. Mais également les religieux qui plaident pour la paix des coeurs.
![[ Contribution ] Sénégal : Wade et les religieux ( Par Pathé MBODJE, Journaliste, sociologue](/sites/seneweb-com/v9/img/posts/content-horizontal/1.webp)
Le différend Wade-religieux du Sénégal ne trouverait-il pas au fond son explication dans une différence idéologique entre un libéralisme sauvage et une paupérisation continue des populations sénégalaises ? Invitée à la table ronde conjointe organisée le 31 décembre par les télévisions "Wal Fadjri-2STv-Canal Info News", la Coalition Sopi a dépêché un énergumène qu'aucune rédaction ne devrait logiquement recevoir, en souvenir du saccage impuni des locaux de certains journaux, notamment des quotidiens "L'As" et de "24 heures Chrono". Sa prestation sera à l'image du sire : triste, volant aux ras des pâquerettes, simpliste et réductrice
« Je ne me souviens pas avoir dit ça… » Suite à ses propos relatifs aux icônes dans les églises, le président de la République aurait confié lors d’une réunion de crise tenue mardi au palais ne pas souvenir de ce qu’il a dit, a rapporté mercredi le quotidien Kotch. « Je ne me souviens pas avoir dit ça… », barre à sa Une le quotidien, selon lequel le président Wade était mardi en réunion de crise avec des proches dont des catholiques.
Des représentants du gouvernement ont eu une réunion à huis clos, mardi, avec le chef de l’Eglise catholique du Sénégal, le cardinal Théodore Adrien Sarr, mais aucune des parties n’a fait de déclaration, a constaté l’APS. Le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales Aliou Sow, le chef du protocole Bruno Diatta et Lamine Faye, garde du corps du chef de l’Etat, se sont rendus mardi après-midi au domicile du cardinal Théodore Adrien Sarr, à Dakar.Pierre Goudiaby ‘’Atépa’’, ministre, conseiller du président de la République, était, lui aussi, au domicile de Mgr Sarr, où la délégation a passé environ une heure. Elle est repartie sans faire de déclaration.
