Affaire Binetou Guèye : La thèse du meurtre privilégiée, les deux parents du mari, principal suspect, arrêtés
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Affaire Binetou Guèye : La thèse du meurtre privilégiée, les deux parents du mari, principal suspect, arrêtés
Les femmes arrêtées dans la cadre de l’enquête de l’affaire des « boulettes pour fesses » ont unanimement contesté les faits qui leur sont reprochés.
Le procès des « boulettes pour fesses » est ouvert au tribunal de Pikine-Guédiawaye.
Initialement prévu au tribunal de flagrants délits de Pikine-Guediawaye, le procès de l'affaire dite des « boullettes pour fesses » a été renvoyé au mercredi 5 février prochain.
Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly a dressé un bilan sombre du tandem Diomaye-Sonko. Pour lui, le Sénégal traverse une crise qui a pour conséquence, entre autres, la cherté des denrées alimentaires.
Un collectif d’une centaine d'artistes, d'universitaires et de divers citoyens sénégalais lance un appel pour que cessent la répression que mène actuellement le régime du président Macky Sall, et l’impunité internationale dont il bénéficie.
Un collectif d’une centaine d’artistes, universitaires et divers citoyens sénégalais lance un appelpour que cesse la répression que mène actuellement le régime du président Macky Sall, et l’impunité internationale dont il bénéficie.
Ndeye Gueye s’est prononcée sur la...
Le journaliste investigateur Baba Aidara, connu lui aussi pour son combat pour la bonne gouvernance au Sénégal, vole au secours de la fille de Mame Mactar Guèye...
La page est tournée pour Mame Makhtar Gueye dans l'affaire de sa fille Fatou Binetou Gueye
La fille de Mame Matar Guèye, Fatou Binetou Guèye, âgée de 21 ans, a été conduite dans...
Sa fille unique, déclarée « portée disparue » vendredi dernier, a finalement été retrouvée samedi dans une « auberge de la place » selon les enquêteurs de la police.
Le constat est pathétique. Les chiffres font froid dans le dos.
La page est tournée pour Mame Makhtar Gueye dans l'affaire de sa fille Fatou Binetou Gueye
Le représentant du parquet a fait son réquisitoire dans l'affaire dite "Fraudes au bac".
Ramata Fam et Awa Diawara, deux grandes commerçantes ayant pignon sur rue à Dakar, ont soldé leurs comptes, hier, à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. A l’origine de leur différend, une opération de commerce de «Café Touba» qui a mal tourné. Mme Diawara a comparu sous la prévention d'abus de confiance portant sur la somme de 26 millions de francs Cfa au préjudice de Mme Fam.
Au-delà de cette ténébreuse affaire d’infiltration de narcotrafiquants nigérians au cœur du système sécuritaire sénégalais - lequel est justement sensé lutter contre le trafic de stupéfiants -, et qui laisse encore abasourdie toute une conscience collective; après les cérémonies officielles ayant marqué il y a juste un mois la journée du "26 Juin", décrétée en 1988 par les Nations-Unies "Journée Internationale de Lutte contre la Drogue"
Quatre mois à la prison centrale de Rebeuss. Arrêté puis emprisonné pour séquestration, menace de mort, détournement de mineure, puis relâché par main levée (fausse accusation), le guide religieux, Cheikh Abdoulaye Diagne appartenant aux ‘’Yalla Yalla’’, pour Nettali revient sur l’affaire qui a défrayé la chronique.
Les douze personnes cueillies par les éléments de la sûreté urbaine lundi dernier étaient hier devant le juge du tribunal des flagrants délits. Elles répondaient aux chefs d’accusation de proxénétisme et de prostitution sans inscription au fichier sanitaire et social. Devant la barre, les dix filles nient les charges retenues contre elles, mais reconnaissent qu’elles massaient les clients jusqu’à éjaculation. Les proxénètes disent s’y adonner par ignorance. L’affaire est mise en délibéré au 1er juillet prochain. Affaire de sexe devant le juge une fois de plus. Moins d’une semaine après l’affaire de Mathiou et Cie, le tribunal a vidé ce qu’on pourrait appeler l’affaire Coumba Sall.
Rien ne va plus entre la dame Fatou Binetou Ngom et son mari Cheikh Modou Guèye. En effet, la coépouse de l’ex-ministre de la Femme, Aïda Mbodji (4e femme de M.Guèye), a passé la nuit d’hier à la brigade de gendarmerie de Ouakam sur plainte de son mari et sur instruction du procureur de la République. Elle sera déférée ce matin au parquet et risque de passer la Tabaski loin de ses enfants. Ce qui vaut à la dame des bisbilles avec la justice, c’est une plainte pour injures déposée par son mari le 05 décembre dernier. Auditionnée une première fois, elle a été laissée libre avant d’être convoquée à nouveau, hier vers 17 heures. Sa surprise sera grande lorsqu’une fois à la brigade, on lui a notifié sa garde-à-vue pour être déférée ce matin au parquet.