Affaire Doudou Coulibaly : « Il n’a rien à faire en prison » (Alioune Tine)
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Affaire Doudou Coulibaly : « Il n’a rien à faire en prison » (Alioune Tine)
La décision du président sortant Macky Sall de reporter l’élection présidentielle n’est pas sans conséquence dans son entourage. Si certains continuent de justifier cette mesure, d’autres ont tout bonnement rompu avec leur camp. Ce qui augure un malaise profond.
Remis en selle par le président Macky Sall aussitôt après sa retraite, l’ex président de la Cour Suprême, Cheikh Ahmed Tidiane Coulibaly...
Le jour où j’en aurai la volonté ou le désir, je le ferai, dixit Macky Sall sur la grâce présidentielle de l’ancien maire de Dakar.
L’affaire remonte à septembre 2002. Le général Gueï est tué par balle le jour d’un coup d’État manqué contre Laurent Gbagbo. Hier, les avocats de la défense ont dénoncé un procès politique.
Personnage ténébreux, découvert par les Sénégalais en 1993 avec l’affaire Me Babacar Sèye, Samuel Amète Sarr, ancien ministre d’Etat, ministre de l’Energie, est revenu au-devant des projecteurs, avec son arrestation pour offense au chef de l’Etat, Macky Sall. L’Observateur publie, avec quelques retouches, une enquête que le journaliste Pape Sambaré Ndour, alors reporter à Week-end Magazine, avait réalisé sur ce «Wadiste éternel» mal connu du grand public. Un document inédit.
Les relations entre Samuel Sarr et Madické Niang jusque dans les convocations devant les enquêteurs ne relèvent pas d’un hasard. Depuis l’affaire Me Sèye, ils partagent les dossiers judiciaires, politiques et financiers de Me Wade. Liaisons entre un homme et un avocat d’affaires.
La dernière session 2012 de la Cour d’assises de Dakar a baissé rideau pour céder la place à la prochaine expérience prévue courant janvier 2013. Bilan : 16 acquittements, quatre «perpètes», des condamnations jusqu’à 15 ans de travaux forcés et 35 millions d’amendes aux trafiquants.
Elle accroche surtout à cause de la lucidité qui caractérise ses analyses et réflexions. Penda Mbow a aussi le courage de ses idées et sait argumenter ses positions. Elle n’a pas dérogé à la règle dans l’entretien qu’elle nous a accordée. Avec beaucoup de hauteur, elle passe au bistouri le message du nouvel an de Wade, livre les raisons et les dessous des rapports heurtés entre le Président et les cercles religieux, non sans essayer de clore le débat autour du Monument de la renaissance africaine.
Quel est ce discours et ces mesures que nous aurions tant voulu entendre prononcés par Wade à son retour de vacances, après un long repos impérial, seul avec lui-même, avec sa conscience, avec ses remords ? Mes chers compatriotesJe voudrais avant tout rendre grâce à Dieu, Allah, qui m’a permis de partir de notre pays il y a un mois en bonne santé et d’y revenir aujourd’hui en très bonne santé. Je voudrais vous faire part de 10 mesures exceptionnelles que j'ai prises pour mettre fin aux principaux maux dont vous souffrez depuis toutes ces années
Le Président de la République s’est adressé à la Nation le 3 avril 09 sur un ton non polémique, plutôt modérateur, conciliant et humble. Il nous avait habitués à tout autre chose. Les « événements » du 22 mars sont passés par-là. En réponse au message du 22 mars, il a promis un changement en actes au peuple qui jugera lui-même. C’est déjà en soi un début de changement car autre temps cette promesse était enveloppée d’annonces de réalisations à effets nuls ou presque sur le quotidien réel des sénégalais.
Décidément, la France et le Sénégal semblent avoir un destin croisé. Le « pacte de sang » ficelé depuis l’esclavage, en passant par la colonisation sans mentionner la « France à fric », laisse aux relations franco-sénégalaises de beaux jours devant elles. L’engouement suscité par l’élection de Nicolas Sarkozy au soir du 6 mai 2007 peut être mis dans le même contexte que l’avènement de l’alternance au Sénégal, le 19 mars 2000. Que de promesses, que de déceptions ! L’illusion est à son comble.
Amath Dansokho, secrétaire général du Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT) et ex-maire de la ville de Kédougou fait partie de ces hommes politiques qui ne mettent pas de gants pour affirmer avec force ses convictions. Il revient avec nous sur les vives tensions qui existent entre la presse et le pouvoir, la Goana. Il a aussi évoqué dans cet entretien qu'il nous a accordé à son domicile sur les "différents tripatouillages" de la constitution, l'assassinat de Me Babacar Sèye. Il a en outre confirmé les menaces dont sont victimes les membres du FSS et laisse transparaître le désir de certains libéraux de vouloir liquider Macky Sall, Président de l'Assemblée nationale.
Les trois tours d’horloge passés hier, mardi 22 avril, devant la Commission de la Haute Cour de Justice, n’ont pas suffi à l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck, pour être fixé sur son sort. Cette Haute juridiction lui a donné rendez-vous, le 21 mai prochain, pour poursuivre l’audition. Pourtant, l’un des avocats du maire de Thiès, Me Boucounta Diallo, soutient que son client a « retrouvé le non-lieu dont il avait besoin ». Et cela, dit-il, depuis sa mise en liberté, le 7 février 2006 après 7 mois en prison. Un arrêt a été rendu par la même Commission d’instruction de la haute cour de justice, rappelle l’avocat. Interprétant le contenu de cet arrêté, Me Boucounta Diallo en déduit que l’ancien Premier ministre ne pouvait pas être poursuivi sur la base des éléments du dossier.
NETTALI - L’ancien Premier ministre Idrissa Seck a été entendu durant trois heures d’horloge par la Commission de la Haute cour de Justice. Une juridiction spéciale qui a convoqué l’ancien Premier ministre à son siège situé à Fann (Dakar). Aucune décision n’a été immédiatement rendue par les magistrats instructeurs qui suivent la procédure. Me Boucounta Diallo qui dirige le pool d’avocats constitués par la défense d’Idrissa Seck s’est adressé à la presse au terme de l’audition de M.Seck pour dire que son client a déjà été lavé par l’arrêt rendu par la commission en 2004.
NETTALI - Depuis le mercredi 25 juillet 2007, date à laquelle Me Abdoulaye Wade a reçu une délégation de Rewmi pour annoncer le retour d’Idrissa Seck au Parti démocratique sénégalais (Pds), une ambiance en a supplanté une autre. Les politiciens les plus virulents du Parti démocratique sénégalais (Pds) se sont réfugiés dans un profond silence, alors que la guerre des tranchées qui se mène aujourd’hui, semble avoir comme principal support la presse. Mais au-delà de la clameur et des souhaits des uns et des autres, Me Wade s’est résolument inscrit dans des calculs pour tracer la trajectoire du Sénégal dans les prochaines années. Et sans état d’âme.
Le Conseil constitutionnel, réuni jeudi à Dakar, a confirmé de manière définitive la victoire de la « Coalition Sopi 2007 » aux législatives du 3 juin dernier, suivant en cela les résultats provisoires donnés il y a une semaine par la Commission nationale de recensements des votes, a constaté l’Aps. Ainsi, après ’’les corrections nécessaires’’ et après avoir relevé qu’’aucun candidat’’ n’a contesté dans les délais prévus par la loi la régularité du scrutin, le verdict prononcé par le Greffier en chef du Conseil constitutionnel, Me Ndèye Maguette Mbengue, consacre la large victoire de la « Coalition Sopi 2007 », qui obtient 131 sièges de député sur les 150 de la future Assemblée nationale.
L’arrêt rendu par la Commission d’instruction de la Haute cour de justice sur l’affaire Idrissa Seck n’est plus un secret. En effet, après les révélations du maire de Thiès sur les ondes de la Radio Futurs média (Rfm) dimanche dernier, les premières fuites ont commencé à être enregistrées. Il ressort que le 7 février 2006, un arrêt (N°4) a effetivement été rendu par la Commission d’instruction de la haute cour de justice à laquelle ont siégé ses membres, à savoir, son président Cheikh Tidiane Diakhaté, Lamine Coulibaly, Doudou Ndiaye, Bara Niang et Henry Grégoire Diop. Il ressort qu’Idrissa Seck a bénéficié de la "mise en liberté d’office" mais que l’information suivait son cours. En effet l’arrêt "ordonne, au bénéfice des contestations sérieuses, la mise en liberté d’office de l’accusé Idrissa Seck, s’il n’est détenu pour autre cause". En même temps, il prononce le non-lieu partiel sur les faits d’usurpation de titre et de détournements de déniers publics relatifs à la gestion des fonds politiques" ainsi que "la continuation de l’information sur les faits visés dans la résolution de mise en accusation".
L’arrêt rendu par la Commission d’instruction de la Haute cour de justice sur l’affaire Idrissa Seck n’est plus un secret. En effet, après les révélations du maire de Thiès sur les ondes de la Radio Futurs média (Rfm) dimanche dernier, les premières fuites ont commencé à être enregistrées. Il ressort que le 7 février 2006, un arrêt (N°4) a effetivement été rendu par la Commission d’instruction de la haute cour de justice à laquelle ont siégé ses membres, à savoir, son président Cheikh Tidiane Diakhaté, Lamine Coulibaly, Doudou Ndiaye, Bara Niang et Henry Grégoire Diop. Il ressort qu’Idrissa Seck a bénéficié de la "mise en liberté d’office" mais que l’information suivait son cours.