Quand on évoque le patronyme Diop dans notre pays par rapport à la production de connaissance, les esprits convergent naturellement vers Cheikh Anta Diop
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Quand on évoque le patronyme Diop dans notre pays par rapport à la production de connaissance, les esprits convergent naturellement vers Cheikh Anta Diop
50 ans après la mort en détention du philosophe Omar Blondin Diop, une cinquantaine de personnalités exhorte les autorités sénégalaises à réouvrir le dossier judiciaire
Ousmane Blondin Diop estime que le dossier de son frère n’a pas été clos.
Un synopsis de film inédit écrit par Omar Blondin Diop, que sa famille a décidé de rendre public dans le sillage du débat sur le système des « grandes écoles » à la française réouvert par l'affaire Diary Sow
50 ans après la mort en détention du philosophe Omar Blondin Diop, une cinquantaine de personnalités exhorte les autorités sénégalaises à réouvrir le dossier judiciaire
Ousmane Blondin Diop estime que le dossier de son frère n’a pas été clos.
Un synopsis de film inédit écrit par Omar Blondin Diop, que sa famille a décidé de rendre public dans le sillage du débat sur le système des « grandes écoles » à la française réouvert par l'affaire Diary Sow
Dans son édition du mardi 11 avril 2017, le journal "Le Quotidien", repris par Seneweb, a relaté une audience devant le Tribunal de grande instance de Dakar dont l'un des mis en cause s'appelle Ousmane Blondin Diop
Depuis plus d’une semaine, les révélations de l’inspecteur des Impôts et des Domaines Ousmane Sonko occupent l’actualité. Elles suscitent un emballement compréhensible
La famille d’Omar Blondin Diop - activiste de gauche mort en détention, le 11 mai 1973 à Gorée – n’entend pas renoncer à l’établissement de la vérité "sur les circonstances exactes" de la disparition de son aîné, a déclaré à l’Agence de Presse sénégalaise, Dialo Diop, son porte-parole. "Nous n’entendons pas renoncer à l’établissement de la vérité sur les circonstances exactes de la mort de l’aîné de notre famille. Même si tous les acteurs ou témoins venaient à disparaître, cela ne nous ferait pas pour autant renoncer", a-t-il dit dans un entretien, à la veille du 43-ème anniversaire de la commémoration de la mort d’Omar Blondin Diop.
Maître Sidiki Kaba à la barre ! Deuxième invité de Grand Format diffusé et publié dans les supports du groupe Sud Communication (Sud FM Sen Radio, Sud Quotidien et sudonline.sn), le Garde des Sceaux, ministre de la justice est largement revenu sur les différentes affaires qui éclaboussent la justice sénégalaise. Des affaires Bassirou Faye et Hissène Habré, à la mutinerie de la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Tambacounta, en passant par la traque des biens supposés mal acquis et les récentes accusations de l’ancien président de la République contre son successeur Macky Sall dans l’affaire Accelor Mittal, l’ancien président de la FIDH (Fédération internationale de Droits de l’Homme) n’a esquivé aucune question.
Rebondissement dans l’affaire du présumé meurtre d‘Omar Blondin Diop ! Sa famille exige la réouverture du dossier. « A la suite de nos parents qui sont tous deux décédés, les frères d’Omar Blondin Diop se sont concertés pour demander avec insistance que la lumière, toute la lumière, soit faite sur ce drame du 11 mai 1973 », a indiqué le frère du défunt, Dialo Diop.
La parole à la défense. «Comment avez-vous fait pour avoir mon numéro de téléphone ? Cela fait plus de 38 ans que je garde le secret sur les vraies raisons du suicide de Omar Blondin Diop. Je suis prêt à tout vous expliquer sur ce suicide», enrage-t-il au bout du fil. Le ton est donné pour une interview-vérité où Néré Faye clame son innocence. Accusé à tort ou à raison d’avoir torturé à mort Omar Blondin Diop, le sexagénaire s’en lave les mains et avance la thèse du suicide. Le Quotidien a fait le trajet Dakar-Thiès pour dénicher l’ancien gardien de la paix qui se débat aujourd’hui contre une hypertension, un glaucome en plus du diabète. Quarante ans, jour pour jour, après le «meurtre» de Omar Blondin Diop, il jette «la lumière» sur cette mort qui n’a pas fini de livrer ses secrets. Entretien…
ASI24 – (Dakar) La démission forcée du président de la Cellule électorale nationale autonome (CENA) n’est pas la première, le juge Moustapha Touré chargé d’instruire le procès sur la mort en prison du jeune étudiant, Omar Blondin Diop sous le premier président du Sénégal, Léopold Sedar Senghor avait été relevé de ses fonctions, rapporte mercredi le quotidien Kotch. « Il (Moustapha Touré) a eu une tranquille carrière de magistrat, avec l’épisode tumultueux du jugement de l’affaire Omar Blondin Diop. Tiré d’une retraite tranquille pour se voir confier la CENA, il avait été récusé par l’opposition.
Des crimes de sang, des actes de violence, l’histoire politique du Sénégal en regorge. Le sang a beaucoup coulé loin des yeux du public. Tout au long des années, la loi du silence a prévalu. Durant le régime socialiste, il y a eu des crimes moins connus. Des luttes entre partis politiques et entre clans rivaux au sein des mêmes partis, ont entraîné la mort de seconds couteaux qui ne sont pas enregistrés. Les premières années de l’indépendance sont marquées par des affrontements entre le parti au pouvoir et son opposition.
Le quart bloquant doit être supprimé. Le numéro deux d'And Jëf/Pads, Mamadou Diop 'Decroix', a été formel, samedi, en animant à Paris une conférence sur «Le Sénégal à la veille des élections». Le ci-devant 'Monsieur Fichier électoral' d'Aj est, par contre, opposé à la suppression du second tour du scrutin présidentiel. Ne faisant pas dans la langue de bois, le ministre du Commerce a parlé à ses camarades de France de l'existence de divergences avec leur allié du Pds, avant de dresser un bilan de l'alternance. Il s'est aussi prononcé, dans la seconde partie de sa conférence, sur l'immigration clandestine.