Le Centre-conseil pour adolescents (CCA) de Kolda et l’Action éducative en milieu ouvert (AEMO) ont décidé d’unir leurs efforts pour enrayer la délinquance chez les jeunes.
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Le Centre-conseil pour adolescents (CCA) de Kolda et l’Action éducative en milieu ouvert (AEMO) ont décidé d’unir leurs efforts pour enrayer la délinquance chez les jeunes.
Interpellation de Maïmouna Ndour Faye : La colère noire de son avocat
Mbour : il vole une bouteille d’alcool à Auchan et la cache dans son… caleçon
Hier, mardi 21 octobre 2025, au tribunal de Mbour, lors de l’audience des flagrants délits, plusieurs affaires distinctes ont été traitées, qui ont le même fil conducteur : l’alcool. Entre vols et bagarres, les faits mettent en lumière une tendance devenue quasi banale.
Drame au marché central de Thiès : Le meurtrier fréquente régulièrement le secteur
Kaolack : Un chauffeur de "Cheikhou Charifou" en état d'ivresse arrêté par la police pour conduite dangereuse
Budget 2026 : la Sonatel et Expresso doivent verser 50 milliards F CFA
Hausse des prix en septembre 2025 : L’Inflation au Sénégal atteint 2,6%
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Le sieur Alassane allait être présenté à la barre de la chambre criminelle et jugé pour meurtre si le coup de gourdin qu’il a porté au front de sa grande sœur était très violent. Accro à l’alcool, cet homme passe son temps à s’enivrer.
Le magnat du hip-hop P. Diddy, acquitté des charges les plus lourdes retenues contre lui au terme d'un procès pour violences sexuelles hypermédiatisé, s'apprête vendredi à être fixé sur sa peine.
Un plombier de 32 ans a été arrêté pour un cambriolage nocturne à Arafat, mais son audition a dû être reportée en raison de son état d'ébriété avancé
Plusieurs entreprises américaines, notamment dans l’industrie de la tech, commencent à voir le “996” se généraliser parmi les employés.
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Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a organisé, le vendredi 26 septembre 2025, un atelier de dissémination des données sur la prévalence des facteurs de risque des maladies non transmissibles (MNT). La rencontre s’est tenue à la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Dakar.
Au moins 19 personnes sont mortes près de Saint-Pétersbourg depuis le début du mois et, selon des analyses menées en laboratoire, le métahonel serait la cause du décès dans huit de ces cas.