Crise politique et sociale : le PIT-Sénégal dénonce la gestion du régime et soutient les syndicats
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Crise politique et sociale : le PIT-Sénégal dénonce la gestion du régime et soutient les syndicats
C’est une manipulation politique. Ce n’est pas un scandale économique
Abdou Mbow, député et ancien président du Groupe parlementaire BBY, a publié ce dimanche une déclaration condamnant avec fermeté l’interdiction de voyage imposée à Pape Malick Ndour, journaliste critique du régime.
Diomaye Faye à l’ONU : Scrabble et discours oublié, Thierno Bocoum crie à l'amateurisme
Lors d’une présentation théâtrale au Grand Théâtre national, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé son plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », devant un public acquis et sous le regard du président Bassirou Diomaye Faye. Mais pour Ibrahima Thiam, président du parti Action pour la Citoyenneté et les Transformations (ACT), ce plan n’est qu’un « récit politique » dénué d’ancrage dans les réalités économiques du Sénégal. Dans une tribune au vitriol, Thiam dénonce une approche marquée par une fiscalité agressive, un souverainisme déconnecté et une absence de solutions concrètes pour sortir le pays de la crise. Voici une analyse fidèle de sa critique, ponctuée d’extraits de son texte.
Le Mouvement des acteurs culturels Patriotes (MACUP) veut un diagnostic sans complaisance du secteur de la Culture
La manière burlesque avec laquelle est mise en œuvre notre diplomatie depuis avril 2024 ne doit jamais nous faire perdre de vue l’essentiel, à savoir le rétrécissement de la surface du Sénégal sur la scène internationale.
Commençons par un simple constat de bon sens.
Les réactions s’enchaînent à la suite de la déclaration du conseil constitutionnel ce mercredi 23 avril. Pour l’institution, la loi d’interprétation de la loi d’amnistie, votée le 2 avril dernier, est contraire à la constitution. Dans un communiqué publié ce mercredi, le Secrétariat Exécutif National s’est félicité de la « sage décision du Conseil Constitutionnel » de juger contraire à la Constitution la loi d’interprétation votée par l’Assemblée nationale.
Depuis l'arrivée au pouvoir du duo Diomaye–Sonko, les médias sénégalais traversent une période de transformation profonde
Lors de la séance plénière de l’Assemblée nationale ce mercredi 2 avril 2025, consacrée à l’examen de la proposition de loi n°05/2025 portant interprétation de la loi d’amnistie de mars 2024, le député Abdou Mbow, du groupe parlementaire Takku Wallu
’Tâtonnement, amateurisme, coups de force, souffrance des populations rien de plus’’.
La meilleure leçon de démocratie, la meilleure revanche, le meilleur Jubanti politique que la nouvelle opposition peut infliger à Pastef est de ne pas lui ressembler.
Les Sénégalais élisent dimanche leurs députés, les dirigeants du pays visant la majorité la plus large possible pour appliquer l'agenda de rupture et de justice sociale avec lequel ils ont été portés au pouvoir il y a huit mois.
Selon le président du parti La République des Valeurs/Réewum Ngor, «Cette carte du Sénégal version Agenda 2050 situe Sédhiou à la place de Kolda et vice-versa. Signe que les graphiques de l’Agenda ont été bâclés. On ne sait pas si ces régions bénéficieront d’une mutation économique, mais elles subissent déjà un bouleversement géographique que même la tectonique des plaques ne saurait expliquer».
Un membre de l’opposition, « leader » du mouvement « Nenn bu nu baxal 150 »
Le patron de presse et président du mouvement Gueum Sa Bopp « les Jambaars » ne se lasse pas d’attaquer les nouveaux locataires du palais présidentiel.
Quelques jours après sa libération, Bougane Guèye revient à la charge contre le Premier ministre du Sénégal. Pour le président du mouvement politique Gueum Sa Bopp, Ousmane Sonko nuit la réputation du pays. Voici son communiqué.
Comment croire aux propos du Premier Ousmane Sonko tenus lors de son extraordinaire déballage...
Monsieur le Président, en assimilant l’immigration clandestine des jeunes qui risquent leur vie pour avoir un avenir à une forme de suicide vous transformez des victimes en coupables.