L'analyse magistrale de Me Abdy Nar Ndiaye sur l’affaire Babacar Fall et MNF
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L'analyse magistrale de Me Abdy Nar Ndiaye sur l’affaire Babacar Fall et MNF
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Un derby sous-régional à l’issue incertaine
Une journée intense de réflexion qui a exploré les aspirations démocratiques et les réalités politiques du Sénégal a eu lieu ce mercredi 29 novembre à l’initiative du groupe Ejicom.
Abdoulaye-Bara Diop nous a quitté dans la discrétion, comme à son habitude, le 3 janvier 2021, à Dakar.
Cet article est une contribution aux débats sur la prochaine élection présidentielle prévue en 2019.
Les débuts époustouflants de Neymar sous le maillot du PSG sont loin d'être passés inaperçus au Brésil, où les moindres faits et gestes du crack sont scrutés, donnant au passage un joli coup de projecteur sur le championnat de France.
C'est un éternel fantasme commun à l'humanité : prévoir le jour de sa mort pour déterminer combien de temps il nous reste à flâner sur terre et calculer ce que l'on va en faire. Aujourd'hui, cette folle aspiration est possible. Des scientifiques britanniques ont mis au point une invention démente, délimitant précisément le temps qu'il reste à vivre et pouvant détecter le cancer.
Les dernières élections législatives du 1er juillet dernier ont eu ceci de singulier qu’elles ont charrié un vent de renouveau et de recomposition politique d’une originalité remarquable dans l’espace politique sénégalais, certes, mais elles ont surtout permis d’éventrer le secret qui se cachait derrière la force de frappe électorale des mouvements citoyens. A ce propos, un mouvement a particulièrement attiré l’attention de l’ensemble des observateurs, tant nationaux qu’internationaux, mais surtout celle de la classe politique locale pour avoir été la révélation des dernières élections. Il s’agit du Mouvement Bës Du Nakk.
Selon une opinion largement partagée, la crise de l’école sénégalaise serait essentiellement due à un manque de ressources financières. Le « manque de moyens », comme on dit, expliquerait les grèves cycliques, les lacunes dans la formation initiale et continuée des enseignants, les difficultés d’instrumentation des langues nationales, bref, la dégradation de la qualité de l’éducation. La preuve est un indicateur qui a la force de l’évidence, les mauvais résultats scolaires. Ce point de vue, qui ne manque pas de pertinence, a fini de s’imposer comme un fait et accepté sans nuances par tous ou presque – les faits sont têtus - y compris l’Etat qui dit pourtant consacrer 40% de ses ressources à l’éducation (Le Soleil, 07/08/2009).
Après 48 ans d’accession à la souveraineté nationale, le Sénégal jouit d’une relative stabilité politique qui s’est traduite par l’élection au suffrage universel de trois Présidents de la République et une paix sociale relative : manifestations, grèves, contestations, casses, répressions, dénonciations, arrestations, emprisonnements ; telle est l’atmosphère qui règne actuellement dans notre cher Sénégal.
‘Quelle place pour l’enseignement supérieur dans les stratégies pour l’émergence du Sénégal ?’. Tel est le titre de la conférence publique introduite par le Professeur titulaire de classe exceptionnelle, Omar Sock, ce samedi, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. C’est à une analyse comparative entre l’enseignement des pays émergents comme le Maroc, la Tunisie, la Corée du Sud, l’Inde et le Sénégal que le Professeur titulaire de classe exceptionnelle, Omar Sock, spécialiste de la question, s’est livrée. A écouter ce spécialiste de l’électro-chimie et ancien directeur de l’Ecole supérieure polytechnique (Esp) de Dakar, le Sénégal n’est pas encore sorti de l’ornière en matière d’enseignement supérieur.