Il y a des hommes dont certains voudraient graver le nom au fronton de la probité, les ériger en phares dans la nuit
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Il y a des hommes dont certains voudraient graver le nom au fronton de la probité, les ériger en phares dans la nuit
Ex-député de la 14e législature, par ailleurs maire de la Ville de Rufisque, Docteur Oumar Cissé n’est plus membre de Taxawu Sénégal.
La tension est vive actuellement à Sadio où des échauffourées entre manifestants et gendarmes perturbent la quiétude des habitants de cette commune rurale située dans le département de Mbacké...
La Côte d'Ivoire va-t-elle connaitre son "Tazartché" ?
L’activiste Guy Marius Sagna n’est pas un prisonnier silencieux.
La répression de la marche des chrétiens organisée dimanche à Kinshasa a déclenché un torrent de réactions choquées ou inquiètes. Dans un communiqué publié ce mardi, le cardinal Laurent Monsengwo, archevêque de Kinshasa, condamne « les agissements de nos prétendus vaillants hommes en uniforme ».
La commission nationale de réforme foncière a fini de dessiner le squelette de ce qui sera la future loi foncière au Sénégal. Un texte, qui aura pour but, de promouvoir l’agrobusiness, protéger l’agriculture familiale, mais aussi et surtout, faire des sénégalais des propriétaires de terres.
Au moins neuf personnes ont été tuées depuis mercredi au cours de manifestations d'étudiants dans plusieurs villes de la région d'Oromia, dans le sud de l'Ethiopie, annonce le gouvernement central d'Addis Abeba.Dans un communiqué diffusé jeudi soir par l'agence de presse officielle,
La commission nationale de réforme des institutions (CNRI), par le biais de son président Amadou Mahtar Mbow, vient de déposer sur la table du président de la république son rapport, ainsi qu’un document représentant un avant-projet de constitution devant jeter les bases de la nouvelle république dont aspire le peuple sénégalais depuis 2000. Aussitôt, une vive polémique enclenchée par d’éminents membres de l’APR, s’en est suivi, avec des invectives parfois qui frisent l’insolence.
Un discours de fin d’année devrait être avant tout, un bilan officiel sur l’état de la Nation, décliné au plan économique, social, culture, et au plan de sa sécurité intérieure et extérieure, afin de mettre l’accent sur les principaux défis auxquels le pays aurait à faire face durant l’année nouvelle qui pointe à l’horizon, et les voies et moyens qu’il faudrait mettre en œuvre pour les relever.
Est-il aujourd'hui besoin de rappeler que le Sénégal, ce bout du monde où vivent prés de quatorze millions d'âmes, va mal. Ce serait un euphémisme même de le dire tellement ce qui s'y passe dépasse tout ce que la raison (intuitive comme discursive) pourrait imaginer, encore moins accepter. Un seul constat s'impose: ce pays se sent aujourd'hui étranglé. Du détournement de déniers publics à la violation quasi quotidienne des institutions en passant par le mensonge d'Etat, rien n'est aujourd'hui épargné au Sénégal et aux valeureux hommes qui y vivent quotidiennement une vie de lutte et de sacrifices.
Face à la percée du Benno et doutant du Sopi, son talisman, mais n’osant pas s’en débarrasser, Me Abdoulaye Wade, Secrétaire Général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), a proposé un slogan équivoque, mi-figue, mi-raisin, son « Sopi pour demain » que je n’arrive toujours pas cerner. Mais je sais que les sénégalais veulent le changement pour aujourd’hui. Ils sont fatigués de l’attendre, de se le faire promettre. Quant à M. Ousmane Tanor Dieng, Secrétaire Général du PS, dans une interview faite en marge de la dernière université d’été du Parti Socialiste (PS) et publiée dans la presse, il a déclaré ceci : « le Benno a remplacé le Sopi dans le cœur des sénégalais.»
LES élites politiques traditionnelles ont du souci à se faire. C’est connu, la société sénégalaise a un saisissant côté gérontocratique, symbolisé par le fameux « droit d’aînesse » devenu, par la force de la tradition, un élément fondateur dans le champ des relations sociales. Profondément ancré dans une sorte de Code civil mental des Sénégalais, l’âge accorde, le plus souvent, la prééminence à l’heure du choix. Chez les musulmans, le califat revient de droit au plus âgé de la famille maraboutique, alors que les hautes charges dans le clergé requièrent des décennies de sacerdoce au service de l’Eglise.
Le Bureau Politique de l’Alliance Jëf-jël s’est prononcé sur la situation du Sénégal et a axé son intervention autour du bilan des élections locales, de la mise en place de Bennoo Siggil Senegaal : rôle du jëf-jël dans cette décision, du remaniement ministériel, des affaires Sonatel et Air Sénégal International, de la vice-présidence de la République... Lire intégralement la déclaration des camarades de Talla Sylla.
La complicité entre Mamadou Seck, alias Ndongo D, « dénicheur de jeunes talents » et rappeur dans le style et Abdou Fatah Seck, dit Faada Freedy, plutôt « technicien » et adepte de la soul, dure depuis le début des années 1990. Visiblement, ils se complètent sur scène et dans la vie. Autour de la table de rédaction du Soleil, Ndongo D. et Faada Freedy, se sont ainsi relayés comme une seule personne pour répondre sans détour à nos questions sur le groupe Daara J, leur carrière musicale, leur studio, leur public, leur engagement citoyen.
Depuis un certain temps, la montée galopante des prix des denrées de première nécessité avec une augmentation progressive du coût de la vie, le fléau des inondations, l’électricité bien qu’introuvable ne cesse d’augmenter avec des factures cumulées et son lot de dégagement et de dégâts au grand dam des usagers (destruction des denrées et des appareils domestiques et électroménagers), l’éducation paralysée, grève des enseignants et du personnel soignant avec comme conséquence la paralysie du système scolaire et du milieu sanitaire.
APA-Dakar (Sénégal) En désignant Me Abdoulaye Wade à la présidence en exercice de leur organisation, pour les trois prochaines années, quasiment jusqu’à la fin de son second mandat électif, les 57 pays membres de l’Organisation de la Conférence Islamique viennent de lui confier des responsabilités que l’Union africaine tarde, à ce jour, à lui attribuer depuis son arrivée au pouvoir, il y a exactement neuf années. Même si le chef de l’Etat sénégalais n’a jamais manifesté publiquement, le moindre désir de présider l’organisation panafricaine, il lui restera toujours à prouver, qu’au contraire du Guide libyen Mouammar Kadhafi, qui n’y est jamais arrivé en 38 ans de pouvoir malgré ses énormes états de services pour l’Afrique, il lui est toujours loisible de réunir, sans grande peine, un consensus continental autour de sa personne.
La première législature post-alternance a eu Moussa Sy, Samba Bathily et Isidore Ezzan. La deuxième comptera avec Aminata Tall. Dénominateur commun à ce quarteron de mousquetaires : avoir proposé des lois qui se disputent la cote de l’impopularité. Le 19 mars 2000, en mettant une croix sur le régime quadragénaire de l’Ups-Ps, les Sénégalais avaient, naïvement peut-être, pensé avoir enterré une certaine forme de rapport entre le Parlement et le gouvernement. L’image rébarbative de députés-godillots, à la solde du gouvernement, ils avaient pensé l’avoir renvoyée dans les méandres de l’histoire. Mais, ce n’était que pure illusion !
La violence dont la recrudescence fait l’actualité ces temps-ci, est due dans une certaine mesure à l’insuffisance de cadres intégrateurs. Egalement au déphasage qui existerait entre notre état social et notre état politique. L’explication est du sociologue Hadiya Tandian. Il trouve cependant que les actes criminels sont des pratiques « normales » dans notre société, même s’il ne les encourage pas. S’étant prêté bien volontiers aux questions de Sud Quotidien, le sociologue informe sur les raisons de la persistance de la violence malgré les sanctions pénales de plus en plus corsées. Une interview dont nous vous proposons ici un premier extrait.
Le Pr Abdoulaye Bathily, secrétaire général de la Ligue démocratique/Mouvement pour le parti du travail (Ld/Mpt), un des leaders du Front Siggil Senegaal n’y est pas allé par mille détours pour ruiner l’appel au dialogue lancé par le Président Wade et à travers lequel il voit une manœuvre politique à laquelle l’homme est habitué. Il assène aussi ses vérités sur les travaux de l’Anoci marqués par un échec, le gaspillage de milliards que les Sénégalais vont payer. M. Bathily stigmatise la boulimie foncière des tenants du régime qui seront expropriés, mais aussi l’ambition du fils du Président Wade de profiter des travaux de l’Anoci comme rampe de lancement. Entretien…