Le 6e forum d’échanges et de partages avec les médias s’est ouvert ce vendredi 5 mai à Saly.
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Le 6e forum d’échanges et de partages avec les médias s’est ouvert ce vendredi 5 mai à Saly.
La récente vague de nominations dans la justice a provoqué une petite recomposition du Conseil supérieur de la magistrature (CSM).
Fondé en 1992 par le Chinois Li Jinyuan, TIENS group se présente, en partie, comme une entreprise spécialisée dans la vente de produits de santé.
La Coordination nationale des Cadres de BBY, s'est réunie sous la présidence de son coordonnateur, Alpha Bayla Gueye. L’occasion a été saisie par la coordination pour faire un plaidoyer sur le phénomène de l’émigration clandestine.
À l’horizon 2024, une femme devrait pour la première fois poser le pied sur la Lune,
Le gouvernement du Sénégal veut redonner une chance aux enfants non scolarisés pour «accéder» à une éducation de base. C’est dans ce cadre qu’il a mis en place un projet dénommé «Passerelles». Ce dernier a été lancé officiellement ce jeudi 29 novembre 2018, au Cem 3 de Sédhiou, par le ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam.
Trains, avions, métros, services publics...: la France s'apprête à une journée noire, jeudi, date d'une large mobilisation contre les réformes du président Emmanuel Macron, avec plus de 140 manifestations prévues. A la SNCF, opérateur français du rail, 40% des TGV circuleront, ainsi que 25% des Intercités et 50% des TER (trains régionaux). Quatre Eurostar ont déjà été annulés.
Poursuivis pour association de malfaiteurs, utilisation frauduleuse d’un réseau de télécommunication, accès dérobé à un système informatique et blanchiment de capitaux, Abibou et Abo Mbacké, maîtres coraniques, risquent un an d’emprisonnement ferme et une amende de 10 millions FCFA de dommages et intérêts à payer à la Sonatel. Le tribunal de grande instance de Dakar, statuant en matière de flagrants délits, rendra son verdict demain mardi.
Le sujet a été défloré dans notre édition du vendredi 23 décembre 2016. Il s’agit de l’appel public à candidatures pour l’attribution de fournisseur d’accès internet au Sénégal. A l’issue du processus d’évaluation des offres techniques, l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) a informé quelques sociétés postulantes -elles étaient 9 au total- de leur non-qualification pour la suite de la procédure. Une épilogue que laissait subodorer, selon des observateurs, certains jeux de coulisses. L’occasion faisant le larron, votre quotidien a enquêté sur le marché de l’internet au Sénégal.
C’est une interview au succès révélateur. « Des millions d’heures sont juste volées à la vie des gens », a dénoncé sur Rue89 Tristan Harris, un ingénieur informatique américain, que vous êtes très nombreux à avoir lu.
L’État du Sénégal semble enfin avoir ce dont il rêvait depuis l’ère Wade. Doutant depuis longtemps de la fiabilité ou de la sincérité des statistiques communiquées par les opérateurs notamment sur les appels internationaux entrants et sortants, il vient de mettre en place un centre pour avoir ses propres données.
L’intersyndicale de la Sonatel dans son combat contre la mise en place d’un GNOC au Sénégal, un centre commun qui devrait assurer l’exploitation du réseau cœur de plusieurs pays africains en plus de celui de la Sonatel, envisage d’aller en grève de cinq jours après celle menée les 18 et 19 Février 2016.
L’autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) avertit les 3 opérateurs de téléphonie qui ont refusé de soumissionner pour la licence 4. «Ce jour, l’Etat prend acte de la non-participation collective et coordonnée des opérateurs. Conformément à la procédure, l’Etat se réserve le droit de prendre toutes les mesures coercitives et les sanctions contre les manquements illicites à cette procédure.
Dans le conflit opposant Hayo à Sonatel, chacune des parties avance ses arguments, d’où il ressort que les opérateurs sont opposés par une affaire de gros sous. Et bizarrement, l’Autorité de régulation préfère se boucher les oreilles et se couvrir les yeux. L’opérateur de service universel, propriétaire de la marque Hayo, est quasiment en conflit ouvert avec Sonatel, sur des questions de tarification des appels entrants.
Face à la “recrudescence des trafics illégaux subis par les opérateurs téléphoniques, les consommateurs et l’Etat », l’Autorité de régulation des Télécommunications et des Postes (Artp) s’allie avec les forces de défense et de sécurité du Sénégal (police, gendarmerie...) pour combattre « le trafic téléphonique sur tous les réseaux au niveau national ». Le partenariat consiste en une formation des agents de la police et de la gendarmerie nationale en matière de code des Télécommunications,« afin qu’ils puissent saisir les fraudeurs ».
Opérateur de téléphonie à licence universelle pour la région de Matam, Hayo appartient à 100% à des Sénégalais. Pourtant, alors que son réseau permet de réduire la fracture numérique à Matam et de désenclaver la région, son arrivée ne fait pas que des heureux, et la législation actuelle ne le protège pas suffisamment.
Opérateur de téléphonie à licence universelle pour la région de Matam, Hayo appartient à 100% à des Sénégalais. Pourtant, alors que son réseau permet de réduire la fracture numérique à Matam et de désenclaver la région, son arrivée ne fait pas que des heureux, et la législation actuelle ne le protège pas suffisamment.
«Au Sénégal, les gens parlent de choses qu’ils ne maîtrisent pas. Au moment où je vous parle (…), il n’y a pas de contrat signé entre l’Artp et Global voice group (Gvc) pour ce qui concerne la prestation de service», a soutenu Abdou Karim Sall, directeur général de l’Artp. «Depuis le mois de juin dernier, nous avons décidé de mettre en place un dispositif qui a un double rôle. Il permet de lutter contre la fraude et de jouer au régulateur. Pour ce qui est de la fraude, elle se fait sur la terminaison d’appel», renchérit-il.
Mamadou Aïdara Diop, l’administrateur à la Société nationale des télécommunications du Sénégal (Sonatel), par ailleurs, ancien secrétaire général du syndicat des travailleurs de la Sonatel, a démenti formellement toute hausse de tarif sur les appels entrants internationaux au Sénégal par la Sonatel.
«Une probable hausse des appels entrants, nationaux et internationaux» : après la menace, Orange est passée à l’exécution, en décidant, hier, d’augmenter le coût des appels entrants au Sénégal. Une hausse jugée dérisoire (0,23 centimes d’euros), mais qui permettra à l’opérateur de téléphonie d’empocher pas moins de 655 millions de FCfa de plus, par mois, sur le dos des Sénégalais expatriés.