Côte d'Ivoire: le parti de Gbagbo n'ira pas aux législatives, un haut cadre inculpé
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Côte d'Ivoire: le parti de Gbagbo n'ira pas aux législatives, un haut cadre inculpé
Cameroun: Paul Biya, chef d'Etat le plus âgé au monde, a prêté serment pour un huitième mandat
L'ancien ministre de la Jeunesse, Pape Malick Ndour, a été au centre d’un revirement judiciaire qualifié d'« abracadabresque » par Le Quotidien
Devant les enquêteurs de la Section de recherches de la gendarmerie, Pape Malick Ndour a fermement nié toute incitation à la violence
Pape Malick Ndour, ancien ministre de la Jeunesse et coordonnateur de la Convergence des cadres républicains (CCR), a été placé en garde à vue vendredi...
Dans une lettre ouverte sur des faits susceptibles de poursuites contre l'ancien ministre de la Jeunesse Pape Malick Ndour (appel à l'insurrection et mise en cause pour des actes de torture), Maître Tanor Diamé a officiellement saisi la garde des Sceaux, ministre de la Justice, Yacine Fall.
«Gno lank» a effectué hier vendredi, sa marche contre la cherté de l’électricité.
Deux cadres de la formation de l'ex-président ivoirien désormais opposant, Laurent Gbagbo, ont été arrêtés et inculpés mardi, notamment pour "appel à l'insurrection", à moins d'un mois de l'élection présidentielle, a-t-on appris auprès de leur avocate et du parti.
Face à la répression, la fronde numérique de la diaspora togolaise
Appel à l’insurrection : Le doyen des juges a rendu une ordonnance de non-lieu pour Sonko et Diamaye
Plus de 5.000 villageois du nord-ouest du Nigeria ont dû quitter leurs foyers sur ordre d'un chef de groupe armé, ont indiqué à l'AFP lundi plusieurs sources locales, dont un député.
Sadikh Niasse, défenseur des Droits de l’Homme, a exprimé ses inquiétudes face à l’abrogation partielle de la loi d’amnistie lors d’un entretien accordé à Seneweb. Ce fervent défenseur des droits humains met en garde contre les risques que cette mesure fait peser sur les victimes et la justice au Sénégal.
Le dossier d’appel à l’insurrection concernant l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko est officiellement enterré.
La machine judiciaire s'emballe dans l'affaire du sit-in “Nue/"Taatu néén" des féministes.
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
Le 13 décembre 1998, la découverte tragique des corps calcinés du journaliste Norbert Zongo et de ses compagnons à Sapouy a marqué l’histoire du Burkina Faso. Ce quadruple assassinat a immédiatement suscité une mobilisation nationale et internationale afin que justice soit rendue. Plus de deux décennies plus tard, l’affaire semble sur le point de franchir une étape cruciale.
Abdou Karim Diop, Oumar Maham Diallo et Mamadou Seck… Le dénominateur commun à ces trois magistrats est d’avoir prononcé des décisions de justice en défaveur de responsables et militants de Pastef, ces dernières années. Affectés à Tambacounda depuis vendredi dernier lors du Conseil supérieur de la magistrature (Csm), ils ont été «sanctionnés», selon beaucoup d’observateurs, par les nouvelles autorités.
Selon l’ex-détenue, ces éléments des forces de l’ordre sont venus la chercher avec trois chars de combat, deux pick-up et des motards.
Sonko, promesses d’un militant du tiers-monde
L'avocat franco-espagnol, Me Juan Branco, est annoncé à Dakar, ce jeudi 6 juin 2024. Cette fois, l'ancien "fugitif" sous le coup d'un mandat d'arrêt du procureur de la République, n'aura certainement pas besoin de passer sous les radars (comme la dernière fois) pour entrer dans le territoire sénégalais.