Tout le monde le sait. Patrice Talon et Boni Yayi ont eu, par le passé, des relations difficiles.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Tout le monde le sait. Patrice Talon et Boni Yayi ont eu, par le passé, des relations difficiles.
Au Sénégal, le débat sur la « dette cachée » a envahi la scène publique
Le gouvernement du Sénégal qui cherchait 300 milliards lors de son dernier Appel public à l’épargne, a obtenu 450 milliards de francs Cfa.
Le Conseil des Ministres s’est tenu le mercredi 15 octobre 2025, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE...
La Loterie Nationale Sénégalaise (LONASE) se félicite des récentes décisions judiciaires et réglementaires qui renforcent sa position dans le différend l’opposant à la société AFITECH
Le Chef de l’Etat, Son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 10 Septembre 2025, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres...
Le gouvernement sénégalais a présenté des projections budgétaires révisées pour 2026-2028, avec des ressources prévues à
La renégociation des contrats engagée par l’État du Sénégal avec des multinationales est au cœur des débats. Invité du "Jury du dimanche sur iRadio, Me Amadou Aly Kane, avocat et défenseur des droits humains, a rappelé les marges de manœuvre possibles, tout en mettant le gouvernement en garde sur les risques d’un bras de fer mal négocié.
Alors que le monde redessine ses politiques énergétiques sous la pression climatique, le Sénégal vient de confirmer le maintien de prix stables sur les hydrocarbures, malgré une révision en cours de sa structure tarifaire.
La candidature du Sénégal à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) marque une ambition plus politique qu’énergétique. Avec une production attendue d’environ 100 000 barils par jour à son pic, le pays reste un acteur modeste face aux géants du cartel. Mais l’enjeu est ailleurs, rejoindre l’OPEP, c’est chercher à exister sur la scène géopolitique, à se positionner comme un pays stable, crédible et partie prenante des discussions globales sur l’énergie.
Président du mouvement Agir-les leaders Thierno Bocoum a déclaré que le plan de redressement économique et social débute «par une faute républicaine ».
Lors de la première édition de la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal (CJRS), tenue le 25 juillet à la Maison de la Presse, le Dr Khadim Bamba Diagne, Secrétaire permanent du COS-Petrogaz, a livré une analyse percutante sur « Les hydrocarbures et l’économie sénégalaise : situation actuelle et perspectives ». Voici les temps forts de son intervention :
Siteu - Balla Gaye 2 : l’arbitre brise le silence
La 56e session ordinaire du Comité interparlementaire de l’UEMOA s’est ouverte le 14 juillet 2025 à Dakar, réunissant les représentants des huit États membres autour d’un agenda centré sur la gouvernance budgétaire.
L’élan post-Covid du commerce international s’essouffle.
Alors que le Sénégal affiche une volonté affirmée de souveraineté économique, ses équilibres budgétaires restent étroitement liés aux financements extérieurs.
Face aux tensions budgétaires croissantes, l’idée de financer les déficits publics par la création monétaire refait surface dans les discussions économiques, aussi bien au Sénégal qu’au sein de l’ensemble de l’UEMOA. Longtemps proscrite pour préserver la stabilité du franc CFA, cette option divise désormais économistes, gouvernements et institutions financières.
Le Sénégal devra encore attendre pour présider la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Lancée en mars 2025 par le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la réforme dite “ONU 80” amorce un tournant stratégique majeur dans la gouvernance et les priorités de l’organisation.
Alors que plusieurs pays africains ont opté pour la création de fonds souverains – outils censés stabiliser leurs économies, lisser les revenus volatils ou investir dans des projets d’avenir – le Sénégal, pourtant engagé dans une dynamique extractive avec l’arrivée imminente des premiers revenus pétro-gaziers, ne dispose toujours pas d’un tel instrument. Cette absence interroge à l’heure où les débats sur la gestion stratégique des excédents budgétaires, des ressources naturelles et des capacités d’investissement à long terme s’intensifient sur le continent.