Le plaisir de revenir sur sa propre terre s'est transformé en cauchemar pour certains déplacés de retour au village de Singhere Baïnouck, dans la commune de Kaour ( Goudomp).
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Le plaisir de revenir sur sa propre terre s'est transformé en cauchemar pour certains déplacés de retour au village de Singhere Baïnouck, dans la commune de Kaour ( Goudomp).
Le retour d'une paix définitive en Casamance et la réalisation d'un musée des civilisations baïnouck sont les points saillants du plaidoyer des populations de la commune rurale de Niamone, dans le département de Bignona, lors du festival dédié à la culture du terroir et à la promotion du vivre-ensemble.
«C'est un calvaire pour les populations d'emprunter le tronçon Tobor-Affiniam », a lâché le Maire de Niamone (dans la région de Ziguinchor) Atab Badji. Il a ainsi lancé
Le retour d'une paix définitive en Casamance et la réalisation d'un musée des civilisations baïnouck sont les points saillants du plaidoyer des populations de la commune rurale de Niamone, dans le département de Bignona, lors du festival dédié à la culture du terroir et à la promotion du vivre-ensemble.
Le drame de la forêt classée des Bayotte, où 13 jeunes ont été tués samedi par des individus armés, a engendré une confusion fâcheuse mais compréhensible dans ce genre de situation, journalistes et officiels se trompant allègrement sur la localisation géographique du lieu de ce drame.
La tuerie de Bourofaye-Baïnouck, survenue samedi dernier dans la région de Ziguinchor, ayant occasionné 13 morts et 7 blessés, n’est pas liée à l’affaire de la Casamance. En effet, selon Ali Haïdar, elle ressemble plus à un règlement de compte entre coupeurs de bois et populations autochtones qui disent vouloir protéger leur forêt. «ça fait très longtemps qu’il y a des grandes zones qui sont contrôlées par les forces du Mfdc.
Des responsables de la collectivité mandingue ont annoncé mercredi une mesure consistant à suspendre pendant un an, à partir de juillet prochain, le Kankurang, le masque et le rituel célébrant la circoncision chez cette communauté.
Mbagnick Ndiaye, ministre de la Culture et de la Communication, a été l’hôte ce dimanche de l’association pour la renaissance de la culture maure. Une occasion saisie par l’association pour l’interpeller sur une doléance vieille, de plusieurs décennies.
La Casamance est dépositaire d’une diversité culturelle très riche, variée et influente. Ce génie casamançais s’est aussi manifesté dans la création de cet être mythique appelé “Koumpo” qui entre dans la liturgie des masques mais malheureusement est en perte de vitesse. Etymologiquement le mot Koumpo signifie en langue mandingue le doute «dans le sens du secret». Ceci, en référence à son masque. Cet être culturel mandingue, né dans l’espace mandingue est la rencontre du Nama mandingue et du Kossé Bainouck. Ce “Koumpo” est fondamentalement différent du kankourang.
Avec son documentaire intitulé Diola Tigi, la réalisatrice Fatou Kandé a voulu ramener de son aventure casamançaise ce qu’il y avait de plus cher, de mieux partagé par l’ethnie diola. Et sa camera a rencontré le bukut…Dans la matinée d’hier, c’était au tour de la presse. Quand on y songe, il a tout de même quelque chose d’assez déroutant, le titre du film. Diola tigi, on penserait presque à un de ces regards fouillés qui s’attardent sur tout et rien à la fois, sorte de vision panoramique sur tout ce qui se réclamerait de la culture diola.