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Le major de la gendarmerie à la retraite, Aliou Kandji, dit ne rien comprendre par rapport à la démarche prise par les autorités....
Car, des sanctions disciplinaires risquent de lui tomber sur la tête.
Effet de mode, précautions sécuritaires, ostentation…
Les réactions se multiplient depuis le démantèlement des centres de redressement mis en place par Serigne Modou Kara Mbacké
Le commissaire Bassamba Camara livre sa lecture
Le major de la gendarmerie à la retraite, Aliou Kandji, dit ne rien comprendre par rapport à la démarche prise par les autorités....
Les réactions se multiplient depuis le démantèlement des centres de redressement mis en place par Serigne Modou Kara Mbacké
Le commissaire Bassamba Camara livre sa lecture
Les saisies de drogue au port autonome de Dakar commencent à faire légion. Bassamba Camara, le commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle, qui est actuellement à la retraite, avertit qu’une telle situation peut entraîner l'installation de cartels dans notre pays.
Les milices privées se multiplient dans le pays, selon le constat de Bassamba Camara.
C'est une mère complètement meurtrie que nous avons rencontrée à Bolaroya, dans la sous-préfecture de Dounet à Mamou.
Bassamba Camara, Commissaire divisionnaire de police à la retraite, a réagi suite à l’interdiction du rassemblement des mouvements Aar Li Nu Bokk et Sam Sunu Rew prévu cet après-midi à la place de la Nation.
La mairie a opté, jeudi, pour l’installation de comités de vigilance comme une solution à l’insécurité qui prévaut ces temps-ci dans la ville de Tambacounda (est) où dans la nuit du mercredi au jeudi, un septième meurtre a été enregistré en l’espace de quelques mois.Lors d’une réunion de crise convoquée par le maire, et à laquelle avaient pris part des imams, délégués de quartiers, responsables de comités de développement de quartier (CDQ) et divers acteurs de la société civile, l’idée a été avancée et approuvée de mettre en place des comités de vigilance pour faire face à l’insécurité.
Une foule composée surtout de lycéens, de collégiens et de conducteurs de mototaxis, en plus d'autres citoyens, a assiégé ce jeudi le rond-point du commissariat de police de Tambacounda (est), pour réclamer plus de sécurité dans la commune orientale, au lendemain du meurtre d'un individu non encore identifié.
Une soixantaine d’individus dont deux femmes ont été interpellés dans la nuit de vendredi à samedi, dans une opération de sécurisation menée conjointement par la police et la gendarmerie de Tambacounda, a appris l’APS.
Tambacounda, 8 fév (APS) - Une soixantaine d’individus dont deux femmes ont été interpellés dans la nuit de vendredi à samedi, dans une opération de sécurisation menée conjointement par la police et la gendarmerie de Tambacounda, a appris l’APS.
La police a mis la main sur 14 personnes et 429 boîtes d’injection, lors d'une opération de sécurisation menée dans la commune de Tambacounda, dans la nuit de jeudi à vendredi, a indiqué, vendredi, le chef de la sécurité urbaine le commissaire Bassamba Camara.
Une cérémonie de lecture du Coran et de prière pour conjurer l’insécurité et les accidents de la route dans la région de Tambacounda (Est) s’est tenue samedi à la grande mosquée de la capitale régionale, à l’initiative du principal imam de la commune et de son entourage, a constaté l’APS.
Un accident d’une rare violence a fait deux morts. Un conducteur de moto Jakarta non encore identifié et la femme du pharmacien Dr Samba Salif Diallo sont les victimes. L’accident est survenu hier dimanche vers 17heures au quartier Liberté. Le conducteur du camion de sable, Mamadou Samba Diallo, guinéen d’origine, domicilié au quartier Abattoirs Complémentaire, qui a pris la fuite, après avoir heurté la moto et tué les deux personnes, n’avait pas de frein.
L’insécurité a fini par gagner du terrain dans la capitale orientale. L’horreur et la terreur ont frappé à nouveau la capitale sénégalaise plus précisément le quartier périphérique de Liberté où un homme dont l’identité reste inconnue a été victime d’un lâche assassinat. La victime a été retrouvée égorger dans une maison en construction, trainé puis jeté dans un bassin rempli d’eau.
