La demande d’extradition par les autorités tunisiennes de Belhassen Trabelsi, beau-frère du président Zine el Abidine Ben Ali, est...
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La demande d’extradition par les autorités tunisiennes de Belhassen Trabelsi, beau-frère du président Zine el Abidine Ben Ali, est...
La demande d’extradition par les autorités tunisiennes de Belhassen Trabelsi, beau-frère du président Zine el Abidine Ben Ali, est...
Le pôle judiciaire financier a...
Depuis la chute et la fuite de l’ex-président Zine el-Abidine Ben Ali, il y a six ans maintenant, la nouvelle vie de sa famille, ainsi que de sa belle-famille, les Trabelsi, intrigue et captive toujours autant. À l’approche de la date historique du 14 janvier, certaines de ces personnalités en ont profité pour (re)sortir de l’ombre.
La filiale suisse de la banque britannique HSBC (HSBC Private Bank) est fortement suspectée d’avoir mis en place - au moins entre 2006 et 2007 - un vaste système international de fraude fiscale - même si le fait de détenir un compte en Suisse n'est pas en soi illégal. Selon les enquêteurs du fisc français, le dossier concerne quelque 180 milliards d'euros en provenance de plus de 200 pays pour le compte de 130 000 personnes physiques ou morales, dont plusieurs ont un lien très fort avec l’Afrique. Qui sont-elles ?
Les révélations du journal Le Monde sur la branche suisse de la banque HSBC ont mis à nu un système de fraude fiscale globalisée, projetant sur le devant de la scène plusieurs noms connus. Dans les personnalités concernées par ces Swissleaks, acteurs, hommes politiques et sportifs côtoient dynasties royales et chefs d'entreprise.
Moncef Trabelsi, un frère de l'épouse du président tunisien déchu Zine El Abidine Ben Ali, est mort des suites d'une tumeur au cerveau dans un hôpital où il avait été transféré en mars depuis sa prison, a indiqué vendredi le directeur des services pénitentiaires tunisiens. "Il est mort à l'hôpital neurologique où il avait été hospitalisé le 18 mars.
La ministre des Affaires étrangères française Michèle Alliot-Marie, critiquée pour avoir utilisé le jet privé d'un fervent partisan de l'ex-président Ben Ali, s'est déclarée "meurtrie" par la polémique. Elle rejette toute démission.
Le ministère de l'Immigration a révoqué le statut de résident permanent de Belhassen Trabelsi, beau-frère de l'ex-président tunisien. À Ottawa, l'ambassadeur de la Tunisie a officiellement demandé son arrestation. Le richissime homme d'affaires tunisien a rencontré l'Agence des services frontaliers du Canada après son arrivée à Montréal, le 20 janvier. Les autorités ont déterminé qu'il n'avait pas passé suffisamment de temps au Canada au cours des cinq dernières années pour conserver son statut. Belhassen Trabelsi a signifié son intention de porter cette décision en appel, selon des sources gouvernementales. S'il perd, il aura toujours la possibilité de demander le statut de réfugié. Le gouvernement canadien s'attend à ce que ces démarches durent plusieurs années.
Situation explosive en Tunisie. Vendredi matin, les Tunisois se sont levés avec l'impression que le discours très prometteur de Ben Ali, la veille au soir, ne se traduirait pas en actes concrets. Sauf s'ils maintenaient la pression sur le gouvernement. Une journée de grève générale et de manifestations à suivre en direct sur jeuneafrique.com
Sous la pression de l'armée, le président Ben Ali s'est enfui de Tunisie, vraisemblablement sur son yacht, vers une destination inconnue. Le Premier ministre Mohamed Ghannouchi assure l'intérim du pouvoir. Le chef d'état-major des armées, le général Rachid Ammar, apparaît comme le garant de cette transition.