La mort de l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba soulève de nombreuses questions depuis la publication de rapports médicaux contradictoires, issus des autorités françaises et sénégalaises.
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La mort de l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba soulève de nombreuses questions depuis la publication de rapports médicaux contradictoires, issus des autorités françaises et sénégalaises.
La saison des pluies, tant attendue pour ses bienfaits, est devenue une période de profonde angoisse pour les habitants de la zone de Kounoune et ses environs, situés entre les sorties 10 (Sangalkam) et 9 (Sédima) de l'autoroute à péage.
Imam Moustapha Gueye : les hommages se multiplient sur les réseaux sociaux
La mort de l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba soulève de nombreuses questions depuis la publication de rapports médicaux contradictoires, issus des autorités françaises et sénégalaises.
La saison des pluies, tant attendue pour ses bienfaits, est devenue une période de profonde angoisse pour les habitants de la zone de Kounoune et ses environs, situés entre les sorties 10 (Sangalkam) et 9 (Sédima) de l'autoroute à péage.
Le Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf, semble vouloir travailler en toute indépendance dans le dossier Ndiaga Diouf, soutenu en cela par l’Union des magistrats du Sénégal (Ums), qui a tenu une conférence de presse hier. Le juge instructeur aurait manifesté sa détermination à retrouver toutes les personnes mêlées à l’attaque de la mairie de Sacré cœur-Mermoz et la mort de Ndiaga Diouf. Il a lancé un mandat d’arrêt contre Baye Moussé Bâ «Bro», un des gardes du corps du président de la République, Sadibou dit «Sa», Ameth Guèye et Sarr «Américain», cités parmi les recruteurs des nervis envoyés à la mairie de Barthélémy Dias. Mahawa Sémou Diouf a donné une délégation judiciaire à la Section de recherche de la gendarmerie pour qu’elle continue l’enquête menée par la Sûreté Urbaine.
Le Groupe Futurs médias fait face à une véritable crise, avec une série de départs qui touchent à la fois les gestionnaires du Groupe de presse et des journalistes. Le directeur de la rédaction du journal l’Observateur, Serigne Saliou Samb a présenté ce lundi 18 avril sa démission, allongeant la liste des démissionnaires du Groupe de presse fondé par le chanteur Youssou Ndour.
Un tableau sombre a été dressé par les services de Hillary Rodman Clinton. Ce rapport de l'année 2010, qui a dénoncé l’impunité au Sénégal, a cité les cas de Moustapha Sall, jeune pêcheur tué, la mort de Mangoné Mbaye signé par le gendarme Gora Dione, Abdoulaye wade Yengou et tant d’autres crimes qui restent jusque-là impunis. Pour les Américains, le Sénégal compte 37 prisons avec une capacité de 3000 prisonniers. Et pourtant, on y compte 7550 détenus en 2009.
Le Directeur Général de la Radio Futurs Médias s’est dit « très déçu » de la décision du tribunal sur l’affaire des journalistes Boubabar Kambel Dieng et Karamoko Thioune. Mamadou Ibra Kane a déclaré sur les ondes de la RFM que cette décision montre que c’est la loi du plus fort qui règne au Sénégal.
Le tribunal militaire, présidé par le magistrat Mountaga Diouf assisté de deux officiers supérieurs de la justice militaire, a condamné vendredi l’adjudant El Hadji Lamidou Dione à un mois de prison avec sursis pour coups et blessures volontaires sur le journaliste Boubacar Kambel Dieng, à qui il devra aussi payer la somme de 750.000 francs CFA a titre de dommages et intérêts.
Au lieu d’étudier les problèmes avec rigueur, Amnesty International fait de la politique, a réagi ce matin le ministre de la justice qui a été interpellé par les députés sur le rapport de l’Ong de défense des droits de l’homme qui assimile le Sénégal a une terre d’impunité.
La torture avec usage d'armes, reconnue comme crime international, est devenue une ‘pratique systématique’ au Sénégal où douze cas de tortures non élucidés sont recensés. Le phénomène a pris un développement exponentiel depuis quelques années. C'est pourquoi, les organisations de défense des droits humains qui dénoncent l'‘impunité’ et la ‘protection des tortionnaires’ ainsi que l'‘absence de poursuites’ comptent attaquer le Sénégal devant la Cour de justice de la Cedeao.
L'affaire Abdoulaye Wade Yinghou n'est pas sans rappeler les nombreux cas de bavures policières, sur fond de tortures et de brutalités, enregistrés dans les commissariats de police, brigades de gendarmerie et même au niveau des prisons. Cette situation qui préoccupe à plus d'un titre les organisations de défense des droits de l'homme, a pour corollaire la recrudescence des violences exercées sur des citoyens par les corps assermentés.
C'est le quotidien L'As qui l'écrit : "Ce sera sans doute le dossier de l’année au niveau du Tribunal militaire de Dakar. Comme le révélait « L’As », le doyen des juges, chargé de l’instruction de l’affaire dite Kambel Dieng et Karamako Thioune, avait bouclé récemment son dossier et sollicité les réquisitions du procureur de la République. Elles sont tombées depuis ce début de semaine et le maître des poursuites a, comme qui dirait,
Trois agents de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip), l’adjudant Lamidou Dione et les gardiens de la paix Mousa Coulibaly et Mbaye Diouf, ont été inculpés, hier, par le Doyen des juges Mahwa Sémou Diouf. Ils ont été mis en liberté provisoire. Lors de cette première comparution, ils ont plaidé non-coupables. L’affaire de l’agression des journalistes Boubacar Kambel Dieng commence à révéler ses secrets. Les trois agents de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip), identifiés comme ayant commis l’acte, ont été inculpés, hier, «de coups de volontaires ayant occasionné une incapacité temporaire
Les quotidiens parvenus vendredi à l’APS s’intéressent en priorité à l’incendie qui s’était déclaré jeudi au ‘’daaka’’ (retraite spirituelle) de Médina Gounass, dans la région de Kolda, et à l’inculpation de trois policiers dans le cadre des suites judiciaires de l’affaire de l’agression des journalistes Kambel Dieng et Karamokho Thioune. ‘’C’est la révolte au Daaka’’ de Médina Gounass où un incendie a fait deux morts et 34 blessés, ravageant ‘’tout’’ sur son passage, selon le quotidien Le Populaire. De plus, ‘’face au manque d’eau,
Le doyen des juges d’instruction Mahawa Sémou Diouf a entendu, ce jeudi, les trois présumés agresseurs des journalistes Boubacar Kambel Dieng et Karamokho Thioune. Les policiers ont été inculpés de coups et blessures volontaires, actes de tortures et atteinte à la liberté de travail des journalistes. A l’issue de l’audition, qui n’a duré que 25 mn, les mis en cause, qui ont nié les faits, ont bénéficié d’une liberté provisoire, en attendant d’être entendus sur le fond.
Le Doyen des juges du tribunal régional de Dakar a inculpé trois éléments de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip), pour «coups et blessures volontaires», «actes de torture» et «entrave à la liberté d’exercer le journalisme». Les policiers ont été assistés par quatre avocats commis par l’Etat en l’occurrence Mes Moustapha Diop, Oumar Youm, Baboucar Cissé et Mbaye Guèye. Les policiers sont accusés d’avoir tabassé Karamokho Thioune et agressé, blessé, menotté,
Nous vous annoncions qu’on s’achemine tout droit vers l’inculpation des agents de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip) qui avaient tabassé Boubacar Kambel Dieng et Karamokho Thioune. Selon des sources judiciaires, ils ont reçu des mandats de comparution et devront se présenter devant le Doyen des juges jeudi 15 avril prochain. Une inculpation s’ensuivra, pense-t-on. Les policiers de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip),