Il va devenir le premier ex-chef d'Etat de l'Union européenne à dormir derrière les barreaux
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										Il va devenir le premier ex-chef d'Etat de l'Union européenne à dormir derrière les barreaux
										Procès libyen: Deux anciens ministres français condamnés à six et deux ans de prison
										Au dernier jour du procès pour soupçons de financement libyen de sa campagne en 2007, Nicolas Sarkozy a déclaré mardi ne pas vouloir « répondre à un réquisitoire politique et violent », évoquant un « contexte médiatique et politique détestable ».
										Le parquet financier a requis jeudi sept ans de prison et 300.000 euros d'amende contre Nicolas Sarkozy au procès des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de 2007 de l'ancien chef de l'Etat.
										Le procureur financier Quentin Dandoy venait de se lancer dans une longue démonstration, frise chronologique projetée à l’écran à l’appui, pour expliquer comment un pacte de corruption avait selon lui été mis en place par les deux plus proches collaborateurs de l’ex-président, Claude Guéant et Brice Hortefeux, à Tripoli.
										Encore un procès pour Nicolas Sarkozy: l'ancien président français est attendu au tribunal de Paris lundi pour répondre, pendant quatre mois et aux côtés de trois anciens ministres, d'accusations de financement illégal de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi.
										 L'ancien président français Nicolas Sarkozy a-t-il accepté l'argent d'un richissime dictateur pour financer la campagne qui l'a porté au sommet de l'État ? L'ancien dirigeant est de retour au tribunal à partir de lundi aux côtés de trois anciens ministres.
										Le risque d'un nouveau procès pour Nicolas Sarkozy se précise: le parquet financier (PNF)
										l’ancien ministre Brice Hortefeux entendu par les juges
										L’ancien président français est soupçonné d’avoir usé de fonds libyens pour financer sa campagne présidentielle de 2007.
										Le 24 septembre, un arrêt de la cour d'appel de Paris avait très largement validé l'enquête et écarté les recours déposés par le camp Sarkozy.
										Huit ans après les premières accusations, Nicolas Sarkozy et ses proches ont rendez-vous ce...
										l’ancien ministre Brice Hortefeux entendu par les juges
										Le renseignement français vient de faire une importante révélation en ce qui concerne le financement libyen de Nicolas Sarkozy. Interrogé dans le...
										L'ancien ministre français Brice Hortefeux est convoqué mardi matin au tribunal de Paris pour être entendu par les juges d'instruction qui enquêtent sur les accusations de financement par l'ex-régime libyen de Kadhafi de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007,
										La Cour de cassation a définitivement rejeté mercredi les accusations de faux et usage de faux portées par Nicolas Sarkozy contre Mediapart pour avoir publié un document appuyant la thèse d’un financement libyen de sa campagne présidentielle de 2017. L’ancien chef de l’Etat avait porté plainte contre le site d’information en juillet 2013 mais cette plainte s’était soldée par un non-lieu, les juges d’instruction estimant qu’il n’y avait pas de charges suffisantes.
										Le corps sans vie de Mamadou Kébé, 38 ans, a été retrouvé pendu au bout d’une corde, sur une aire de jeu du parc Aimé-Césaire à Corbeil-Essonnes, en France
										La justice a relancé une enquête sur des soupçons de "violation du secret de l'instruction" par l'Elysée en 2011, sous Nicolas Sarkozy, à cause d'un communiqué en marge de l'affaire Karachi, a appris l'AFP de source proche du dossier. La cour d'appel de Paris, contre l'avis du parquet général, a annulé le 6 novembre le non-lieu qui avait bénéficié à Nicolas Sarkozy en août 2016 et ordonné la reprise de l'information judiciaire pour "violations du secret de l'instruction et du secret professionnel", et pour complicité et recel de ces délits
										L’opposition a brocardé mercredi un gouvernement changé en “radeau de la Méduse” après la démission de Gérard Collomb qui, en mettant Emmanuel Macron devant le fait accompli, a ouvert une “crise majeure” et torpillé l’autorité du chef de l’Etat aux yeux de la droite comme de la gauche. Les ministres qui se sont succédé au micro des radios après cet épisode, comparable par sa dramaturgie au départ de Nicolas Hulot un mois plus tôt, ont en revanche insisté sur la continuité de l’Etat, manière d’écarter toute crise.
										Brice Hortefeux, ancien ministre de l'Intérieur, a réagi mardi sur franceinfo à la démission de Gérard Collomb. Il juge que le gouvernement d'Emmanuel Macron, "c'est cacophonie, inexpérience et amateurisme".