Il y a 30 ans, les travaux du centre commercial Touba Sandaga étaient lancés.
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Il y a 30 ans, les travaux du centre commercial Touba Sandaga étaient lancés.
Son profil est unique dans la liste des 19 candidats à la présidentielle. Serigne Mboup est un produit de l'école coranique et arabe.
Le rayonnement de CCBM Holding
Centre Commercial Touba Sandaga (2001-2023): Serigne Mboup à l'écoute des commerçants
A. L. a comparu, hier, à la barre du Tribunal de Grande instance de Dakar pour "vols...
Le destin des marchés est très souvent lié au destin de ces braves hommes et femmes qui y exercent leurs activités professionnelles et celui des populations environnantes qui y habitent
Cette typologie des enfants errants en souffrance renseigne amplement sur l’ivresse dans laquelle notre pays a plongée au-delà des limites acceptables.
Il y a 30 ans, les travaux du centre commercial Touba Sandaga étaient lancés.
Centre Commercial Touba Sandaga (2001-2023): Serigne Mboup à l'écoute des commerçants
A. L. a comparu, hier, à la barre du Tribunal de Grande instance de Dakar pour "vols...
Abdou Diouf, alors président de la République du Sénégal, avait vu juste en recommandant à Ousmane Tanor Dieng, à l’époque secrétaire particulier de la présidence de la République, de suivre Serigne Mboup, le patron du groupe Ccbm.
Durant le Ramadan, on a du mal à différencier les vrais et les faux dévots. Il reste que le business lié à la vente du Coran, des Khassaïdes ou des Hadiths connaît une explosion. Devant les mosquées, les acheteurs se bousculent pour acheter un livre saint afin de renouveler leurs connaissances islamiques et traversent le mois sacré avec un cœur apaisé. Les vendeurs se frottent les mains. Et les lecteurs renouvellent leur allégeance au Seigneur qui a réussi à leur «imposer» ces 29 jours d’abstinence.
Durant le Ramadan, on a du mal à différencier les vrais et les faux dévots. Il reste que le business lié à la vente du Coran, des Khassaïdes ou des Hadiths connaît une explosion. Devant les mosquées, les acheteurs se bousculent pour acheter un livre saint afin de renouveler leurs connaissances islamiques et traversent le mois sacré avec un cœur apaisé. Les vendeurs se frottent les mains. Et les lecteurs renouvellent leur allégeance au Seigneur qui a réussi à leur «imposer» ces 29 jours d’abstinence.
A la tête du célèbre holding CCBM, l'homme d'affaire Serigne Mboup, qui s'active dans la distribution, le commerce, l'Agriculture pour ne citer que ces centres d’activité, ne voit pas l'ouverture des frontières et l'arrivée tous azimuts d'entrepreneurs étrangers d'un œil rassurant. Autant considère-t-il que des pays comme la Chine, les Etats-Unis, la France défendent bien le business de leurs propres entreprises, autant estime-t-il que le privé sénégalais est aujourd'hui délaissé, par la faute conjuguée de l’État et des Sénégalais de façon générale.
Les hommes sont à couteaux tirés devant la justice. Un terrain sis sur l’Avenue Lamine Guèye au cœur de leur désaccord. Le maire de Dakar, Khalifa Sall qui sort de sa réserve sur la dite affaire ne manque pas de préciser. Ce terrain, révèle-t-il a été donné sous forme de bail à Bara Mboup (père de Serigne Mboup) depuis les années 2000 pour y construire un centre commercial dénommé « Dakar Horizons ». Mais depuis son acquisition, « Bara Mboup n’a rien versé et pas une seule brique n’a été posée sur le terrain », explique l’édile politique du Parti Socialiste (PS).
Le Comptoir commercial Bara Mboup (Ccbm) fête ses 20 ans d’existence. A l’heure du bilan, son Président-directeur général, Serigne Mboup, fait les comptes et annonce les perspectives. Dans l’entretien qu’il a accordé à l’Observateur, Serigne Mboup fait aussi le point sur ses relations avec l’ancien Président Wade, livre les détails de leurs liens d’affaires et revient sur nombre de sujets qui l’interpellent personnellement.
Pendant que les vendeurs de denrées de consommation se frottent les mains, ceux qui sont spécialistes dans la vente de produits cosmétiques et d’habillement «sexy» broient du noir. Le Ramadan est passé par là. Cependant, quelques rares commerçants parviennent à tirer leur épingle du jeu.
Par cette veille de la fête du mouton, le centre commercial Touba Sandaga, l’un des plus grands de Dakar est en mal de clients. Les commerçants officiant dans cet immeuble évoquent la crise économique et la conjoncture pour expliquer ce repli dans les affaires. Erigé en plein cœur de la capitale sénégalaise, les boutiques de ce centre commercial sont bien fournis et les vêtements bien achalandés. Mais les clients se font rares ainsi que l’atteste un commerçant. «Les rush qu’on attendait, on ne l’a pas ressenti. C’est (certainement) dû à la conjoncture. Les gens ont vraiment du mal à assurer la cadence de la fête», pense Mohamed Sarr, gérant d’une boutique située au rez–de-chaussée de l’immeuble. Pourtant, M. Sarr estime que «les prix sont très abordables».
L’arrivée massive des Chinois sur le marché sénégalais en réjouit certains, qui peuvent acheter en gros des produits à bas prix. Mais les commerçants qui continuent de s'approvisionner dans les filières traditionnelles sont excédés par la concurrence des Chinois qu'ils jugent déloyales. Aicha Senghor est allé s'en rendre compte sur place au marché Sandaga. Les marchands du centre commercial Touba Sandaga (marché Sandaga), dont les marchandises proviennent de France, d’Italie, des Etats-Unis ou de Turquie, sont tous d'accord pour accuser les Chinois : « C’est catastrophique...
A Dakar, les cantines sont nombreuses. Grande ville d’Afrique de l’Ouest, elle attire les commerçants et les acheteurs du Sénégal et du reste de l’Afrique qui viennent y chercher ou y vendre toutes les marchandises possibles et imaginables. Il y en a pour tous les goûts. Que ceux qui n’aiment pas la foule s’abstiennent! Au Sénégal, l’odorat en prend un coup lorsqu’on traverse les étroits passages entre les vendeurs. On passe des effluves envoûtants du thiouraye, aux odeurs d’épices venues du monde entier, en passant par les arômes des mangues mûres et les arômes marins de poisson frais... ou moins frais.