Pastef ou le charlatanisme politique, par Mamadou Sy Tounkara
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Pastef ou le charlatanisme politique, par Mamadou Sy Tounkara
Exploitant un renseignement faisant état d'un trafic de faux billets, la brigade de recherches de Touba a interpellé le responsable politique D. Bèye à son domicile, au quartier Darou Marnane.
Moustapha Dramé va passer 2 ans derrière les barreaux si le juge des flagrants délits de Dakar suit la demande du procureur de la République.
Après 10 mois en détention préventive, Birane Touré et Mactar Cissé ont été jugés hier à la barre du Tribunal correctionnel de Dakar.
Au cours de ces deux dernières décennies, les inondations abominables ont considérablement augmenté dans la ville sainte de Touba et environnants
Un rapport de la commission d’enquête sénatoriale, loin de faire l’unanimité, recommande de poursuivre le président brésilien pour meurtre de masse selon le «New York Times», qui a pu consulter des extraits.
Brasilia entre « omissions », achat de vaccins surfacturés et morts sans oxygène
Le microbiologiste est attaqué devant l'Ordre des médecins et visé par une enquête de...
Cette semaine, l'actualité est à dominante sombre et polémique. Une page à tourner.
Si on juxtapose la fameuse phrase de Hillary Clinton, “it takes a village to educate a child”, empruntée d’ailleurs d’un proverbe africain, plus précisément Nigérien, et le dicton Wolof “ Boo baaxee doomu ?ëp ?a, soo bonnee sa yay rekka la jur” (bien éduqué, tu es l’enfant de tout le monde, mal éduqué tu n’es l’enfant que de ta mère), on voit non seulement l’importance du leadership dans l’éducation de l’enfant mais aussi les conséquences dramatiques qui découlent de son échec, chez l’enfant mais aussi chez ses parents immédiats.
Le 19 mars 2000, la première véritable conquête du pouvoir par le peuple sénégalais se confondait avec la sempiternelle et obsessionnelle quête du pouvoir par un septuagénaire qui, comme les chats des croyances populaires, semble avoir mille et une vies. Sur le coup, on fut porté à croire que la trajectoire lunaire de ce destin individuel, toute en courbes ellipsoïdales imprévisibles et fantasques, était intimement liée à la longue et éprouvante marche des Sénégalais vers la démocratie. De cette conjonction circonstancielle de deux trajectoires a résulté la période de confusion et de malaise que vit le Sénégal depuis ce fatidique soir de mars 2000. Plongés dans une longue éclipse, nous en sommes venus à perdre de vue le sens de notre destinée collective en tant que peuple souverain.
Un chapelet de ‘promesses non tenues’, c’est ce qui a marqué hier la Journée africaine de la médecine traditionnelle, selon les Ong œuvrant pour la valorisation de ces pratiques. Ces acteurs se disent déçus par les ministres de la Santé, qui, à chaque édition, promettent de déposer le projet de loi portant exercice de la médecine traditionnelle sur la table de l’Assemblée nationale. Depuis 2002, rien n’est fait. Et pourtant, avertissent ces Ong, l’adoption de cette loi serait la seule garantie pour la sécurité des patients.
La Tidjania se distingue par sa doctrine, ses principes et ses oraisons. Elle enseigne l’acquisition de la vertu spirituelle, l’observance minutieuse de la loi révélée et l’ajustement des actes de ses adeptes sur les principes et recommandations du prophète. Le khalife Mansour Sy tient sa légitimité et sa responsabilité historiquement de Sheick Omar Futi Tall, qui a implanté l’ordre Tidjani au Sénégal, mais plus proche de lui, de son grand père El Hadj Malick Sy qui a beaucoup œuvré aussi pour que la confrérie soit connue puis a transmis le flambeau à son fils Ababacar Sy, lequel a passé le relais à son frère Abdul Aziz Sy, qui échoira enfin à son neveu l’actuel Calife des Tidjanes.
C’est avec un amer sentiment de frustration, que nous constatons que les ouvrages critiques contre Abdoulaye Wade et son régime ne sont pas en vente dans les librairies de Dakar ou ailleurs au Sénégal. Il en est ainsi notamment : - du livre de Mody Niang, Qui est cet homme qui gouverne le Sénégal ?, - du roman de Babacar Sall, Le stagiaire, - du livre de Souleymane Jules Diop, Wade - L’avocat et le diable ; - de la fusion de mes deux premiers «Cahiers de l’œil du Patriarche», Autopsie d’une alternance dévoyée.