Le gouverneur de la capitale indonésienne a signé une loi interdisant d’ici six mois la consommation d’animaux vecteur de la rage, comme les chiens ou les chats
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Le gouverneur de la capitale indonésienne a signé une loi interdisant d’ici six mois la consommation d’animaux vecteur de la rage, comme les chiens ou les chats
L'un des acteurs allemands les plus renommés d'Hollywood, Udo Kier, connu pour ses rôles de méchants, est décédé à 81 ans, a affirmé dimanche le magazine américain Variety, citant son compagnon Delbert McBride.
Le corps mutilé d'un homme a été retrouvé dimanche à Auxerre, dans l’Yonne.
Le maire de Sturgeon (Etats-Unis) a récemment démissionné et un policier de la ville a été suspendu après la mort d’un chien de cinq ans abattu par ce dernier en mai 2024, suscitant une vive émotion
Des spécialistes en explosifs sont intervenus ce dimanche pour fouiller un avion d’United Airlines ayant atterri en urgence à Saint-Louis (Etats-Unis) après une alerte à la bombe
Les locaux du groupe RMC BFM dans le 15e arrondissement de Paris ont été évacués samedi et les directs des antennes interrompus plus de deux heures et demie en raison d'une alerte à la bombe finalement levée en fin d'après-midi, selon BFMTV.
Sur les traces du village d'origine d'Omar Ibn Saïd, un homme lettré capturé et vendu comme esclave en 1807 aux Etats-Unis
« Le jeudi 6 novembre, dans mon intervention en commission des finances, m'adressant au ministres des finances et à son collègue en charge de l'économie, j'alertais sur la charge écrasante du service de la dette. J'avertissais aussi sur les impacts directs sur cette dette (à travers les intérêts) et sur la capacité à recourir au marché financier de la guerre entre Diomaye et Sonko ». Ainsi mettait en garde le député Thierno Alassane Sall.
Le député et leader de la République des valeurs/Réewum Ngor (RDV) a annoncé que le jeudi 6 novembre, dans son intervention en Commission des finances à l'Assemblée nationale, s'adressant au ministre des Finances et à son collègue de l'Économie, il alertait sur la charge écrasante du service de la dette.
Les chiens de garde de l'ancien régime : La presse en mission contre-révolutionnaire (par Awa Diop Diagne)
Ils dressent un chien et reçoivent de l’ecstasy en paiement
Toulouse : en érection, il se glisse dans le lit d'une femme pour l'agresser sexuellement et est condamné pour «violation de domicile»
Pavillon spécial : Farba Ngom reçoit une visite inattendue
Un chien policier a réussi à retrouver deux enfants de 11 portés disparus après une balade en forêt avec leur mère ce dimanche dans l’Indiana (États-Unis)
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
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En étant la première à découvrir que certains singes utilisaient des outils, l'anthropologue et primatologue britannique a bouleversé notre vision des animaux. Cette infatigable défenseuse de la biodiversité est morte à l'âge de 91 ans « de causes naturelles », a annoncé son institut mercredi 1er octobre 2025. Elle se trouvait en Californie dans le cadre d'une tournée de conférences aux États-Unis.
Une Américaine poursuivie pour avoir inscrit sa chienne sur les listes électorales a comparu mardi devant un tribunal de Californie et...