Le procès consécutif à l’affaire Batiplus a eu lieu hier après plusieurs renvois. Mais aucun des prévenus (Rachelle Sleylati, son père et son fiancé Alex Rabih Kfoury) n’a comparu à la barre.
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Le procès consécutif à l’affaire Batiplus a eu lieu hier après plusieurs renvois. Mais aucun des prévenus (Rachelle Sleylati, son père et son fiancé Alex Rabih Kfoury) n’a comparu à la barre.
Le procès consécutif à l'affaire Batiplus a eu lieu hier après plusieurs renvois.
Évoquée ce jeudi par la première Chambre correctionnelle de Dakar, l’affaire Batiplus a été finalement renvoyée.
Rachelle Sleylati va comparaître ce jeudi 1er août aux côtés de son père, André Sleylati et de son fiancé, Alex Nfoury.
Les auditions dans l'affaire Batiplus se poursuivent.
la Cour suprême s'est prononcée, hier, sur l’affaire Batiplus
Une démission et pas des moindres à Batiplus qui défraie la chronique ces derniers jours.
Libération révèle, dans sa livraison de ce mercredi, les détails de l'audition de...
Le journaliste Cheikh Yérim Seck fera face aux enquêteurs de la Brigade de recherches de la gendarmerie, ce matin à 11 heures.
Une démission et pas des moindres à Batiplus qui défraie la chronique ces derniers jours.
* Le ministre du Commerce rappelle Suneor à l’ordre Suite au tollé provoqué par la décision unilatérale de Suneor de procéder à une hausse de 7 à 15% des prix des variétés d’huile végétale, le gouvernement sénégalais est sorti de sa réserve. Le président de la République a tapé sur la table et son ministre du Commerce, Amadou Niang, a sommé la société d’huile de table d’appliquer les prix qui étaient jusqu’ici en vigueur.Par décision N° 08767 du 29 septembre 2010, le ministre du Commerce a pris un «arrêté portant blocage des prix de l’huile à tous les stades de commerce».
Christian Samra, Dg de la Suneor a démissionné, hier mardi 31 Août, de son poste de directeur général de la Suneor. Motif invoqué : « convenance personnelle", indique le site internet de l'hebdomadaire La Gazette. M. Samra qui a accédé à ce poste en février 2009, peut librement revendiquer le statut de Dg qui a le plus duré à la tête de la Suneor. Il y a fait dix huit mois. Les quatre autres, dont Roger Chavannes, Francis Ambroise, Franck Bavard, Sylvestre Correa, qu’il a succédé, depuis la privatisation de la Sonacos en 2006, ont tous quitté en un temps record la Suneor qui fait figure d’ogre qui avale ses directeurs généraux sans état d’âme !
La marque nationale de conformité aux normes sénégalaises, « Marque Ns », a été lancée hier à Dakar au cours d’une journée nationale, l’objectif étant le renforcement de la compétitivité des entreprises sénégalaises. La cérémonie officielle de lancement de la marque nationale a été présidée par le directeur de Cabinet du ministère des Mines, de l’Industrie, de l’Agro-industrie et des Pme, Mar Lo, en présence des partenaires au développement impliqués dans le programme qualité de l’Afrique de l’Ouest et des représentants du patronat sénégalais.
Le nouveau produit huilier que la Suneor met sur le marché coûtera entre «10 à 15% moins cher que l’huile de soja raffinée», a révélé, hier à Dakar, le Directeur général de la société, Christian Samra. C’était lors du lancement du produit «Arador» sous le sceau du «Soukhali mbéyoum guerté» (booster la filière arachidière), dans les usines de la société sises à Bel-Air. «On a voulu une huile de qualité et abordable», a expliqué M. Samra, soulignant que le produit est fait à base d’arachide cultivée et transformée au Sénégal. Pour le moment commercialisée en bidons de 20 litres, cette huile d’arachide va occuper «une grande partie de la commercialisation» de la société, a laissé entendre son directeur général.
Natif de la région de Thiès et Sénégalais d’origine libanaise, Christian Samra est le Directeur général de la Suneor. Une entreprise qui, selon lui, perd 10% de son chiffre d’affaires du fait de la fraude sur l’huile. Quel bilan tirez-vous de l’actuelle campagne arachidière ? Pour la campagne 2008-2009, nous avons acheté 100 000 tonnes de graines par rapport à la campagne précédente qui était de 50 000 tonnes. Donc, c’est une campagne qui est moyenne. Puisque la capacité de nos usines est de 300 000 tonnes. Et, pour que nos usines soient rentables, il faut absolument tourner entre 250 000 et 300 000 tonnes de graines achetées.