Sibeth Ndiaye sera chargée « des affaires publiques, du juridique, de la communication et des solutions emploi » et membre du comité exécutif de ce groupe suisse qui compte parmi les 500 plus grandes firmes mondiales.
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Sibeth Ndiaye sera chargée « des affaires publiques, du juridique, de la communication et des solutions emploi » et membre du comité exécutif de ce groupe suisse qui compte parmi les 500 plus grandes firmes mondiales.
L'ex-porte-parole du gouvernement précise au "HuffPost" qu'elle ne sera pas rémunérée pour cette mission inédite au sein du parti présidentiel.
Quel que que soit le résultat de ce dimanche soir, ces élections législatives vont donner lieu à un véritable renouvellement, en raison notamment de la loi contre le cumul des mandats qui s'applique pour la première fois lors de ce scrutin. Désormais, un parlementaire ne peut plus exercer un mandat exécutif local. Un renouvellement que l'on a également vu à l'œuvre dimanche dernier avec la défaite de certaines figures du palais Bourbon. Edition spéciale sur RFI à partir de 17h30 (TU).
Largement favorable à Emmanuel Macron lors de l'élection présidentielle, Paris pourrait lui renouveler aux législatives sa confiance accordée il y a un mois, au détriment des partis traditionnels lancés dans une campagne à haut risque. Dans la capitale, le nouveau président a réuni près de 35% des voix au premier tour, soit plus de 10 points au-dessus de sa moyenne nationale, et près de 90% le 7 mai.
La campagne pour les élections législatives a commencé lundi dans un contexte de mue lié à l'irruption de La République en marche (LREM) d'Emmanuel Macron, aux difficultés des partis traditionnels et aux nouvelles règles de non cumul des mandats. Quelque 6.500 candidats en lice pour constituer l'Assemblée de 577 députés ont trois semaines pour convaincre plus de 47 millions d'électeurs de confirmer, ou non, leur choix de l'élection présidentielle.
L’universitaire sénégalais Iba Der Thiam, professeur agrégé d’histoire, a annoncé vendredi avoir adressé une "lettre de remerciements" au président François Hollande pour l’octroi de la nationalité française à des ex-combattants africains de la Seconde Guerre mondiale communément appelés tirailleurs sénégalais.
Près de trente ans après l'assassinat du capitaine révolutionnaire Thomas Sankara, la justice n'est toujours pas rendue.
Après sa première visite officielle, en tant que président de la République de Gambie, réservée au Sénégal, Adama Barrow s'est envolé pour l'Europe. Il effectue, à partir de ce mardi 14 mars 2017 et ce jusqu'au 16 mars prochain, une visite officielle à Paris puis à Bruxelles.
C’est admis que la démocratie libérale est un régime politique fondé sur des principes tels que la liberté, l’égalité et la justice. Les Etats, qui y adhèrent, prônent une séparation entre les pouvoirs qui exercent les fonctions exécutive, législative et judiciaire.
Ce n’est pas encore Dallas avec son « univers impitoyable », mais les hasards du jeu politique opposent trois Françaises aux racines sénégalaises bien assumées : Rama Yade, candidate pour le mouvement « La France qui ose », devenue citoyenne française après sa majorité, Aïssata Seck, qui est née et a grandi en région parisienne mais éduquée « à la sénégalaise », l’une des porte-paroles de Benoit Hamon, et Sibeth Ndiaye, la plus discrète des trois mais dont l’influence est telle qu’elle fait partie de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron, le candidat qui monte dans les sondages.
Le président sénégalais entame ce lundi une visite d'État de quatre jours en France. Une première depuis celle effectuée par Abdou Diouf, en 1992, destinée à souligner l'excellence des relations entre les deux pays.
Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone, proche de l'aile gauche du Parti socialiste, a apporté lundi son soutien à Manuel Valls, candidat à la primaire de la gauche en vue de l'élection présidentielle de 2017. "Compte tenu de ce qu'il représente en termes d'autorité de l'État, d'ordre républicain, de discours qu'il tient déjà pour montrer qu'il veut tenir compte et du bilan et de cette nécessité maintenant de se projeter dans l'avenir, je vais soutenir Manuel Valls", a-t-il dit sur France Inter.
Combattants auprès des troupes françaises, les tirailleurs sénégalais sont aujourd'hui nombreux à réclamer leur naturalisation, en vain. Aïssata Seck, maire adjointe à la mairie de Bondy, demande aujourd'hui à ce que ce droit leur soit reconnu. Elle explique sa démarche.
Monsieur Madiambal Diagne, responsable du Groupe Avenir Communication, chroniqueur du lundi en son propre journal « Le Quotidien », s’est fendu d’une de ses chroniques fantaisistes dont lui seul a le secret, s’en prenant à tout ce qui bouge tel un Don Quichiotte, prenant pêle-mêle sous son étreinte ministres, Secrétaires d'Etat, Conseillers, prenant souvent les uns pour les autres. Ses propos ont heurté tout le monde, jusques parmi les observateurs les plus passifs de la scène politique sénégalaise, qui doivent se demander d’où il tient sa morve abondante. Leur silence est, malheureusement et paradoxalement, ce qui fait abonder ce courtisan indélicat, bâtit sa réputation ainsi que sa fortune. En couvrant ses bienfaiteurs de superlatifs et en s’en prenant violemment à eux dès qu’ils cessent de lui être utiles, s’ils l’ont une fois été.
"Un président ne devrait pas dire ça": rarement titre d'un livre n'aura sonné aussi juste, et jamais n'a-t-on assisté à un tel suicide politique.
Denis Baupin, vice-président de l'Assemblée nationale française, accusé de harcèlement sexuel, a démissionné de son poste lundi mais "conteste" les faits, selon son avocat. Denis Baupin, a répondu ce lundi à la demande du président de l'Assemblée nationale française, Claude Bartolone, en démissionnant de son poste de vice-président de la chambre basse.
François Hollande a annoncé mercredi qu'il renonçait à réviser la Constitution devant l'impossibilité d'unir l'Assemblée et le Sénat sur son projet de déchoir de leur nationalité les auteurs d'actes terroristes, dossier qui a divisé sa propre majorité. Le chef de l'Etat, le porte-parole du gouvernement et les dirigeants socialistes ont imputé de concert l'échec de cette réforme à la droite, dont François Hollande a "déplor(é) profondément" l'attitude.
Soucieuses de ne pas prendre le risque d'échouer à empêcher un nouvel attentat dans un contexte de menace "extrêmement élevée", les autorités françaises semblent s'acheminer vers une prolongation de l'état d'urgence au-delà de fin février. Selon plusieurs sources gouvernementales, c'est aujourd'hui l'hypothèse la plus probable car les mesures envisagées pour renforcer la lutte contre le terrorisme ne seront pas votées avant plusieurs mois.
Les députés français examineront à partir du 5 février le projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation, qui prévoit notamment la déchéance pour les binationaux nés français condamnés pour terrorisme, sans accord à ce stade à gauche. Afin de trouver une solution qui puisse satisfaire à la fois la droite, le centre et une majorité de la gauche, François Hollande recevra mercredi les présidents de l'Assemblée, Claude Bartolone (PS), et du Sénat, Gérard Larcher (Les Républicains).
Le groupe socialiste de l'Assemblée nationale a renouvelé mardi par acclamations sa confiance à Claude Bartolone afin qu'il reste à la présidence de l'institution malgré sa défaite lors des élections régionales en Ile-de-France. Battu dimanche par Valérie Pécresse (LR) au second tour, Claude Bartolone avait dès dimanche soir annoncé qu'il remettrait son mandat à Bruno Le Roux, le président du groupe PS au Palais-Bourbon.