Dans une tribune, 61 universitaires sénégalais avaient mis en branle Macky Sall et les Forces de défense.
il y a 8 mois
9,896 Lectures
77 Commentaires
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Dans une tribune, 61 universitaires sénégalais avaient mis en branle Macky Sall et les Forces de défense.
L'ex-commissaire Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta, incarcéré depuis le 11 septembre , pour diffusion de "fausses nouvelles", a été investi par la coalition "Takku Wallu Sénégal", dirigée par Macky Sall.
Au cours de son passage dans le "Jury du dimanche" d'iRadio, l’ancien directeur de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis) s’est prononcé sur les saisies récurrentes de drogue au Sénégal.
L’ancien commissaire de police Cheikhna Cheikh Saadbou Keita dit n’avoir jamais été impressionné par le leader de Pastef Ousmane Sonko.
Cheikhna Cheikh Saadbou Keita, son mouvement Sauvons la République et d’autres organisations ont saisi, en début de semaine, le Conseil constitutionnel pour constater la «démission du président de la République».
La manifestation annoncée par le mouvement Sauvons la République/Dogu samm sunum reew pour demain vendredi 7 juin, en soutien à l’activiste Bah Diakhaté et au général Souleymane Kandé, n'aura finalement pas lieu.
![[Documents] Un mouvement demande au Conseil constitutionnel de constater "la vacance du pouvoir" de Diomaye au profit de Sonko](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//f93eea3a25bc5a8869bd190c15b6fe6f75dba694.jpg)
Ils demandent au président du Conseil constitutionnel, Mamadou Badio Camara, de constater la démission du successeur de Macky Sall.
L'ex-commissaire Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta, incarcéré depuis le 11 septembre , pour diffusion de "fausses nouvelles", a été investi par la coalition "Takku Wallu Sénégal", dirigée par Macky Sall.
L’ancien commissaire de police Cheikhna Cheikh Saadbou Keita dit n’avoir jamais été impressionné par le leader de Pastef Ousmane Sonko.
Cheikhna Cheikh Saadbou Keita, son mouvement Sauvons la République et d’autres organisations ont saisi, en début de semaine, le Conseil constitutionnel pour constater la «démission du président de la République».
En appelant au dialogue l’opposition politique sénégalaise, le Président Macky vient une fois de plus confirmer sa détermination de ne partager avec personne le contrôle du jeu. Par la même occasion, il donne raison à ses détracteurs qui pensent que le but de cette nouvelle manœuvre est d’accentuer les divisions dans les rangs de l’opposition en misant sur l’appétit de ces politiciens professionnels dont le dessein est de vivre à l’accroche du pouvoir. Et ce serait en partie pour décrocher certains candidats à la transhumance que le président de la République a lancé cet appel, en étant certain qu’il allait rencontrer un écho favorable auprès de nombreuses personnalités de l’opposition.
J’ai manqué de pouvoir me retenir après avoir lu l’article titré « Rapport provisoire de la Cour des comptes – Comment l’état a aidé Cheikh AMAR à se sucrer » (Quotidien la Tribune
Depuis les années 2000, le Sénégal fait face à une saga de lanceurs d’alerte bardés chacun de brûlot dénonçant publiquement des pratiques peu orthodoxes au sein de l’Etat. La posture et l’attitude du pouvoir face à ces dynamiteurs n’ont, depuis, souffert d’aucun équivoque. Le pouvoir public sénégalais s’accommode mal des lanceurs d’alerte. Retour sur les moments forts d’un désamour affiché.
Le Commissaire Keita, l’homme qui a permis de dévoiler les implications des forces de l’ordre, en particulier de la Police, reprend ici la parole, dans un document qu’il a tenu à apporter au journal Le Quotidien en mains propres. Ce n’est pas un homme amer ou aigri qui parle ; au contraire, il ressort des échanges que le personnage, qui a, presque d’un coup de dé, mis en balance sa carrière, sa vie et l’existence même de personnes qui lui sont proches, a une très haute idée de sa mission et de ses devoirs envers son pays.
L'affaire du trafic de drogue au sommet de la police sénégalaise et impliquant deux anciens directeurs de l'Office central de Répression du Trafic illicite de Stupéfiants (Ocrtis) a atterri devant la justice.
Auditionné hier durant trois (3) tours d’horloge de 16 heures à 19 heures dans le cadre de l’affaire de drogue dans la police qu'il a révèlè, le commissaire Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta devenu célèbre après son houleux rapport qui a fini par jeter l’opprobre sur le prédécesseur d’Anna Sémou Faye à la Direction Générale de la Police Nationale, n’a pas varié d’un iota dans ses accusations à l'ncontre du commissaire Abdoulaye Niang.
Le commissaire Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta, l’ex-Directeur de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis), devra comparaître devant le Conseil de discipline de la police qui va statuer sur son cas sous peu. Selon l’Observateur, sa convocation ainsi que celui d’Abdoulaye Niang sont déjà rédigés.
Selon nos confrères de L'As qui avancent tenir l'information de sources fiables, les cinq membres du Conseil de discipline (tribunal interne de la Police) vont se réunir aujourd’hui, sur convocation du ministre de l’Intérieur, pour proposer la radiation pure et simple de Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta des rangs de la Police.
Zoom sur le nouveau directeur de la police sénégalaise. Il s’agit d’une dame, le commissaire divisionnaire Anna Sémou Faye qui récemment, a bénéficié d’une promotion méritée lorsqu’elle a atterri à la Direction de la Police judiciaire (DPJ) qui coiffe la Dic (Division des investigations criminelles), laquelle gère les dossiers sensibles. Anna Sémou Faye est réputée être quelqu’un de très rigoureux, qualifiée de dame de fer dans le milieu. Elle hérite de ce poste de chef de la police suite au limogeage intervenu, ce jeudi après-midi, d’Abdoulaye Niang. Pour rappel, le commissaire Cheikna Cheikh Saadbou Keita, ex-directeur de l’Ocrtis (office central pour la répression du trafic illégal des stupéfiants), avait, lors d’une sortie dans la presse, accusé le directeur de la police d’être un trafiquant de drogue.
Lors de la conférence de presse tenue hier par la fédération nationale des cadres libéraux (Fncl), l'affaire du trafic de drogue dans la police a été au cœur du débat.
