Le Conseil constitutionnel camerounais a confirmé, ce 5 août, le rejet de la candidature de Maurice Kamto à l’élection présidentielle du 12 octobre 2025.
il y a 2 mois
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Le Conseil constitutionnel camerounais a confirmé, ce 5 août, le rejet de la candidature de Maurice Kamto à l’élection présidentielle du 12 octobre 2025.
L’organisme électoral camerounais, Elecam, a publié ce samedi 26 juillet 2025 la liste provisoire des candidats retenus pour la présidentielle du 12 octobre. Parmi la quarantaine de dossiers reçus, 13 ont été validés, incluant celui de Paul Biya, candidat « naturel » du parti au pouvoir.
![[La CAN du net] Le chat’rlatan “Selbé Ndom”, la colère d’un supporter camerounais, “are you pleurer”](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//eec06e51f5aa2455c99f13bde70bf0da82c3c657.jpg)
Spectacle assuré, aussi bien sur le terrain qu'en dehors. En cette 34e édition de la Coupe d'Afrique des Nations, pas moins de 57 buts ont déjà été marqués,
Du devoir d’œuvrer pour le respect du Code de la presse
Au moins trente personnes ont été interpellées dimanche en marge d'une manifestation interdite à Douala, a constaté l'AFP à la veille de la proclamation officielle des résultats de l'élection présidentielle du 7 octobre.
Les Camerounais ont voté le 7 octobre dernier.
Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC, au pouvoir) a remporté 63 des 70 sièges électifs du Sénat à l’issue du scrutin du 25 mars dernier, selon les résultats proclamés jeudi en mi-journée par la Cour constitutionnelle.
La condamnation vendredi à 5 ans de prison du maire de Dakar Khalifa Sall pour "escroquerie sur deniers publics" pourrait – si elle est confirmée – entacher son crédit moral et impacter négativement la suite de sa carrière politique.
Le président camerounais fête ses 85 ans ce mardi 13 février, dont les 35 derniers passés à la tête du pays. L'occasion d'un retour sur les dix dates incontournables de son parcours politique.
C'est la première fois qu'un État est poursuivi pour des coupures de réseau Internet. Les ONG qui interviennent dans le dossier espèrent créer un précédent, alors que plusieurs pays africains ont eu recours à cette pratique ces derniers mois pour étouffer les mouvements de contestation.
Plus de trente ans, à sillonner le monde, des postes d’ambassadeurs, aux Nations Unies, à Ottawa, à Washington, deuxième Secrétaire Général de l’Organisation commune et malgache en remplacement de Diakha Dieng, un autre Sénégalais tout aussi méritant, voilà qui donne une idée de la dimension de l’homme, qu’est Falilou Kane, devenu aujourd’hui.
L’avis favorable du Conseil constitutionnel sur la possibilité de voter avec un document autre que la carte biométrique, les dernières notes de la campagne électorale, la démission de Thierno Alassane Sall de l’APR et l’affaire de la fillette qui insultait sur les réseaux sociaux sont les principaux sujets traités par les quotidiens reçus jeudi à l’APS. En exclusivité, le journal Enquête annonce que le Conseil constitutionnel a donné un avis favorable au chef de l’Etat sur la possibilité de voter avec un document autre que la carte biométrique.
Le processus de démocratisation qui a commencé il y a vingt ans en Afrique s’essouffle. Dans de nombreux pays, l’Etat de droit est mis à mal, les constitutions manipulées, l’opposition marginalisée, le clientélisme et la corruption sont érigés en instruments de gouvernance. Certains experts et membres de la société civile appellent à une refondation de la démocratie dans le continent de Senghor et de Mandela.
Le Sénégal occupe encore et toujours une très large place dans les journaux étrangers.Un round up hier, sur le net, a permis de faire ce constat.
![[ Interview ] El Hadji Amadou Niang, ancien ambassadeur du Sénégal à Londres : « Wade est un bandit. Il n’a aucun respect pour le droit »](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//f4d24a4fb94c5d343bf51570a790153a.jpg)
Premier ambassadeur du Sénégal à Londres sous le régime de l’alternance, El Hadji Amadou Niang s’est prononcé sur la situation politique du pays dans un entretien qu’il a accordé à Seneweb. Le diplomate est d’avis qu’Abdoulaye Wade doit quitter le pouvoir pour ne pas installer le chaos. Son Excellence, M Niang compare le président de la République à Bokassa. Entretien.
Le président Paul Biya, 78 ans, au pouvoir depuis 1982, a été, comme prévu, réélu pour un sixième mandat à la tête du Cameroun, obtenant 77,989% des suffrages devant son opposant historique John Fru Ndi (10,712%), alors que la participation est en recul par rapport aux derniers scrutins.
Paul Biya, 78 ans, au pouvoir depuis 1982 a été réélu président du Cameroun pour un sixième mandat avec 77,989% selon les résultats proclamés aujourd'hui par la Cour suprême à Yaoundé.
Une coalition réunie autour de Ni John Fru Ndi a donné un point de presse à Yaoundé. Elle dénonce les irrégularités de la campagne et demande la mise en place d’une nouvelle campagne électorale.
Défendre Laurent Gbagbo au nom de la lutte contre le néocolonialisme est une tragique erreur, estime l’écrivain ivoirien Tiburce Koffi.
Pour ceux qui ont suivi les développements de la crise politique et du conflit armé en Côte d’Ivoire sur la longue durée, et ne sont mus ni par une franche antipathie pour l’historien populiste Laurent Gbagbo ni par une sympathie béate pour l’économiste mondain Alassane Ouattara, encore moins par une quelconque perception angélique des Forces nouvelles de Guillaume Soro, l’identité des responsables de l’actuel pourrissement de la situation ne fait aucun doute
