Sous le leadership du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, un atelier de cocréation s’est tenu à Saly dans le cadre du projet WISH2 portant sur la santé reproductive des jeunes et des femmes
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Sous le leadership du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, un atelier de cocréation s’est tenu à Saly dans le cadre du projet WISH2 portant sur la santé reproductive des jeunes et des femmes
Sous le leadership du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, un atelier de co-création de la Stratégie de Changement Social et Comportemental (CSC) du Sénégal, s’est tenu à Saly.
Le Japon autorise la pilule du lendemain sans ordonnance
La Direction de la Santé de la Mère et de l'Enfant (DSME), en collaboration avec l'ONG RAES, a réuni ce mardi 30 Septembre à Dakar, les parties prenantes clés du secteur de la santé pour le lancement de l'atelier de partage du projet SANSAS.
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) émerge comme un défi majeur de santé reproductive au Sénégal.
Malgré les progrès enregistrés, le taux de prévalence contraceptive stagne au Sénégal, entravé par le manque de moyens, le retrait de partenaires financiers, le poids des rumeurs et la faible implication des hommes, qui compromettent l’accès des femmes à la planification familiale.La planification familiale demeure un enjeu majeur de santé publique au Sénégal.
Entretien- Sina Diop sur la planification familiale : « La sexualité reste encore un tabou dans nos sociétés»
À Koumpentoum, l’absence de service de néonatologie impose l’évacuation de chaque nouveau-né qui présenterait une complication vers l’hôpital régional.
Le taux de prévalence contraceptive dans la région de Kédougou est passé de 11 % en 2019 à 18 % en 2023.
« Une adolescente sur sept âgée de 15 à 19 ans est déjà tombée enceinte au Sénégal».
Un panel régional sur la planification familiale s’est tenu à la direction régionale de la santé de Kaffrine, organisé par la Direction de la Santé de la Mère et de l’Enfant (DSME), en partenariat avec l’ADEMAS et le Service National de l’Éducation, de l’Information Sanitaire et Sociale.
Thiès, la capitale du rail, a accueilli un atelier de sensibilisation de trois jours sur la planification familiale et les problématiques de la santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile et adolescente (SRMNIA-N).
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine. Une meilleure information et une prise en charge précoce sont essentielles pour optimiser les chances de conception », insiste la docteure Ndèye Awa Diagne, gynécologue-obstétricienne et cheffe de la division de la planification familiale à la Direction de la Santé de la mère et de l’Enfant. Elle recommande aux couples de consulter des spécialistes sans tarder après un an de vie conjugale sans grossesse, afin d’améliorer leurs perspectives de succès. Changer les mentalités et adopter une approche inclusive deviennent des impératifs.
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine.
Chaque jour, des milliers de mères et de nouveau-nés à travers le monde sont confrontés à des défis mettant leur santé en péril.
L'association des journalistes en santé, population et développement (AJSD) a ouvert, ce lundi, un atelier formation et sensibilisation à l'intention des médias pour une grande implication sur le partage des plans stratégiques de la santé reproductive, maternelle, néonatale infantile, des adolescents et des jeunes et de la nutrition (SRMNIA-N) et PANBPF 2024-2028.
Kaffrine a lancé officiellement la cinquième édition de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant. Cette cérémonie a été présidée par le gouverneur de la région, Moustapha Diaw, qui a souligné l’importance de cet événement dans l’amélioration des performances des programmes de santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, de l’adolescent et de la nutrition.
Le Sénégal a élaboré et mis en œuvre divers plans et programmes qui ont permis d'enregistrer d'importants progrès dans le domaine de la santé maternelle
« Parmi les stratégies pour lutter contre la mortalité maternelle et néonatale, le repositionnement de la planification familiale figure en bonne place, de même que les soins obstétricaux et néonataux d'urgence (SONU) et enfin la promotion de l'accouchement dans les structures sanitaires par un personnel qualifié », a mentionné le docteur Samba Cor Sarr. Il présidait la rencontre au nom du ministre de la Santé et de l’Action sociale (MSAS).
L’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) a publié ce 26 Juin 2023 les résultats de l’enquête .L’indice synthétique de fécondité (ISF) est passée de 5, 3 enfants par femme en 2005 a 4,0 en 2023, doit une baisse de 2,8% à Dakar. Aujourd’hui, la tendance pour les femmes et les couples, c’est d’avoir peu d’enfants.