Bonne nouvelle pour les résidents de la cité Fayçal ! La Cour suprême du Sénégal a ordonné, ce jeudi 7 août 2025, la suspension des résiliations de baux concernant les résidents de la cité Fayçal.
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Bonne nouvelle pour les résidents de la cité Fayçal ! La Cour suprême du Sénégal a ordonné, ce jeudi 7 août 2025, la suspension des résiliations de baux concernant les résidents de la cité Fayçal.
Après douze ans de procédure, Ferdinand Coly a vu la Cour suprême du Sénégal annuler les décisions qui lui étaient favorables dans son litige contre Saliou Samb
Les Chambres réunies de la Cour suprême du Sénégal ont statué, ce 1er juillet 2025...
Le 19 juin 2025, le collectif d’avocats de Lat Diop, dirigé par Me Baboucar Cissé, se présentera devant la Chambre pénale de la Cour suprême du Sénégal pour débattre du pourvoi en cassation introduit par le parquet général.
La Cour suprême du Sénégal a annulé, le 22 mai 2025, le décret n°2023-2152 portant nomination des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA), relançant le débat sur la stratégie de l’opposition. Selon le député Amadou Ba, cette décision donne raison à Ousmane Sonko, qui avait anticipé les risques d’une annulation avant l’élection présidentielle.
la Cour suprême du Sénégal a annulé le décret de l’ancien président Macky Sall renouvelant intégralement les membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA)
La Cour suprême du Sénégal a participé aux travaux de l'AHJUCAF qui viennent d'être clôturés à Rabat
Quelques jours après la décision de rejet de la Cour suprême du Sénégal de son recours pour excès de pouvoir relatif à sa radiation des cadres de la Gendarmerie Nationale, Seydina Oumar Touré, (ex Capitaine Touré), dit tourner définitivement la page sur un éventuel retour en Gendarmerie...
La Cour suprême du Sénégal va abriter ce vendredi 2 mars 2018 à Dakar la cérémonie solennelle d’adoption des lignes directrices sur le traitement judiciaire des dossiers de terrorisme.
Le premier président de la Cour suprême du Sénégal, Mamadou Badio Camara, ne veut pas entendre parler de justice à deux vitesses. Même s'il reconnaît qu'il arrive que les magistrats fassent des erreurs dans leurs décisions puisque «l’erreur est humaine», il refuse d'admettre qu'il y a une justice pour les riches et une autre pour les pauvres.
Déclaré coupable d'enrichissement illicite par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei), Karim Wade a été condamné à six ans ferme, à une amende de 138.239.086.396 Francs CFA et une somme de 10 milliards de francs CFA de dommages et intérêts. Cet arrêt du 23 mars 2015 est déféré devant la Chambre criminelle de la Cour Suprême du Sénégal.
C'est un impressionnant dispositif de sécurité qui a été mis en place ce matin à la Cour suprême du Sénégal. L'institution dirigée par Mamadou Badio Camara, qui devra se pencher sur le recours de Karim Wade après l'arrêt de la Cour de répression de l'enrichissement illicite, est envahie par les forces de l'ordre.
Les avocats de Karim Wade sont amers. Et pour cause: jusqu’à l’heure où ils tenaient une conférence de presse ce mercredi, ils n’ont pas reçu de convocation officielle de la part de la Cour Suprême. C’est tout de même, ce qu’a indiqué Me Seydou Diagne. «A 24 heures de cette audience, nous n’avons reçu aucune convocation officielle de la Cour suprême du Sénégal », a dénoncé l’avocat.
Comme le magistrat Pape Oumar Sakho, le Professeur de Droit à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Ndiaw Diouf, a été installé vendredi. Il complète donc la table des 5 Sages devant siéger au Conseil constitutionnel du Sénégal. L’installation s’est déroulée à la Cour suprême du Sénégal.
Le magistrat Mamadou Badio Camara a été nommé ce vendredi à la tête de la Cour suprême du Sénégal, a annoncé la radio privée RFM.
Les avocats du Président Habré ont, à maintes reprises, interpellé l’opinion nationale et internationale sur le blocage de son recours devant la Cour Suprême du Sénégal.
Le premier Président de la Cour suprême du Sénégal, Papa Oumar Sakho, a révélé ce lundi, les ingrédients qui, s’ils sont réunis, peuvent aider le juge à bien s’acquitter de son travail.
La montée en puissance de ce qu’il qualifie de «justice extrajudiciaire», n’indiffère aucunement le premier président de la Cour Suprême du Sénégal. Au contraire, Papa Oumar Sakho n’a pas caché son inquiétude, ce lundi, face au Premier ministre et aux juges de l’Afrique francophone.
La chambre administrative de la Cour suprême du Sénégal vit des moments particuliers depuis que le dossier du projet d’électrification rurale, Phase 2, financé par l’Inde, a de nouveau atterri dans ses murs.
C’est à 20h17 que l’avion du président américain Air Force One a atterri à l’aéroport Léopold Sédar Senghor, pour une visite au Sénégal, qui doit durer jusque vendredi. La famille Obama descend tout sourire de la passerelle. Le président Macky Sall l’attend en bas. Avec notre correspondante à Dakar, Carine Frenk Une poignée de main chaleureuse entre les deux hommes, puis le couple présidentiel américain salue un à un tous les membres du gouvernement et représentants des institutions du Sénégal. Barack Obama prend son temps, glisse un mot à chacun. Il marque un arrêt appuyé devant le chanteur Youssou N'Dour, ministre du Tourisme. Puis il salue encore fois Macky Sall avant de s’engouffrer dans une longue Limousine noire, aux vitres fumées. Le cortège présidentiel s’ébranle pour conduire la famille Obama à son hôtel. « Welcome to Senegal Mister Obama » En chemin, sur la Corniche, Barack Obama pourra remarquer les drapeaux sénégalais et américains qui ornent les lampadaires. Quelques affiches aussi : « Welcome to Senegal Mister Obama ». Cette visite est placée sous haute sécurité. A tous les carrefours, des policiers sont visibles et au large, en mer, on discerne un bateau de la marine américaine. Demain matin, Barack Obama doit se rendre au palais présidentiel pour un tête à tête avec Macky Sall suivi d’une conférence de presse conjointe. Il se rendra ensuite à la Cour suprême du Sénégal puis ira, en famille, sur l’île de Gorée, haut lieu de l’esclavage, pour se recueillir, devant la « porte du voyage sans retour ».