«Les crimes de sang, les atteintes graves à l'intégrité physique ou à la vie, ainsi que les actes de prévarication sur les deniers publics, ne sauraient bénéficier d'aucune indulgence. »
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«Les crimes de sang, les atteintes graves à l'intégrité physique ou à la vie, ainsi que les actes de prévarication sur les deniers publics, ne sauraient bénéficier d'aucune indulgence. »
Mimi Touré : « Un casseur n’a pas le même traitement que quelqu’un qui a tiré sur un manifestant »
La haute représentante du président de la République, Aminata Touré, a livré son point de vue sur le débat qui fait rage autour de la loi interprétative relative à l’amnistie générale. Sa conviction est que les crimes de sang, quels qu’ils soient, doivent être punis et les auteurs doivent répondre de leurs actes.
Les députés de l'ex-parti Pastef ont tour à tour demandé à la ministre de la Justice si les "crimes de sang seront pris en compte par la loi d'amnistie".
Une dizaine d'organisations de la société civile burkinabè ont appelé samedi à "juger tout le régime" du président déchu Blaise Compaoré lors d'une "journée de dénonciation de l'impunité des crimes de sang et des crimes économiques".
Le chef de l’Etat Macky Sall ne parle pas d’un retour à la peine de mort, mais compte corser les peines judiciaires pour sanctionner les crimes de sang plus sévèrement.
Les dossiers relatifs au trafic de drogue dominent la session 2016 de la Chambre criminelle de Dakar, ouverte hier, lundi 30 mai. Ils sont au nombre de 31 sur 40 au menu. Le reste concerne des crimes de sang (6), des agressions, des cambriolages, des vols, notamment. Quatre-vingt-douze accusés défileront devant le tribunal. Dans le lot, on compte huit femmes. La plus longue détention est de 12 ans.
Comme chaque, année, à la veille de chaque fête nationale, le président de la République accorde la grâce présidentielle à plusieurs centaines de personnes emprisonnées. Cette année, Macky Sall a respecté la tradition. Quelque 586 détenus ont pu en bénéficier. Seulement, Me Sidiki Kaba, ministre en charge de la Justice, Garde des Sceaux a relevé, que ces personnes graciées n’ont pas été impliquées dans des crimes de sang ou d’affaire de mœurs.
L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et son bras droit Charles Blé Goudé sont actuellement poursuivis devant la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes contre l'humanité présumés, commis pendant la crise post-électorale de 2010-2011. La grande absente du procès, c'est Simone Gbagbo, l'épouse de l'ancien chef d'Etat, recherchée par la CPI pour son implication présumée dans les mêmes crimes. Mais la Côte d'Ivoire a préféré juger elle-même l'ex-première dame. Condamnée à vingt ans de prison, il y a un an jour pour jour, elle pourrait bientôt être poursuivie pour crimes de sang devant la cour d’assises.
Preuve d’amour, mais aussi source de conflits dans plusieurs relations, la jalousie est un sentiment qui continue de faire des ravages. Au Sénégal comme partout ailleurs, il fait l’objet de débats intenses. Pour plus d’un, elle provient d’un sentiment destructeur qui plonge hommes et femmes, vieux comme jeunes, dans un sentiment de peurs et d’incertitudes. Peur de perdre l’être aimé, mais aussi incertitude quant au degré d’amour de son partenaire. La jalousie, omniprésente dans les relations amoureuses, amicales et professionnelle, peut aboutir à des divorces et même à des crimes de sang. Peut-on alors tuer quelqu'un par jalousie et dire qu'on l'aimait ?
A l\'occasion du 55ème anniversaire de l’indépendance du Sénégal, le président de la République a gracié 482 détenus pensionnaires des 37 établissements pénitentiaires du pays. Selon un communiqué du ministère de la Justice, «il y a 455 remises totales de peines, 23 remises partielles de peines et 4 commutations de peines». Me Sidiki Kaba précise que «les personnes condamnées pour des infractions particulièrement graves, notamment certains crimes de sang, attentats aux mœurs ou trafic international de drogue, ont été exclues de cette grâce».
Après les déclarations de Thierno Alassane Sall soutenant que «la justice sera imparfaite si Wade ne rend pas compte», Me El Hadji Amadou Sall lui apporte la réplique. «S’ils veulent arrêter Wade, ils n’ont qu’à le faire. C’est ce qu’ils veulent. C’est tout ce que nous pouvons leur dire. Ils disent que Wade a commis des crimes de sang, qu’il a volé… Dans ce cas, qu’ils l’arrêtent, c’est simple», déclare l’avocat, sur un ton de mise en garde.
Au cours du point de presse sanctionnant la fin des travaux de la dernière session de son Conseil général tenue les 5 et 6 janvier 2013, Yoonu Askan Wi / Mouvement pour l’autonomie populaire soutenait sans fioriture, à propos de la lutte contre l’impunité, que Abdoulaye Wade, l’inspirateur et le donneur d’ordres ainsi que son entourage immédiat, devaient être emprisonnés et châtiés, à la hauteur des crimes économiques et des crimes de sang perpétrés au grand préjudice du Peuple et des citoyens sénégalais.
Il est certes important de faire des audits et que ceux qui ont détourné l’argent public rendent compte, mais il urge plus de s’occuper des crimes de sang dans lesquels « la responsabilité civile de l’ancien président de la République et de Ousmane Ngom est avérée ». La précision est de Serigne Mansour Sy Diamil
Le dirigeant ivoirien déchu, son épouse et une centaine d'autres personnalité sont détenues et inculpées d'atteinte à la sûreté de l'Etat, de crimes de sang ou de crimes économiques.
L'ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, a été formellement inculpé ce jeudi 18 août et placé en détention préventive pour «crimes économiques», ainsi que son épouse. La justice ivoirienne met ainsi fin à un vide juridique autour du cas Gbagbo, assigné à résidence au nord du pays depuis le mois d’avril sans être inculpé. Parallèlement, la Cour pénale internationale se penche sur les « crimes de sang » commis pendant la crise post-électorale et dont seraient responsables Laurent Gbagbo mais aussi le camp Ouattara.
La troisième session de la Cour d'assises de Dakar s'ouvre le lundi 04 juillet 2011.Les crimes de sang font florès : assassinat, meurtre, infanticide conjugués aux cambriolages et agressions nocturnes et au trafic de drogue. Au total, 14 affaires impliquant 41 accusés sont inscrites au rôle.
Une semaine après l'arrestation de l'ancien président Laurent Gbagbo, le nouveau pouvoir continue à s'installer, en promettant aussi que les responsables de crimes de sang de l'ancien régime seront jugés.
Il y a une fausse idée avec laquelle les politiciens vont devoir rompre. C’est cette idée que les Sénégalais sont un peuple amorphe, qu’Abdoulaye Wade se permet tout parce qu’il trouve en face de lui des gens dociles. Depuis une semaine, Djibo Kâ en fait les frais. Partout où il est attendu avec sa cargaison de déchets toxiques, les populations s’organisent pour le chasser de là. Hier les marchands ambulants, aujourd’hui les sinistrés de la banlieue, les chauffeurs de taxi ou encore les pêcheurs de Soumbédioune, les populations ont bravé les interdits pour se faire entendre. Les tortures dans les commissariats, les emprisonnements et parfois les crimes de sang froid n’ont pas arrêté les populations dans leur quête effrénée d’une vie décente.
S’il veut redorer son blason entièrement craquelé au pays de l’oncle Sam, le Sénégal a l’obligation de mettre un terme à la culture de l’impunité instituée depuis la survenue de l’alternance. En effet, dans son rapport 2009 consacré à notre pays, les services du Département d’Etat américains relèvent les nombreux crimes de sang perpétrés au Sénégal et qui n’ont pas été élucidés à ce jour. En outre, les Américains dénoncent les nombreuses violations des droits de l’homme. Après avoir fait une brève présentation du Sénégal, le Département d’Etat, sous la coupe de Hillary Clinton, s’est d’emblée intéressé au respect des droits de l’homme tel que conféré par la charte fondamentale du pays.