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Le Dahira Safinatoul Aman, brigade religieuse qui veille au respect de la sacralité et des bonnes mœurs dans la ville sainte de Touba, vient d’être saisi par des talibés...
Lors du Magal de Touba commémorant le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba Khadimou Rassoul, certains ont...
Divers sujets commentés par la presse
![[URGENT] DEUX AGENTS DE SÉCURITÉ DE "SAFINATOUL AMAN" PLACÉS EN GARDE A VUE](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//41c074222b29f684b17dd94fd837bfc75ad44c94.jpg)
Au moment où ses lignes sont écrites, deux éléments de la "police privée de Touba" sont entre les liens de la détention selon des informations exclusives de Seneweb.
Abdou Lahad Ka, sise au quartier de Khayra, a fait l’objet d’une attaque perpétrée par...
Le Dahira Safinatoul Aman, brigade religieuse qui veille au respect de la sacralité et des bonnes mœurs dans la ville sainte de Touba, vient d’être saisi par des talibés...
Au moment où ses lignes sont écrites, deux éléments de la "police privée de Touba" sont entre les liens de la détention selon des informations exclusives de Seneweb.
User de ses pouvoirs mystiques pour attirer des femmes et entretenir avec elles des rapports sexuels.
La cérémonie d'incinération, présidée par Serigne Modou Lô Ngabou, personne morale du dahira Safinatoul Aman s'est tenue à Gare Boumac en présence de plusieurs chefs religieux et des éléments de la brigade des sapeurs pompiers de Touba.
Avec déjà plusieurs condamnations à son actif, Serigne Fall, délinquant multi récidiviste, a écopé d’une peine de prison d’un mois ferme. En effet, le voleur très connu des forces de l’ordre, a finalement été reconnu coupable dudit délit par le tribunal correctionnel de Diourbel devant lequel il était attrait le jeudi 10 décembre, après avoir été pris la main dans le sac au moment où il soutirait un billet de 5000 francs CFA à une dame.
Dans «La Mecque de l’islam noir», la religion régit tout et tout le monde. Pour ceux qui veulent boire, fumer ou danser, il suffit de passer dans la ville voisine pour se retrouver dans un autre monde.
Depuis quelques semaines, Touba a déclenché, par l’entremise du Dahira des petits-fils de Cheikh Ahmadou Bamba dirigé par Serigne Modou Lô fils de Sokhna Mbène Ngabou, un combat contre une toute nouvelle communauté intruse dans la ville sainte et dont la conduite et les discours sont jugés offensants par rapport aux enseignements du mouridisme.
Depuis quelques semaines, Touba a déclenché, par l’entremise de la Dahira des petits-fils de Cheikh Ahmadou Bamba dirigée par Serigne Modou Lô fils de Sokhna Mbène Ngabou, un combat contre une toute nouvelle communauté intruse dans la ville sainte et dont la conduite et les discours sont jugés offensants par rapport aux enseignements du mouridisme.
Serigne Abdou Rahmane Lô n’est pas du genre à mettre des gans quand il veut dire ses vérités à qui veut l’entendre. Le Magal à l’honneur de sa mère Sokhna Aissatou Mbacké a été l’occasion pour le marabout de s’en prendre aux guides religieux qui se plaisent de percevoir des per diems politiques qu’il estime « jamais gratuits ».
TOUBA - Serigne Mohamadou Abdourahmane Lô plus connu sous le nom de Serigne Modou Lô Ngabou, le président du dahira Safinatoul Amane regroupant les petits-fils de Serigne Touba, exprime son indignation après la visite du Président Wade à Touba. S'exprimant dans une station régionale à Mbacké, l
La communauté rurale de Touba a été la première à avoir transgressé la Fatwa, du Khalife Général des Mourides, interdisant toute manifestation politique dans la cité religieuse. Elle a été épinglée par la « Dahira Safinatoul Aman », qui s’est emparée des chaises ayant servi à l’organisation et qui a promis de poursuivre les fauteurs. L’accusée dément et sous-tend n’avoir fait qu’inscrire les populations de Touba Ndiarème sur les listes.
La cinquantaine sonnée , un vieil homme , très connu dans la cité religieuse pour la qualité de ses linceuls , était pourtant un revendeur capé de cornets de chanvre indien . Installé à longueur de journée aux abords des grandes cimetières de Touba , le délinquant a trompé son monde pendant plus d’une dizaine d’années . C’est tenant par devers lui 55 cornets de Yamba qu’il a été appréhendé par la Dahira Safinatoul Amann . Considérée par beaucoup d’observateurs comme une milice , .
Pour sa visite d’hier dans la cité fondée par Cheikh Ahmadou Bamba, Me Wade n’a pas eu droit à un accueil populaire. Comme s’ils s’étaient passé le mot, les habitants ont boudé l’accueil de la délégation présidentielle. Ce qui est à l’origine d’une foule de questions encore demeurées sans réponse. Si le Dahira Safinatoul Aman a réussi son pari pour la visite du président Wade en interdisant tout port de boubou rouge ou de brassards de la même couleur, les politiciens, chargés en général de l'accueil et de la mobilisation, sont passés à côté de leur tâche. En effet, des visites de ce genre à Touba, à quelques jours du grand Magal, étaient l'occasion pour les populations du Baol de sortir en masse pour réserver un accueil particulier au président de la République.
Les partis politiques ont jusqu’au 30 janvier prochain pour fermer leurs permanences à Touba. Passé ce délai, le khalife général des mourides sévira contre eux. L’ultimatum leur a été lancé hier, au cours d’un point de presse. Moins de dix jours après l’interdiction par le khalife général des mourides de toutes les manifestations politiques dans la cité religieuse de Touba, le dahira ‘Safinatoul aman’ hausse le ton. Au cours d’un point de presse organisé hier à la résidence Khadimou Rassoul, la commission dirigée par Serigne Modou Lô Ngabou s’est engagé à faire respecter à la lettre les mesures d’interdiction prises par El Hadji Lamine Bara Mbacké.
Après les politiciens, le Khalife Général des Mourides se tourne vers les hommes gérants de salons de coiffure dans la cité religieuse. Serigne Bara Mbacké donne ainsi un ultimatum à ces derniers pour quitter au plus vite Touba et ses alentours. L'assainissement des mœurs se poursuit dans la capitale du mouridisme. Le Khalife Général, à travers un communiqué adressé à la presse, réitère sa position d'interdire le port de tenues indécentes, l’usage de la cigarette et de l’alcool. À cela s'ajoute le fait que les hommes qui évoluent dans les salons de coiffure, sont sommés de quitter au plus vite la ville.
