La scène politique française connaît depuis plusieurs mois un bouleversement inédit. Réélu en 2022 mais privé d’une majorité stable à l’Assemblée nationale en 2024, le chef de l’État se trouve confronté à une crise institutionnelle majeure.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
La scène politique française connaît depuis plusieurs mois un bouleversement inédit. Réélu en 2022 mais privé d’une majorité stable à l’Assemblée nationale en 2024, le chef de l’État se trouve confronté à une crise institutionnelle majeure.
Le climat sociopolitique continue de susciter des réactions en Guinée, à l’approche de la présidentielle prévue le 28 décembre 2025.
L'ex-chef du FBI inculpé, les promesses de vengeance de Trump se concrétisent
Khalifa Sall apporte son soutien à Barthélémy Dias qui a été débouté par la Cour suprême hier jeudi.
Dans un communiqué parcours, le Mouvement Sonko Dégage fustige la formation du nouveau gouvernement.
Au lendemain du réaménagement gouvernemental annoncé le 6 septembre, l’Alliance pour la République (APR) a réagi avec vigueur
Le président du mouvement Demain c’est Maintenant, Mamoudou Ibra Kane, n’a pas tardé à réagir au récent remaniement du gouvernement sénégalais. Dans une déclaration , il dénonce une concentration excessive des pouvoirs entre les mains du Premier ministre Ousmane Sonko, qu’il qualifie d’« omni-Premier ministre ».
«Un an de prison, sans libération anticipée» : Donald Trump publie un décret punissant les personnes brûlant le drapeau amércain
Le torchon brûle au Niger entre la junte et les magistrats: ces derniers ont appelé vendredi à une grève après la dissolution de plusieurs syndicats du secteur judiciaire et la radiation d'un de leurs membres.
Le paysage politique sénégalais pourrait bientôt compter une nouvelle coalition d’opposition. À l’initiative du leader du mouvement Sénégal Bi Ñu Bokk et ancien édile de la capitale, un front d’un nouveau genre se dessine. Son ambition : réunir partis politiques, anciens parlementaires et société civile pour faire contrepoids à ce qu’il qualifie de "dérive autoritaire du régime".
La tension monte au sein de l’Alliance pour la République (APR). Ce week-end, les femmes républicaines de la région de Dakar ont organisé une grande mobilisation pour réclamer la libération immédiate des responsables politiques de leur parti, actuellement détenus ou placés sous contrôle judiciaire .
« À l’heure où le pouvoir en place tente d’imposer une nouvelle gouvernance, le FDR veut redevenir une vigie républicaine.
Le parti Sénégal Bi Ñu Bokk a vivement critiqué le Plan national de redressement économique et social (PRES) présenté ce matin par le Premier ministre Ousmane Sonko. Réuni en session ordinaire, le Bureau politique provisoire a publié un communiqué au vitriol dans lequel il rejette catégoriquement le document gouvernemental, dénonçant un manque de rigueur, de transparence et d’inclusivité.
Le climat social se tend à nouveau dans le secteur judiciaire sénégalais.
Le président malien Assimi Goita, tant adulé après sa prise de pouvoir en 2021 est en train de sombrer dans une dérive autoritaire
Une nouvelle séquence s’ouvre dans le bras de fer judiciaire, entre le pouvoir sénégalais et l’opposition.
La convocation du chroniqueur Badara Gadiaga à la Division Spéciale de la Cybercriminalité a suscité une vive indignation au sein de la classe politique et de la société civile.
Thierno Bocoum, leader du mouvement AGIR, a vivement réagi à la convocation de Badara Gadiaga, dénonçant ce qu’il considère comme une tentative supplémentaire de musellement des voix discordantes au Sénégal. Au-delà de cette affaire, l'ancien député s’en est pris à un juriste affilié au parti Pastef, qui aurait justifié la condamnation d’Ousmane Sonko pour corruption de la jeunesse par une analogie controversée entre "un client et une prostituée".
La convocation du chroniqueur Badara Gadiaga, annoncée pour ce mercredi 9 juillet 2025 à la Division de la Cybersécurité, a provoqué une onde d’indignation au sein de l’opinion publique.
Le président du mouvement Agir, Thierno Bocoum, a vivement réagi à des propos tenus par le Premier ministre Ousmane Sonko, dans une vidéo largement relayée sur les réseaux sociaux.