De toute évidence, il est contre le Magal de Touba.
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De toute évidence, il est contre le Magal de Touba.
Qui, des anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall, a le meilleur bilan, notamment en matière d’infrastructures ?
Controverses, sermons polémiques à forte dose de politique, l’Imam Ratib de la grande mosquée de Dakar, Alioune Moussa Samb alimente l’actualité et essuie des critiques acerbes à chaque Aïd (fête musulmane).
"Les gens ici ne cherchent pas à comprendre. Tu es homosexuel: tu es banni, tapé, livré à la police. Alors je fais de mon mieux pour rester dans mon coin; j'ai peur de croiser quelqu'un qui me connaît et a de la haine", souffle Abdou, jeune homosexuel sénégalais.
Tant la question de la moralisation de notre société et de ses dirigeants occupe le débat public.
Il est l’un des plus grands philosophes de notre temps.
L’émeute du 3 mars a surpris.
La société sénégalaise est essentiellement productrice d'un marché de l'aumône qui fait que comme le montre Aminata Sow Fall dans La grève des Bàttus : les plus nantis ont besoin des mendiants dans une société où le don religieux est rarement désintéressé.
Il s'agissait d'une proposition de loi des Républicains, portée notamment par le sénateur Bruno Retailleau.
Le Sénat à majorité de droite a adopté mardi, dans un contexte explosif, une proposition de loi LR visant à interdire le port de signes religieux aux parents accompagnant des sorties scolaires, jugée "contre-productive" par le ministre de l'éducation Jean-Michel Blanquer.
C’est à cause de pareilles situations qu’en d’autres...
Amadou Makhtar Mbow dit tout ! Il est d'abord retourné à l'Unesco (1974-1987) où son nom restera à jamais graver dans les annales avec le fameux Nomic (Nouvel ordre mondial de l'information et de la communication) et ses bisbilles avec les États-Unis d'Amérique.
Le phénomène Kara est une réalité au Sénégal et il n’est pas le seul. Dans toutes les confréries musulmanes au Sénégal, il y a des prodiges charismatiques qui font l’objet de tous les mystères. Seulement, leurs propos sont souvent mal suivis, généralement peu compris, parfois faussement interprétés. Il en est ainsi de Serigne Modou Kara Mbacké comme il en est pour d’autres guides confrériques régulièrement auréolées et toujours magnifiées à l’applaudimètre par leurs disciples. Leurs prises de position sont attendues. Leurs sorties sont épiées. Leurs messages sont pistés. Dût quiconque en être contrarié ou non convaincu, ces religieux pèsent dans les consciences et les options.
La guerre de la France au Mali vient de débuter officiellement, les forces militaires sous-régionales et internationales ont lancé une contre-offensive, lorsqu’il s’est avéré que l’armée malienne était non seulement incapable de reconquérir le Nord mais était en train de perdre le Sud.
Les quotidiens parvenus mercredi à l’APS reviennent - comme on pouvait s'y attendre- sur le message à la nation du chef de l’Etat, délivré le 31 décembre comme de tradition, et le déroulement du dernier magal de Touba dont la tenue a coïncidé avec le nouvel an. ‘’L’avenir en feux d’artifice’’
Retour sur 50 ans d'indépendance pour le Sénégal, avec Penda Mbow, ex-ministre de la Culture. Historienne, animatrice de la société civile sénégalaise, Penda Mbow, 55 ans, préside le Mouvement citoyen. Ministre de la Culture durant quelques mois en 2001, elle enseigne l'histoire du Moyen Age ainsi que celle des religions à l'université Cheikh-Anta-Diop de Dakar. Depuis 1960, la perception de l'indépendance a beaucoup changé. L'intérêt, au fil des ans, s'est estompé. On est loin de la ferveur populaire palpable durant la première décennie de l'ère post-coloniale.
Haut de 50 mètres, ce monument en bronze est sur l’une des collines des Mamelles, culminant à une centaine de mètres d’altitude, dominant la presqu’île de Dakar. Du rivage de la capitale sénégalaise, le monument surplombe l’océan Atlantique et son symbolisme est une référence à la « libération de l’Afrique » vis-à-vis de plusieurs siècles d’ignorance, d’intolérance et de racisme. A l’instar de la statue de la liberté aux Etats-Unis, l’Arc de Triomphe et la Tour Eiffel à Paris, il donnerait une certaine image de la Renaissance africaine : après six siècles de ténèbres, nous allons vers la lumière.
Dialogue politique enrhumé, querelles intestines au sein de son parti, controverses soulevées par le «Monument de la Renaissance Africaine», difficultés des Sénégalais, colère de l’Eglise, radicalisation des Imams et autres religieux, front social enfiévré, rapports tendus avec la presse etc. Voilà tant d’ingrédients qui semblent pousser le président de la République, Maître Abdoulaye Wade à vouloir «abdiquer», jeter le harnais. Le cheval Sénégal ahane. Il le constate lui-même car, après son traditionnel discours à la nation du 31 décembre dernier, le Pape du Sopi aurait lancé à certains de ses proches venus le féliciter : «Je suis las de tout !».
Je vous remercie. Bonjour à tous. C’est pour moi un honneur de me trouver dans cette ville intemporelle qu’est le Caire et d’être reçu par deux institutions remarquables. Depuis plus de mille ans, Al-Azhar est un haut lieu de transmission du savoir dans le monde musulman et, depuis plus d’un siècle, l’université du Caire est une source de progrès pour l’Égypte. Ensemble, vous représentez l’harmonie entre la tradition et le progrès. Je vous suis reconnaissant de votre hospitalité et de celle du peuple égyptien. Je suis fier aussi de vous transmettre la bonne volonté du peuple américain et une salutation de paix de la part des communautés musulmanes de mon pays : « Salamm aleïkoum ».
Des dignitaires chrétiens et musulmans ont engagé au Vatican un dialogue qu'ils veulent apaisé entre deux grandes religions monothéistes rassemblant plus de trois milliards de fidèles. Cette réunion de trois jours est la conséquence directe du discours prononcé par le pape Benoît XVI en 2006 à Ratisbonne, où il avait laissé entendre que l'islam était une religion violente et irrationnelle, provoquant colère et incompréhension dans le monde musulman.