La fille du général Djibril Bassolé, pilier du régime déchu de l'ex-président Blaise Compaoré, a été libérée lundi soir, plus d'un an après son enlèvement à Ouagadougou par des hommes encagoulés, ont indiqué mardi des proches à l'AFP.
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La fille du général Djibril Bassolé, pilier du régime déchu de l'ex-président Blaise Compaoré, a été libérée lundi soir, plus d'un an après son enlèvement à Ouagadougou par des hommes encagoulés, ont indiqué mardi des proches à l'AFP.
Le gouvernement burkinabè a annoncé ce 21 novembre 2024, le gel des avoirs de l’ancien président de la Transition, Paul Henri Sandaogo Damiba, ainsi que de 112 autres personnes, pour leur implication présumée dans des faits de terrorisme.
Le régime militaire du Burkina Faso a décrété le gel pour six mois renouvelables des avoirs de plus de 100 personnes, dont l'ex-président Paul-Henri Sandaogo Damiba, et de deux groupes jihadistes, pour "financement du terrorisme", selon un arrêté transmis jeudi à l'AFP.
Au Burkina Faso, le ministre de la Sécurité, le commissaire Mouhamadou Sana, a indiqué hier lundi 23 septembre qu’un « vaste réseau de déstabilisation orchestré depuis l’extérieur (avec) des ramifications internes, menaçait la sécurité nationale » du pays.
Réalité ou affabulation ? Depuis son arrivée au pouvoir par la force, le capitaine Ibrahim Traoré, n’a de cesse de divulguer des complots visant à déstabiliser son régime.
Plusieurs personnes ont été enlevées ou sont portées disparues ces derniers jours à Ouagadougou, notamment des proches de l'ancien chef de la diplomatie Djibril Bassolé, rallongeant la longue liste de victimes de disparition forcée de voix considérées hostiles à la junte au pouvoir.
A Ouagadougou, on n’apprécie pas du tout l’intérêt qu’accorde Paris à l’ex-ministre burkinabé des affaires étrangères Djibril Bassolé.
Professeur émérite et jurisconsulte réputé, le doyen Ibrahima Fall a...
Plusieurs personnes ont été enlevées ou sont portées disparues ces derniers jours à Ouagadougou, notamment des proches de l'ancien chef de la diplomatie Djibril Bassolé, rallongeant la longue liste de victimes de disparition forcée de voix considérées hostiles à la junte au pouvoir.
A Ouagadougou, on n’apprécie pas du tout l’intérêt qu’accorde Paris à l’ex-ministre burkinabé des affaires étrangères Djibril Bassolé.
Au Burkina Faso, le tribunal militaire de Ouagadougou a rendu son verdict, ce lundi 2 septembre, dans le procès du coup d'État manqué de 2015.
Putsch manqué au Burkina: Diendéré et Bassolé condamnés à 20 et 10 ans de prison
Au Burkina Faso, c’est en principe ce lundi 2 septembre que le tribunal militaire de Ouagadougou annoncera son verdict dans le cadre du procès du coup d’État manqué de septembre 2015.
Au Burkina Faso, les jours se suivent et ne se ressemblent pas pour le parquet militaire et les avocats des parties civiles, au tribunal militaire de Ouagadougou où se tient le procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015.
Au Burkina Faso, quatorze avocats de la défense se retirent sont déportés du procès du coup d'État manqué de septembre 2015 alors que le tribunal examinait le fond du dossier.
Macky Sall a été cité à titre de témoin dans le procès du putsch manqué au Burkina Faso en 2015.
Djibrill Bassolé, l'ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, sera-t-il autorisé à quitter le Burkina Faso pour se rendre à l'étranger afin de se soigner ? La question est désormais du ressort de la justice militaire. Emprisonné pour son rôle présumé dans le coup d'Etat mené par le général Diendéré en septembre 2015, Djibrill Bassolé connaît de sérieux problèmes cardiaques depuis janvier dernier. L'Etat burkinabè prend l'affaire très au sérieux et deux ministres sont même allés voir l'ancien diplomate dans sa cellule.
La justice burkinabè a lancé un mandat d’arrêt international contre Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale ivoirienne, selon le correspondant de la BBC
Depuis jeudi un document sonore fait couler beaucoup de salive d'Abdijan à Ouagadougou. Il s'agit d'un enregistrement de conversation téléphonique qui daterait du putsch de septembre dernier au Burkina Faso dans lequel on entend deux hommes discuter de la façon d'empêcher l'échec du putsch de Gilbert Diendéré.
« Les autorités de transition du Burkina Faso doivent veiller à ce que toutes les violations des droits humains commises par les forces de sécurité, notamment les crimes relevant du droit international, fassent l’objet d’enquêtes indépendantes et impartiales menées par une commission élargie », a déclaré Alioune Tine, directeur régional d’Amnesty International de l’Afrique de l’Ouest et du centre, dans un communiqué transmis à Seneweb. Amnesty International pense que ceci constitue « une condition pour que le pays s’engage clairement à la rupture avec son passé et énonce sans détour que de telles violences ne seront pas tolérées à l’avenir ».