“Djinné Maïmouna” frappe à Mako : 22 lycéennes hospitalisées dans la panique
il y a 7 mois
2,019 Lectures
0 Commentaires
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
“Djinné Maïmouna” frappe à Mako : 22 lycéennes hospitalisées dans la panique
Sommes-nous en train de revivre l’épisode du « Djinné Maïmouna » qui avait semé la terreur dans les établissements scolaires sénégalais, touchant particulièrement les jeunes filles il y a quelques années ?
En dehors des grèves d'élèves et d'enseignants, le système éducatif Sédhiouois fait face à d'autres facteurs bloquants
C'est la peur bleue au Lycée Elhadji Ousmane Gningue de Ngoundiane où des filles sont tombées syncope, ce mercredi.
Boy Djinné a été présenté hier, mardi, devant la Chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar.
Dans la nuit du lundi 20 décembre vers 21 heures, des éléments de la brigade de gendarmerie de Linguère ont interpellé un charlatan pour des pratiques occultes au lycée de Gassane,
C'est la peur bleue au Lycée Elhadji Ousmane Gningue de Ngoundiane où des filles sont tombées syncope, ce mercredi.
L'habillement des jeunes d'aujourd'hui, surtout les filles, est décrié par nombre de personnes. Il est soit moulant, soit très léger, laissant parfois entrevoir des parties érogènes du corps.
du vrai, une réalité aussi dure que la pierre pour certains. Tout faux, simple hallucination pour d’autres. Les rumeurs de sacrifices humains et autres affirmations irrationnelles et jamais prouvées sont légion au Sénégal depuis un certain nombre d’années. Ces phénomènes dont on dit qu’ils ont pour lie la crise multiforme s’amplifient de plus en plus. ‘’voleurs de sexe’’, ‘’appel qui tue’’, bref toute une liste de faits supposés existants mais dont on a du mal à voir une victime ou un témoin crédible. Il y a cependant d’autres qui résistent bien à l’analyse. C’est le cas de ce qui se passe depuis quelque temps dans la ville de Tambacounda.
Une vingtaine d’élèves sont touchés par cette crise ce matin aux environs de 9 heures. La direction de l’école avec le secours des parents a évacué les potaches concernés à l’hôpital. Seulement là où certains reparlent du phénomène de « djinné maïmouna », le Proviseur parle juste de fatigue selon la radio Sud FM.
![[ Audio] Victimes d’escroquerie ou « Door Marteau » : Elles expliquent comment on leurs a soutiré plus de 50 millions](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//7317f2a7ed9a84c7beb08eb5403bb029.jpg)
C’est une histoire triste qu’un jeune homme et sa mère, victimes d’escroquerie ou « Door Marteau » ont raconté à l’animateur de Seneweb Radio et Walfadjri Mamadou Ndoye Bane,Dj Safli Mafli. Une bande d’escrocs réputée en matière d’escroquerie, communément appelé « Door marteau » en wolof ont réussi à soutirer environ 50 millions de F Cfa à un jeune homme et sa mère.
La diablesse est de retour. Cette créature ou être surnaturel sème la zizanie Le phénomène «djinné maïmouna» refait surface, après avoir crée la psychose l’année dernière. En ce moment, c’est le Collège d’Enseignement Moyen, Thierno Souleymane Agne se trouvant dans la région de Tambacounda, qui a vécu le retour de « Djinné Maïmouna ».
Des élèves du collège d’enseignement de Matam ont été victimes de crises d’hystérie collective hier lundi, la deuxième en moins d’une année. De nombreux parents d’élèves et les membres l’administration du collège étaient présents pour porter secours aux élèves.
Le lycée de Kanel, nord du Sénégal, est le théâtre d’un phénomène surprenant que les parents assimilent à des manifestations de Djinns, au point d’appeler le clergé musulman au secours des élèves. Les potaches sont saisis de transes collectives dans la cour de récréation et le proviseur du lycée décidé la fermeture de l’établissement, le temps que ces esprits maléfiques se… calment. Les parents, saisis de cette affaire, ont d’abord accusé les sorciers anthropophages, les Deums, avant de se retourner contre les vrais responsables, les Djinns.
Pincez tous vos koras, frappez les balafons !Sortez, accourez, venez tous contempler cet être splendide !Sa majesté, son immensité Djinné Maimouna !Elle a réussi tout simplement là où tout le monde a échoué lamentablement ; elle a réussi à faire comprendre enfin aux sénégalais que les rites de passage que sont les examens doivent être une entreprise collective et non une compétition égoïste.
Djinn Maïmouna aurait-elle débarqué à Kaolack ? Tout porte à le croire. A l’établissement de Ngane Saër, dans la banlieue de la commune de Kaolack, en allant vers Gossas, huit (8) filles se sont évanouis. Ironie du sort, les médecins n’ont décelé aucune maladie quand les victimes ont été acheminées à l’hôpital. L’information a installé la psychose dans tout Kaolack. « Djinné Maïmouna » est en train de faire des ravages. Après Dakar et Thiès, elle s’est signalée dans la région de Kaolack.
Les supputations vont bon train au Collège moderne Jean De La Fontaine après la mort d’une élève qui aurait piqué une crise avant de basculer dans le vide. Un drame qui a fortement secoué les pensionnaires de cet établissement privé situé à la Médina. Aux dernières nouvelles, le directeur du collège Jean De La Fontaine a suspendu les cours. Le Collège moderne Jean De La Fontaine est en deuil. Un drame a secoué, hier, cet établissement, avec la mort d’une élève connue sous le sobriquet de «Maman». Selon des informations recueillies sur place, la défunte a piqué une crise, alors qu’elle se trouvait au second étage de l’établissement.
Les épreuves anticipées de philosophie et de français du Baccalauréat 2008 devraient avoir lieu le 12 du mois courant. Si certains candidats doutent encore de la tenue, à la date fixée, des examens, d'autres sont tout simplement pessimistes compte tenu des nombreuses difficultés auxquelles ils sont confrontés (grèves interminables, menace de boycott par les enseignants, crise d'hystérie collective dans les lycées et collèges et retard entre autres ). Nous sommes sur l'avenue Ousmane S océ Diop de Rufisque, à quelques encablures du lycée Abdoulaye Sadji et du Cem Matar Seck, à quelques minutes de neuf heures. Un vent sablonneux se lève. Des filles, toutes arborant des blouses de couleur rose marchent devant nous. Leur sujet de conversation se devine aisément, ce n'est rien d'autre que les examens qui devraient bientôt commencer.
Que s’est-il réellement passé à l’Issic pour que près de cinq filles tombent en hystérie ? Aucune explication. Maïmouna est-elle de retour pour les écoles de formations ? Ce qui s’est passé a l’institut supérieur des sciences de l’information et de la communication suscite des interrogations. Hier, l’école de formation des communicateurs à été réchauffée par le phénomène d’hystérie qui avait secoué les écoles sénégalaises. Plusieurs sont tombées en crise d'hystérie, selon les témoins, une dizaine. C’était aux environs de 9 heures quand les étudiants de la 1ère année faisaient cours de marketing. Ce qui fait dire que Maïmouna serait de retour, mais cette fois-ci, dans les écoles de formation.
La mystérieuse crise d’hystérie qui avait débuté le vendredi 18 avril dernier au lycée Lamine et qui fait la ronde est loin d’être un phénomène propre au Sénégal. Les transes qui empoignent les filles se sont aussi signalées au Cameroun il y a plus d’une décennie et au Gabon. Dans ces deux pays, notamment au Cameroun, les mages n’ont pu exorciser le mal. Mais, pire, des doigts accusateurs ont ciblé des individus pris pour responsables des hystéries. Pour l’heure, Dieu merci, l’hystérie qui frappe les lycées et collèges de Dakar et des régions n’en est pas encore à ce stade.
