Poursuivi devant la Haute Cour de Banjul après le coup d’Etat manqué de décembre 2022,
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Poursuivi devant la Haute Cour de Banjul après le coup d’Etat manqué de décembre 2022,
En Gambie, le procès des personnes accusées du coup d’Etat manqué de décembre 2022 se poursuit devant la Haute cour de Banjul. Les prévenus, au nombre de 5, étaient à l'audience du jeudi 16 février dernier...
Les Gambiens sont appelés à élire démocratiquement un nouveau président ce samedi 4 décembre...
Les Gambiens sont appelés aux urnes ce samedi 04 décembre 2021
Les Gambiens vont choisir leur prochain président de la République, ce samedi 4 décembre 2021.
La Commission électorale indépendante (CEI) a rejeté 15 dossiers de candidature à l’élection présidentielle gambienne, prévue le 4 décembre prochain...
À 19 ans Ebrima Darboe est l’exemple parfait de l’expression « croyez en vos rêves ».
À seulement 14 ans, Ebrima Darboe a quitté la Gambie sans ses parents pour rejoindre l'Europe dans l'espoir de trouver une vie meilleure. Passé par la Lybie, il a été torturé et battu dans un camp de trafiquants d'êtres humains, avant d’embarquer dans un bateau vers la Sicile.
Il avait quitté son pays, la Gambie, à 14 ans, seul et sans se douter de ce que lui réserverait son voyage
À 19 ans Ebrima Darboe est l’exemple parfait de l’expression « croyez en vos rêves ».
À seulement 14 ans, Ebrima Darboe a quitté la Gambie sans ses parents pour rejoindre l'Europe dans l'espoir de trouver une vie meilleure. Passé par la Lybie, il a été torturé et battu dans un camp de trafiquants d'êtres humains, avant d’embarquer dans un bateau vers la Sicile.
Il avait quitté son pays, la Gambie, à 14 ans, seul et sans se douter de ce que lui réserverait son voyage
Des dizaines de Gambiens sont descendus samedi dans les rues pour protester contre les morts, la torture et les disparitions de personnes innocentes, en particulier les journalistes et les politiciens, notées pendant les 22 années de règne de l’ex-président Yahya Jammeh.
La Gambie a une nouvelle vice-présidente. Elle s’appelle Fatoumata C.M. Jallow Tambajang. Elle a été nommée vice-présidente de la Gambie par le nouveau président, Adama Barrow.
Le paysage politique gambien est en ébullition, depuis quelques semaines, avec l'irruption de nouvelles figures de l'opposition. Des leaders politiques qui se déclarent déjà candidats à la prochaine présidentielle prévue le 02 décembre prochain, avec l'espoir de mettre fin à 22 ans de règne sans partage du Président Jammeh, lui aussi partant pour un quatrième mandat.
La Gambie est encore sur la sellette. Déjà durement frappé par la mort de Solo Sandeng et l’arrestation d’Ousainou Darboe, un autre membre important du directoire politique national du Parti Démocratique Uni de Gambie (UDP) est décédé dans les premières heures de ce samedi 20 août en prison où il purgeait une peine de trois ans avec 18 de ses camarades de parti, informe “Enquête”.
Condamné il y quatre jours à trois ans de prison ferme par la juge nigériane Eunice Dada qui présidait une Cour spéciale créée pour le juger, le chef du plus grand parti de l'opposition gambienne, Ousainou Darbo s'est adressé à cette instance dont le procureur est aussi un nigérian pour dénoncer l'asservissement des magistrats nigérians employés dans le système judiciaire gambien pour casser les opposants au régime de Yahya Jammeh. Ousainou Darboe et 19 de ses camarades de parti ont été condamnés pour avoir organisé une marche de protestation après l'arrestation et la torture à mort du responsable des jeunes de son parti (UDP) Solo Sandeng. Seneweb qui a reçu copie de la déclaration de l'opposant gambien, la publie in extenso.
Ousainou Darboe, le chef du ‘United Democratic Party’ (UDP, principal parti d’opposition en Gambie) et dix-huit de ses camarades ont été mis en accusation par un tribunal de Banjul pour six chefs d’accusation, dont celui de rassemblement illégal et d’émeute.
Le décès de trois opposants arrêtés jeudi 14 avril lors d’une manifestation pacifique a été confirmé dimanche par les Nations unies dont le secrétaire général, Ban Ki-moon a réclamé« l’ouverture d’une enquête approfondie et indépendante sur les circonstances qui ont conduit à leur mort alors qu’ils étaient en détention ».
Après avoir longtemps entretenu des relations heurtées avec la presse, le pouvoir gambien semble vouloir désormais la ménager. La tenue le 24 novembre prochain de l’élection présidentielle y est certainement pour quelque chose.