Le leader du parti Awalé, Abdourahmane Diouf, a critiqué le mode de fonctionnement de la coalition DiomayePrésident. Invité, ce dimanche 26 octobre, de l’émission
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Le leader du parti Awalé, Abdourahmane Diouf, a critiqué le mode de fonctionnement de la coalition DiomayePrésident. Invité, ce dimanche 26 octobre, de l’émission
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
En écartant Khalifa Sall pour former et diriger la coalition Samu sa Kaddu aux Législatives de 2024, Barthélémy Dias se croyait un leader d’envergure nationale.
Le paysage politique sénégalais évolue avec l’arrivée de députés aux trajectoires inattendues.
Les élections législatives 2024 n’ont pas été un camouflet que pour les leaders politiques que sont Macky Sall, Barthélemy Dias et Amadou Ba.
Comme s'ils s'étaient passé le mot, les têtes de liste départementale qui ont voté dans différents centres et même parfois dans différentes communes ont constaté le manque d'affluence, notamment des jeunes.
En 2022, l’intercoalition Yewwi-Wallu avait réussi à se partager l’intégralité des départements y compris les 8 circonscriptions des Sénégalais établis à l’étranger lors des investitures
De passage à Agnam, fief de Farba Ngom, dans le cadre de la campagne électorale, Ousmane Sonko n’a pas manqué de passer un message à l’ancien député de l’Alliance pour la République (APR).
Le président du parti Pastef Ousmane Sonko ne boxe pas dans la même catégorie que ses adversaires politiques dont Barthélémy Dias et Bougane Guéye...
Le député Cheikh Abdou Bara Doli Mbacké a exprimé sa solidarité aux sinistrés de Bakel et de Matam avant de fustiger le mutisme des autorités étatiques...
Le 17 novembre 2024, les citoyens sénégalais vont élire les 165 députés de ce qui sera la 15e législature
El Hadji Mounirou Ndiaye, économiste a été nommé à la Présidence de la République.
À l'approche des élections législatives du 17 novembre, le parti Pastef/Les patriotes (Pastef) fait face à des tensions internes qui pourraient entraver sa dynamique électorale. Les investitures, tant attendues, s'avèrent être un véritable champ de bataille pour les ambitions personnelles. Dans des localités comme Ziguinchor, pas moins de 87 membres du parti ont exprimé leur volonté de se porter candidats. Une situation similaire se dessine à Touba, où plusieurs dizaines de postulants se bousculent pour obtenir l'approbation de la direction.
Le parti présidentiel Pastef a décidé d’aller seul aux législatives de novembre prochain.
Le grand avantage des douceurs de l’opposition est le fait de prendre le recul pour réfléchir sur les alternatives mais surtout de prendre des vacances.
Ndeye Astou Ndiaye est Maîtresse de conférences titulaire à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’UCAD et docteure en Science politique. Secrétaire exécutive du cercle de pensée Nubianlane IRAP (Initiative de Recherche et d’Analyse Panafricaine), elle analyse pour Seneweb les premier pas du nouveau Président, Bassirou Diomaye Faye. Elle se prononce aussi sur la représentativité des femmes dans le gouvernement.
Avec l'arrivée du nouveau président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, la France est sous pression pour rééquilibrer sa relation avec le Sénégal et se prémunir ainsi d'une rupture déjà consacrée au Mali, au Burkina et au Niger.
Les résultats provisoires des quatre départements de la région de Kaffrine sont favorables à la coalition DiomayePrésident. Seul le département de Koungheul a été remporté par Amadou Ba.
La constitution a plié mais n’a pas rompu
Sans évoquer le mot «report», le Président Macky Sall, a réussi à faire repousser le scrutin du 25 février...