Mouhammad PSL, panacée de la vie éternelle (Pr Elhadji Mounirou NDIAYE)
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Mouhammad PSL, panacée de la vie éternelle (Pr Elhadji Mounirou NDIAYE)
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
Louanges à Allah (SWT) Qui nous a abreuvé de la lumière de Mouhammad (PSL) sans laquelle l’humanité serait dans un chao impossible
Louange à Allah (SWT) Qui n’a rien omis dans Son Sublime Vœu de nous guider vers la trajectoire de la sainteté
Louanges à Allah (SWT) Qui nous a abreuvé de la lumière de Mouhammad (PSL) sans laquelle l’humanité serait dans un chao impossible
Louange à Allah (SWT) Qui n’a rien omis dans Son Sublime Vœu de nous guider vers la trajectoire de la sainteté
Economiste, enseignant-chercheur à l’université de Thiès, Dr Elhadji Mounirou NDIAYE a publié un nouveau livre. Dans cet ouvrage intitulé «Quelles aternatives socio-économiques au Sénégal: une contribution programmatique»
Gloire à Allah (SWT) Qui, par son Verbe Sublime, nous a gratifié du noble statut de Fils d’Adam.
Les propos que Moustapha Diakhaté a tenus à l’encontre de Serigne Mansour Sy Diamil ont indigné El Hadji Mounirou Ndiaye. L’Economiste, par voie épistolaire, a réagi. Nous vous proposons ici, des extraits de sa correspondance parvenue à Seneweb.
Mes chers camarades, Je commence d’abord par souhaiter un bon mois de Ramadan à tous les musulmans. Ce moment est donc bien propice aux réflexions que je veux partager, par devers nous, à toute la communauté scientifique du Sénégal. Puisque ce mois béni de Ramadan est un moment de partage, de pardon, de solidarité, de communion et de dépassement.
Aujourd’hui, j’ai 45 ans. Je n’ai pas à me plaindre de ce que Dieu dans sa magnanimité m’a donné depuis cette nuit où je suis né à l’hôpital Abass Ndao. Je n’en retiens que les hommes et les femmes que j’ai croisés et qui m’ont toujours couvert d’affection. Je les remercie pour leur sollicitude, surtout lors de l’épreuve que je viens de traverser. Voici, en exclusivité, les pages que je leur ai consacrées dans « Ces goulots qui étranglent le Sénégal », mon livre qui paraît à Paris dans les prochains jours.
La conscience du rôle des infrastructures dans une économie en émergence représente le côté positif de la gestion wadienne du pouvoir. Ce qui est regrettable, c’est que ces dépenses publiques d’infrastructures sont souvent entachées de grandes malversations et certaines d’entre elles ne sont vraiment pas opportunes relativement aux autres charges publiques (éducation, sécurité, santé, subventions). En outre, pour respecter le critère d’économicité des choix publics, il fallait limiter les dépenses d’infrastructures faisant appel à des importations importantes de matériaux, parce qu’il s’en suit une accentuation du déficit extérieur du pays.
Durant ces dernières années, le gouvernement du Sénégal a multiplié ses emprunts obligataires ainsi que ses emprunts directs auprès des banques locales. Un emprunt public a été récemment adressé à toutes les compagnies bancaires de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) pour un montant de 100 milliards de francs Cfa. Dans le contexte économique actuel au Sénégal, cela ne peut être que le fruit d’un dépassement budgétaire.