Nigeria: l'enlèvement de 25 lycéennes suscite l'émotion jusqu'aux Etats-Unis
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Nigeria: l'enlèvement de 25 lycéennes suscite l'émotion jusqu'aux Etats-Unis
Des hommes armés ont enlevé plus de trente personnes, dont au moins 24 étudiantes, lors d'un assaut à proximité et à l'intérieur d'une université...
Une des lycéennes enlevées en avril 2014 par le groupe jihadiste Boko Haram dans la ville de Chibok au Nigeria a été libérée et a retrouvé sa famille...
l'enlèvement de 42 personnes à Kagara provoque émoi et colère
Abubakar Shekau, chef du groupe Boko Haram, a revendiqué l'enlèvement de centaines de lycéens dans le nord-ouest du Nigeria, dans un message de propagande diffusé mardi
L'enlèvement de Katsina a été revendiqué par le leader du groupe jihadiste, le même qui était derrière la disparition des lycéennes de Chibok en 2014.
Une des lycéennes enlevées en avril 2014 par le groupe jihadiste Boko Haram dans la ville de Chibok au Nigeria a été libérée et a retrouvé sa famille...
L'enlèvement de Katsina a été revendiqué par le leader du groupe jihadiste, le même qui était derrière la disparition des lycéennes de Chibok en 2014.
Nigeria: 5 ans après leur enlèvement, que sont devenues les lycéennes de Chibok?
Plusieurs lycéennes enlevées cette semaine dans le nord-est du Nigeria après une attaque de combattants de Boko Haram ont été "secourues", a annoncé jeudi une source officielle locale. "Certaines" des 111 jeunes filles portées disparues dans un internat du village de Dapchi ont été retrouvées et mises en sécurité par les forces nigérianes, a assuré Abdullahi Bego, porte-parole du gouverneur de l'Etat de Yobe.
Au Nigeria, l’armée aurait libéré un certain nombre des 111 collégiennes qui étaient encore portées disparues ce 21 février après leur enlèvement par Boko Haram à Dapchi, dans l’État de Yobe, deux jours plus tôt. Selon la police, elles avaient été enlevées alors qu’elles étaient à la mosquée pour la prière du soir. Le communiqué du gouverneur de l’État, qui annonce cette opération de sauvetage, apporte toutefois peu de précisions. Les familles des collégiennes enlevées restent inquiètes.
Un des djihadistes du groupe nigérian Boko Haram a été condamné à 15 ans de prison pour sa participation à l'enlèvement en 2014 de plus de 200 jeunes lycéennes à Chibok, dans le nord-est du Nigeria, a-t-on appris mardi auprès du ministère de la Justice. Haruna Yahaya, 35 ans, est "handicapé", a précisé le porte-parole, avec un bras paralysé et une jambe déformée, et a plaidé coupable mais a demandé la clémence des jurés, pour avoir été "forcé à intégrer" le groupe djihadiste et " a agi à cause de leur sévérité", selon son avocat.
Au Nigéria, plus de 80 lycéennes récemment libérées par la secte islamiste Boko Haram ont été transférées dans un centre de réhabilitation à Abuja. Elles ont eu un bref entretien avec les services de renseignements. Les filles y rejoignent 24 de leurs camarades de Chibok libérés précédemment.
Principaux développements depuis l’enlèvement en 2014 à Chibok (Nigeria) de 276 lycéennes par le groupe jihadiste nigérian Boko Haram, après la libération jeudi de 21 d’entre elles selon une source officielle.
L'insurrection menée par le groupe islamiste Boko Haram empêche plus d'un million d'enfants d'aller à l'école, a dénoncé vendredi le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), soulignant que le manque d'éducation est un terreau de la radicalisation au Nigeria et dans les pays voisins. Plus de 2.000 écoles ont été fermées au Nigeria, au Cameroun, au Tchad et au Niger, - les quatre pays les plus affectés par les attaques du groupe - et des centaines d'autres établissements ont été attaqués, pillés ou incendiés par les jihadistes, selon l'Unicef.
Le 14 avril 2014 des jihadistes faisaient irruption au lycée de Chibok, dans l'Etat de Borno, berceau au nord du Nigeria du mouvement Boko Haram qui a depuis mars prêté allégeance au groupe Etat islamique. En tout, 276 jeunes filles qui se préparaient à passer leurs examens ont été enlevées ce jour-là. Après une forte mobilisation internationale pour leur libération, les proches de ces « lycéennes de Chibok » s'apprêtent à commémorer ce jeudi le 500e jour de leur enlèvement par Boko Haram. 57 d'entre elles ont réussi à s'échapper, mais le sort des 219 autres est encore incertain.
La secte islamo-terroriste Boko Haram est responsable de l'enlèvement d'au moins 2.000 femmes et fillettes au Nigeria depuis le début de l'année dernière. Mariées de force, utilisées comme esclaves sexuelles, converties à l'islam ou formées pour combattre, les victimes sont livrées à un sort funeste. Le rapport d'Amnesty International intitulé "It is our job to shoot, slaughter and kill -
Près d'un an après les faits, on est toujours sans nouvelle des 219 lycéennes de Chibok enlevées dans le nord-est du Nigeria par la secte islamiste Boko Haram. L'espoir de retrouver les jeunes filles saines et sauves s'amenuise de jour en jour. Pire, selon les rumeurs, elles auraient été massacrées récemment.Malgré la promesse du nouveau président élu, l'ex-général et dictateur Muhammadu Buhari, de les sauver, le pessimisme est plutôt de mise.
Il fallait choisir: attendre, juste encore un peu, ou fuir. Devant la menace toute proche de Boko Haram, Rebecca Samuel est finalement partie, mais a pris le risque de laisser derrière elle sa fille Sarah qui souhaitait passer de derniers examens scolaires.
Une rencontre statutaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), se tiendra les 16 et 17 janvier prochains à Dakar, sous le thème «L’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes». Dr Fatimata Dia Sow, Commissaire aux affaires sociales et du genre de la Cedeao, représentante du Sénégal, en revenant sur les grandes lignes de ce regroupement international, a annoncé que sur le plan sous-régional, la Cedeao fait face à des enjeux sécuritaires et au respect des droits humains.