« Ceux qui rêvent de me voir ...» Moussa Bocar Thiam contre-attaque
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« Ceux qui rêvent de me voir ...» Moussa Bocar Thiam contre-attaque
Marché controversé de 2,4 milliards F Cfa : L'étau se resserre autour de Me Moussa Bocar Thiam
« Le Prix Cultura, c’est plus qu’un concours : c’est un mouvement pour célébrer les voix qui font vivre la culture francophone. »
Alassane Bala Sakandé, ancien président de l’Assemblée nationale, et cinq co-accusés pourraient être jugés pour détournement de deniers publics, octroi d’avantages injustifiés et blanchiment de capitaux, selon le procureur Blaise Bazié du tribunal de grande instance Ouaga I.
Un an après son entrée au gouvernement pour gérer l’impact de la crise sanitaire sur les PME, Alain Griset est renvoyé le 22 septembre devant le tribunal correctionnel...
Paris : Le Collectif pour la Transition en Guinée annonce une plainte contre Alpha Condé, son fils et deux autres personnes
La salve de réactions contre Abdou Diouf après la sortie de ses Mémoire et l’autorisation accordée au Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) pour la tenue son meeting sont les principaux sujets au menu des quotidiens reçus mercredi à l’APS.
Excellence, Monsieur le Président, Vous le savez certainement, la zone littorale présente une importance capitale dans la vie de notre nation : elle accueille 60% de la population Sénégalaise et concentre une large part des activités économiques nationales sources de croissance et d’emploi contribuant à hauteur de 68% au Produit Intérieur Brut (DEEC et Banque Mondiale, 2013).
En 2008, le Président Wade avait déclaré depuis Paris, que les corps de contrôle de l’Etat allaient diligenter des audits et que les coupables d’irrégularités seraient sanctionnés. Cette annonce faite dans un ton ferme, à une période où 60 % des sénégalais faisaient face à une crise de subsistance, avait suscité beaucoup d’intérêt dans la population, même si quelques sceptiques n’avaient pas manqué d’y voir une simple manœuvre politicienne sans conséquences destinée à l’opinion internationale. Conformément à la décision présidentielle, des contrôles furent effectués de manière systématique au niveau des services et sociétés de l’Etat, provoquant l’émotion tant les révélations qui étaient faites quotidiennement dans les médias portaient sur des constats scandaleux.
Les journaux font leurs choux gras du faux-bond, selon eux, de Karim Wade, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, qui n’a pas répondu à une convocation qui lui a été servie dans le cadre des audits inscrits par le nouveau pouvoir dans une perspective générale de répression de l’enrichissement illicite.Libération écrit ainsi que ‘’les nouvelles autorités se sont attaquées à celui qui est réputé être le plus gros morceau : Karim Wade. Le fils de l’ancien président Wade a reçu convocation pour être auditionné par les gendarmes relativement aux enquêtes sur des présomptions d’enrichissement illicite’’.
Lepeuple-sn.com (Dakar)-La ville de Dakar pourrait renouer dans quelques mois avec l’atmosphère des processions de contestations politiques. Sur l’initiative du mouvement citoyen Jog Jotna une marche de protestation contre le régime libéral mobilisant plus d’un million de participants dont 1000 sénégalais de l’extérieur est en gestation. D’après un communiqué reçu à la rédaction, cette mobilisation qui devrait avoir lieu le 26 décembre prochain se veut pacifique. Les organisateurs sont des sénégalais vivant au Etats- unis d’Amérique soucieux ‘’de réaliser une jonction intelligente des forces patriotiques pour faire face au péril autocratique qui guette notre pays.’’
Le 19 Mars 2000 a été la consécration de la lutte de tout un peuple pour la promotion de la démocratie et de la bonne gouvernance. La victoire du candidat du Front pour l’Alternance et l’acceptation sans conditions du président Diouf de sa défaite ont été un moment de grande fierté nationale. Fierté d’avoir montré à la face du monde que l’Afrique était aussi capable de grandeur démocratique dans la transparence et la paix. Le Sénégal faisait rêver le reste du continent. Du Cap Vert à la Corne de l’Afrique, du Cap à Tripoli en passant par Accra, le Sénégal confirmait son exception : la vitrine démocratique d’une Afrique otage de régimes dictatoriaux et corrompus.
Transparency International (TI) France ne lâche pas l’affaire. Après l’échec d’un premier dépôt de plainte, l’association de lutte contre la corruption redépose plainte avec constitution de partie civile contre trois dictateurs africains : Omar Bongo Ondimba, Denis Sassou N’guesso et Téodoro Obiang Mbasogo. Objectif de la plainte : récupérer la fortune patrimoniale accumulée en France (appartements, voitures, comptes en banque...). Depuis un an, les relais associatifs locaux sont menacés. Les riverains de Rue89 connaissent bien l’histoire : depuis un an, deux associations (TI France et Sherpa) cherchent à récupérer par la voie judiciaire les « biens mal acquis » de plusieurs dictateurs africains.